mardi 25 octobre 2022

Le 25 OCTOBRE avec la VIERGE MARIE et Saint FRANÇOIS de SALES (Mère de Chaugy)

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« Celui qui abandonne l’Église de Jésus-Christ 
est un étranger : 
il est un profane, il est un ennemi. »
 
(Saint Cyprien)


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25 OCTOBRE


              
            La Sainte Vierge n’a été sujette ni au péché, ni aux maladies corporelles qui en sont l’apanage, mais elle l’a été aux innocentes nécessités de la vie humaine, comme de se chauffer, de se reposer, de se vêtir, de boire et de manger. Nous avons vu cette Sainte Vierge travaillant, se reposant et priant ; voyons-la aujourd’hui prenant ses repas. Ah ! que la petite table de Jésus, Marie et Joseph était modeste ! Que les mets apprêtés par Marie et bénis par Jésus étaient délicieux ! Je mettrai souvent ce divin exemple devant mes yeux en prenant les nécessités du boire et du manger ; je remercierai Jésus, Marie et Joseph, et tâcherai que l’image de leur sainte Famille me soit présente dans toutes les actions domestiques et dans celles de la nécessité humaine du boire et du manger, ne les prenant que devant elle et avec sa bénédiction.

(à retrouver ici : https://gloria.tv/post/HAKvwCEwECro3RYiorLJJd6xy
 
 

 

dont on commémore cette année le 400ème anniversaire de la naissance au ciel (28 décembre 1622)

qui aviez pour principe de ne rien demander et de ne rien refuser, 
priez pour nous.


          Le 25 octobre 1598, Mgr Claude de Granier ayant vu les merveilles que Dieu opérait dans le Chablais et ailleurs par le ministère de son cher fils François de Sales, résolut de faire éclore le désir qu’il avait dès longtemps de le faire son coadjuteur à future succession. Ce bon Prélat considéra plus le mérite de cet apôtre que le poids de sa propre infirmité : il était malsain, mais non pas fort âgé, quoiqu’il le parût, étant exténué de maladie et d’afflictions ; et il disait que Dieu lui avait donné François de Sales pour être sa joie et sa couronne, et qu’il voulait lui remettre sa crosse, sa mître et son bercail, puisqu’il en était la gloire et l’honneur. Cette coadjutorerie fut non-seulement accordée, mais approuvée et louée par le prince et applaudit de tout le monde. Le plus difficile en cette affaire fut d’y faire consentir l’humble François, qui fit tant de répliques, tant de refus et tant de délais qu’il disait depuis qu’assurément il n’avait pas encore appris de saint Paul que c’est une bonne œuvre que de désirer un évêché, parce qu’il le fuyait de tout son cœur, et que Dieu ne lui avait pas encore inspiré la pratique de ne rien demander et de ne rien refuser.

 

 
 


ÉGALEMENT au 25 OCTOBRE :
 
https://montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-recite-avec-vous.html


« Le Rosaire est admirable !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
Disons-le donc tous les jours ! »
Alors, rendez-vous ici :