"Abba, Père" ou la véracité de l'Evangile
Afin de tenter de prouver que le Seigneur exagérait par moment, de sorte que sa Parole, imprudemment lue au sens littéral, pourrait tromper un "non initié", monsieur L a pris maladroitement comme exemple le passage de Matthieu 23,9 :
" N'appelez personne votre père sur la terre, car vous n'avez qu'un seul Père, qui est dans les cieux."
Sa réflexion l'a poussé à montrer qu'ici, le sens littéral de cet ordre est absurde, puisque les enfants appellent raisonnablement "père" leur géniteur, c'est à dire leur "père" au sens littéral du terme. Il faudrait donc lire "père" ici au sens figuré, cqfd, ce passage est exagéré !
A cela, il faut tout naturellement opposer le bon sens de l'Ecriture sainte, qui ne voit pas ce fameux "sens figuré" dans la paternité non biologique. Ecoutons l'apôtre saint Paul s'adresser ainsi aux Corinthiens ( 4,15 ) :
« Car, eussiez-vous dix mille maîtres dans le Christ, vous n’avez pas cependant plusieurs pères, puisque c’est moi qui vous ai engendrés en Jésus-Christ par l’Evangile. » (I Corinthiens IV, 15)
Où est-il permis ici de supposer que cette paternité, revendiquée par l'apôtre, soit à prendre "au sens figuré", et non pas dans un sens bien réel ?
Et encore, laissons-le poursuivre :
« À cause de cela, je fléchis le genou devant le Père, de qui tire son nom toute paternité dans les cieux et sur le terre » (Ephésiens III, 14-15)
Quelle est la paternité "au sens figuré", ici ? Celle du Père Eternel, peut-être ? Ou bien celles qui tirent leur nom de la Sienne ? Si la paternité du Père Céleste est bien réelle - et non pas une figure de paternité - celles qui découlent de la sienne le sont tout autant, réelles.
Il est donc écarté définitivement qu'il faille prendre "au second degré" cet ordre du Seigneur, mais bien au contraire, au sens littéral ET spirituel du terme !
L'erreur persistante du contradicteur de cette page, monsieur L, est justement d'opposer artificiellement SENS LITTERAL d'une part, et SENS SPIRITUEL de l'autre. On voit ici l'invalidité de ce raisonnement : il faut tenir l'un et l'autre sans les opposer.
-----> N'appelez personne "père" sur la terre au sens plénier du terme, "Père" en un sens absolu, c’est-à-dire père de Lui-même et en Lui-même, principe sans principe, de qui « de qui tire son nom toute paternité dans les cieux et sur le terre » (Ephésiens III, 15). En sorte que « Père » est son nom propre. De même donc que l’homme devient père en communiquant la vie humaine, de même l’Église appelle « Pères » les prêtres parce que eux aussi, par le moyen de la prédication et des sacrements, communiquent la vie, mais non pas la vie naturelle et mortelle, mais la vie divine et éternelle.
C’est une dénonciation de ceux qui utilisent leurs titres pour exercer une autorité illégitime sur leurs proches et pour en tirer orgueil au lieu de les servir (Matthieu XXIII, 4-7). Jésus ne voulait donc pas interdire l’usage du mot ‘père’, mais rappeler qu’il est tout en référence au Père céleste, et faire remonter à Celui qui est l’origine de tout, la paternité de tout père terrestre. Tout un programme pour tous ceux qui doivent porter ce titre de ‘père’.
( Citation de l'article de monsieur l'abbé Guy Pagès, résumant bien la compréhension catholique de cet ordre évangélique. )
---------------------------------------------------------------------------------
Mais examinons maintenant ce qu'il en serait si le contradicteur de cette page, monsieur L, avait raison : quand serait-il de l'Evangile ?
Le Seigneur aurait donc légué à ses apôtres un Evangile inachevé, encore voilé, compréhensible uniquement :
- ici par Judas, seul capable de le comprendre suffisamment de travers pour en extraire la substantifique Vérité ;
- là par les hébreux, seuls capables grâce à leur mentalité particulière, de le comprendre suffisamment de travers ( là encore ) pour en déduire la Vérité...
L'Evangile serait une Parole inexploitable en l'état, CERTES LA VERITE ! MAIS LA VERITE EN ATTENTE D'ÊTRE EXTRAITE DE SA GANGUE GROSSIERE PORTANT A L'ERREUR, ET CE NOTABLEMENT : PAR LA TRADITION CATHOLIQUE. Tant que cette dernière ne l'aurait pas fait, il eût été vain de garder la Parole du Seigneur, et inutile de savoir qu'elle est la Vérité, puisque cette Vérité serait demeurée hors de portée de la plupart des hommes sur la terre.
Est-ce que tout ceci n'est pas formellement contredit par l'Evangile ? Ecoutons-le :
" Si vous restez fidèles à ma Parole, vous connaîtrez la Vérité, et la Vérité vous rendra libres. " (Jean 8,32)
" Si quelqu'un m'aime, Il gardera ma Parole." (Jean 14,23)
" Le ciel et la terre passeront, mes Paroles ne passeront pas." (Matthieu 24,35)
" Si quelqu'un ne m'aime pas, il ne restera pas fidèle à mes Paroles. Or mes Paroles ne sont pas de Moi, mais du Père qui m'a envoyé."
" Si vous demeurez en Moi, et que mes Paroles demeurent en vous, demandez au Père ce que vous voulez, et Il vous l'accordera." (Jean 15,7)
La Tradition catholique est évidemment née de ceux qui ont fidèlement gardé les Paroles du Christ, non pas de ceux qui ont cherché à les déclarer en partie exagérées. Seuls les premiers ont été illuminés par l'Esprit Saint, que le Christ n'a pas envoyé pour CORRIGER ses Paroles, mais pour nous dire tout ce que le Christ avait encore à nous dire. Aussi vrai que le Christ n'a pas dit :
" Il y a de nombreuses inexactitudes et approximations dans mes Paroles ; mais l'Esprit de Vérité qui provient du Père vous enseignera à les rectifier. "
Mais bien plutôt :
" J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter. Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière. En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : mais ce qu’il aura entendu, il le dira ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître. "
Ainsi, l'Esprit Saint agit exactement comme le Christ Dieu a agit, Celui sur qui Il repose éternellement : Il ne parle pas de Lui-même, mais Il transmet fidèlement ce que le Père Lui dit.
Et ainsi, ce que dit l'Esprit Saint par la sainte Tradition catholique a la même valeur que ce que dit le Christ, puisque cela provient de la même Source : le Père Céleste, qui est le Dieu d'Amour.
Et ainsi, la Tradition catholique, éclairée par l'Esprit Saint, est UNE avec l'Evangile du Christ, et ne le contredit en rien.
-----------------------------------------------------------------------------------------
Supposons donc que
- L'Evangile soit en l'état encore comme dans une gangue grossière portant facilement à l'erreur
- et que pourtant donc, c'est cet Evangile si grossier que le Christ commande de garder à toute personne qui voudrait l'aimer.
ALORS LA CONCLUSION EST EVIDENTE : IL N'Y A PLUS GRAND CHOSE A REPROCHER AUX PROTESTANTS, QUI SE CONFORMENT EN TOUT AUX EXIGENCES DU SEIGNEUR, ET SONT DE VRAIS CROYANTS, PUREMENT ET SIMPLEMENT.
S'ils font des erreurs de lecture, ce n'est pas de leur faute, mais de celle des Evangiles, et de Celui qui leur a recommandé de les garder tels qu'll nous les a transmis par les apôtres !
Par exemple, puisqu'on ne peut pas savoir si le Seigneur dit vrai, lorsqu'Il dit "Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang", ou bien si c'est une figure d'exagération, un simple symbole, il n'y a rien à reprocher à ceux qui penchent pour la seconde supposition.
Et la Tradition serait revêtue d'un arbitraire tout à fait incompréhensible : une sorte de Zorro arrivé sans se presser, après coup, pour dire "ça c'est vrai, ça c'est pas vrai." " Lorsqu'Il parle de Judas, le Seigneur exagère un peu, lorsqu'Il parle de l'Eucharistie, vous pouvez le croire dur comme fer. Attention les enfants : terrain miné ! "
L'Evangile serait donc une sorte de champ de mines, et la Tradition catholique serait arrivée comme le service de déminage, le "service après vente" en quelque sorte.
Voilà où on en arrive si l'on suit aveuglément les raisonnements de monsieur L.
La réalité est tout autre :
LE CHRIST NOTRE ROI ET NOTRE DIEU EST LA VERITE. LORSQU'IL DIT QUE CECI EST SON CORPS, ET BIEN C'EST QUE CECI EST SON CORPS ( quoi qu'en pensent les protestants ). LORSQU'IL DIT QUE SAINT JEAN BAPTISTE EST LE PLUS GRAND PARMI LES ENFANTS DES HOMMES, ET BIEN C'EST QUE SAINT JEAN BAPTISTE EST LE PLUS GRAND PARMI LES ENFANTS DES HOMMES.
LORSQU'IL DIT QU'IL EÛT MIEUX VALU POUR JUDAS DE NE PAS NAÎTRE, ET BIEN C'EST QU'IL EÛT MIEUX VALU POUR JUDAS DE NE PAS NAÎTRE, ETC ETC...
Mais il y a des simplicités qui répugnent aux sages et aux intelligents ( à leurs propres yeux ).
-----------------------------------------------------------------------------
+ CONVERTISSEZ-VOUS, ET CROYEZ A L'EVANGILE ,
LA PAROLE DE VERITE QUI DONNE LE SALUT +
Prophétie du Christ à la synagogue de Kériot, la ville de Judas.
Décryptage de la réplique d'un valtortiste sceptique, au sujet de Judas
" N'appelez personne votre père sur la terre, car vous n'avez qu'un seul Père, qui est dans les cieux."
Sa réflexion l'a poussé à montrer qu'ici, le sens littéral de cet ordre est absurde, puisque les enfants appellent raisonnablement "père" leur géniteur, c'est à dire leur "père" au sens littéral du terme. Il faudrait donc lire "père" ici au sens figuré, cqfd, ce passage est exagéré !
A cela, il faut tout naturellement opposer le bon sens de l'Ecriture sainte, qui ne voit pas ce fameux "sens figuré" dans la paternité non biologique. Ecoutons l'apôtre saint Paul s'adresser ainsi aux Corinthiens ( 4,15 ) :
« Car, eussiez-vous dix mille maîtres dans le Christ, vous n’avez pas cependant plusieurs pères, puisque c’est moi qui vous ai engendrés en Jésus-Christ par l’Evangile. » (I Corinthiens IV, 15)
Où est-il permis ici de supposer que cette paternité, revendiquée par l'apôtre, soit à prendre "au sens figuré", et non pas dans un sens bien réel ?
Et encore, laissons-le poursuivre :
« À cause de cela, je fléchis le genou devant le Père, de qui tire son nom toute paternité dans les cieux et sur le terre » (Ephésiens III, 14-15)
Quelle est la paternité "au sens figuré", ici ? Celle du Père Eternel, peut-être ? Ou bien celles qui tirent leur nom de la Sienne ? Si la paternité du Père Céleste est bien réelle - et non pas une figure de paternité - celles qui découlent de la sienne le sont tout autant, réelles.
Il est donc écarté définitivement qu'il faille prendre "au second degré" cet ordre du Seigneur, mais bien au contraire, au sens littéral ET spirituel du terme !
L'erreur persistante du contradicteur de cette page, monsieur L, est justement d'opposer artificiellement SENS LITTERAL d'une part, et SENS SPIRITUEL de l'autre. On voit ici l'invalidité de ce raisonnement : il faut tenir l'un et l'autre sans les opposer.
-----> N'appelez personne "père" sur la terre au sens plénier du terme, "Père" en un sens absolu, c’est-à-dire père de Lui-même et en Lui-même, principe sans principe, de qui « de qui tire son nom toute paternité dans les cieux et sur le terre » (Ephésiens III, 15). En sorte que « Père » est son nom propre. De même donc que l’homme devient père en communiquant la vie humaine, de même l’Église appelle « Pères » les prêtres parce que eux aussi, par le moyen de la prédication et des sacrements, communiquent la vie, mais non pas la vie naturelle et mortelle, mais la vie divine et éternelle.
C’est une dénonciation de ceux qui utilisent leurs titres pour exercer une autorité illégitime sur leurs proches et pour en tirer orgueil au lieu de les servir (Matthieu XXIII, 4-7). Jésus ne voulait donc pas interdire l’usage du mot ‘père’, mais rappeler qu’il est tout en référence au Père céleste, et faire remonter à Celui qui est l’origine de tout, la paternité de tout père terrestre. Tout un programme pour tous ceux qui doivent porter ce titre de ‘père’.
( Citation de l'article de monsieur l'abbé Guy Pagès, résumant bien la compréhension catholique de cet ordre évangélique. )
---------------------------------------------------------------------------------
Mais examinons maintenant ce qu'il en serait si le contradicteur de cette page, monsieur L, avait raison : quand serait-il de l'Evangile ?
Le Seigneur aurait donc légué à ses apôtres un Evangile inachevé, encore voilé, compréhensible uniquement :
- ici par Judas, seul capable de le comprendre suffisamment de travers pour en extraire la substantifique Vérité ;
- là par les hébreux, seuls capables grâce à leur mentalité particulière, de le comprendre suffisamment de travers ( là encore ) pour en déduire la Vérité...
L'Evangile serait une Parole inexploitable en l'état, CERTES LA VERITE ! MAIS LA VERITE EN ATTENTE D'ÊTRE EXTRAITE DE SA GANGUE GROSSIERE PORTANT A L'ERREUR, ET CE NOTABLEMENT : PAR LA TRADITION CATHOLIQUE. Tant que cette dernière ne l'aurait pas fait, il eût été vain de garder la Parole du Seigneur, et inutile de savoir qu'elle est la Vérité, puisque cette Vérité serait demeurée hors de portée de la plupart des hommes sur la terre.
Est-ce que tout ceci n'est pas formellement contredit par l'Evangile ? Ecoutons-le :
" Si vous restez fidèles à ma Parole, vous connaîtrez la Vérité, et la Vérité vous rendra libres. " (Jean 8,32)
" Si quelqu'un m'aime, Il gardera ma Parole." (Jean 14,23)
" Le ciel et la terre passeront, mes Paroles ne passeront pas." (Matthieu 24,35)
" Si quelqu'un ne m'aime pas, il ne restera pas fidèle à mes Paroles. Or mes Paroles ne sont pas de Moi, mais du Père qui m'a envoyé."
" Si vous demeurez en Moi, et que mes Paroles demeurent en vous, demandez au Père ce que vous voulez, et Il vous l'accordera." (Jean 15,7)
La Tradition catholique est évidemment née de ceux qui ont fidèlement gardé les Paroles du Christ, non pas de ceux qui ont cherché à les déclarer en partie exagérées. Seuls les premiers ont été illuminés par l'Esprit Saint, que le Christ n'a pas envoyé pour CORRIGER ses Paroles, mais pour nous dire tout ce que le Christ avait encore à nous dire. Aussi vrai que le Christ n'a pas dit :
" Il y a de nombreuses inexactitudes et approximations dans mes Paroles ; mais l'Esprit de Vérité qui provient du Père vous enseignera à les rectifier. "
Mais bien plutôt :
" J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter. Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière. En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : mais ce qu’il aura entendu, il le dira ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître. "
Ainsi, l'Esprit Saint agit exactement comme le Christ Dieu a agit, Celui sur qui Il repose éternellement : Il ne parle pas de Lui-même, mais Il transmet fidèlement ce que le Père Lui dit.
Et ainsi, ce que dit l'Esprit Saint par la sainte Tradition catholique a la même valeur que ce que dit le Christ, puisque cela provient de la même Source : le Père Céleste, qui est le Dieu d'Amour.
Et ainsi, la Tradition catholique, éclairée par l'Esprit Saint, est UNE avec l'Evangile du Christ, et ne le contredit en rien.
-----------------------------------------------------------------------------------------
Supposons donc que
- L'Evangile soit en l'état encore comme dans une gangue grossière portant facilement à l'erreur
- et que pourtant donc, c'est cet Evangile si grossier que le Christ commande de garder à toute personne qui voudrait l'aimer.
ALORS LA CONCLUSION EST EVIDENTE : IL N'Y A PLUS GRAND CHOSE A REPROCHER AUX PROTESTANTS, QUI SE CONFORMENT EN TOUT AUX EXIGENCES DU SEIGNEUR, ET SONT DE VRAIS CROYANTS, PUREMENT ET SIMPLEMENT.
S'ils font des erreurs de lecture, ce n'est pas de leur faute, mais de celle des Evangiles, et de Celui qui leur a recommandé de les garder tels qu'll nous les a transmis par les apôtres !
Par exemple, puisqu'on ne peut pas savoir si le Seigneur dit vrai, lorsqu'Il dit "Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang", ou bien si c'est une figure d'exagération, un simple symbole, il n'y a rien à reprocher à ceux qui penchent pour la seconde supposition.
Et la Tradition serait revêtue d'un arbitraire tout à fait incompréhensible : une sorte de Zorro arrivé sans se presser, après coup, pour dire "ça c'est vrai, ça c'est pas vrai." " Lorsqu'Il parle de Judas, le Seigneur exagère un peu, lorsqu'Il parle de l'Eucharistie, vous pouvez le croire dur comme fer. Attention les enfants : terrain miné ! "
L'Evangile serait donc une sorte de champ de mines, et la Tradition catholique serait arrivée comme le service de déminage, le "service après vente" en quelque sorte.
Voilà où on en arrive si l'on suit aveuglément les raisonnements de monsieur L.
La réalité est tout autre :
LE CHRIST NOTRE ROI ET NOTRE DIEU EST LA VERITE. LORSQU'IL DIT QUE CECI EST SON CORPS, ET BIEN C'EST QUE CECI EST SON CORPS ( quoi qu'en pensent les protestants ). LORSQU'IL DIT QUE SAINT JEAN BAPTISTE EST LE PLUS GRAND PARMI LES ENFANTS DES HOMMES, ET BIEN C'EST QUE SAINT JEAN BAPTISTE EST LE PLUS GRAND PARMI LES ENFANTS DES HOMMES.
LORSQU'IL DIT QU'IL EÛT MIEUX VALU POUR JUDAS DE NE PAS NAÎTRE, ET BIEN C'EST QU'IL EÛT MIEUX VALU POUR JUDAS DE NE PAS NAÎTRE, ETC ETC...
Mais il y a des simplicités qui répugnent aux sages et aux intelligents ( à leurs propres yeux ).
-----------------------------------------------------------------------------
+ CONVERTISSEZ-VOUS, ET CROYEZ A L'EVANGILE ,
LA PAROLE DE VERITE QUI DONNE LE SALUT +
Prophétie du Christ à la synagogue de Kériot, la ville de Judas.
Décryptage de la réplique d'un valtortiste sceptique, au sujet de Judas