La manipulation « corona ». : Les chiffres définitifs de la saison sont déjà connus.
Quoi qu'il arrive à l'avenir, nous avons déjà les chiffres saisonniers comparatifs et définitifs suivants : Pour la période hivernale 2017-2018, entre novembre et fin mai, la grippe ordinaire de l'époque avait tué 650 000 personnes. Pour la même période (novembre-mai) 2019-2020 (c'est-à-dire celle du coronavirus), nous avons 340 000 morts (Actualisation 23 mai 2020 fr.statista.com/…/morts-coronavir…). C'est pratiquement la moitié. Le coronavirus tue donc presque deux fois moins que celui que nous avions il y a deux ans. www.who.int/…/14-12-2017-jusq…
Rejeter ces preuves n'a désormais plus rien à voir avec l'objectivité et l’esprit rationnel, mais avec l'idéologie et l’esprit de soumission. Certes, la dictature va continuer à « compter" indéfiniment les morts (ce que nous n’avions pas fait il y a deux ans), de sorte qu'à un moment donné, leur nombre dépassera nécessairement celui de toutes les années précédentes. Elle n'a pas d'autre choix que celui de la fuite en avant. Seule une surenchère grotesque dans le mensonge pourra encore embrouiller les plus naïfs. Pour rester crédible, elle doit continuer à évoluer dans le sens de l'alarmisme. Elle est en quelque sorte piégée dans ses propres manipulations. Mais ceux qui continuent à croire en cette comédie, eux, n'ont maintenant plus d'excuse.
Rejeter ces preuves n'a désormais plus rien à voir avec l'objectivité et l’esprit rationnel, mais avec l'idéologie et l’esprit de soumission. Certes, la dictature va continuer à « compter" indéfiniment les morts (ce que nous n’avions pas fait il y a deux ans), de sorte qu'à un moment donné, leur nombre dépassera nécessairement celui de toutes les années précédentes. Elle n'a pas d'autre choix que celui de la fuite en avant. Seule une surenchère grotesque dans le mensonge pourra encore embrouiller les plus naïfs. Pour rester crédible, elle doit continuer à évoluer dans le sens de l'alarmisme. Elle est en quelque sorte piégée dans ses propres manipulations. Mais ceux qui continuent à croire en cette comédie, eux, n'ont maintenant plus d'excuse.