02:21
siloe
54,6 k
LE SCANDALE DES CHIFFRES de GOLGOTA PICNIC. GOLGOTA PICNIC, LE SCANDALE DU BLASPHEME ET le scandale des CHIFFRES.(Vu du salon beige ).Plus
LE SCANDALE DES CHIFFRES de GOLGOTA PICNIC.

GOLGOTA PICNIC, LE SCANDALE DU BLASPHEME ET le scandale des CHIFFRES.(Vu du salon beige ).
blanche52
Pour ma part, je pense que ce n'est pas "une seule parole d'un évêque" qui aura suffit à remplir Notre Dame ! ce temps-là est bien passé ! et pour cause ! avec toutes ces "paroles" indignes sorties de la bouche des évêques depuis 40 ans, les gens ont compris le message .... non, ce qui a rempli Notre Dame, c'est l'exposition de la Couronne d'épines dont ils sont dépositaires (jusqu'à ce qu'ils …Plus
Pour ma part, je pense que ce n'est pas "une seule parole d'un évêque" qui aura suffit à remplir Notre Dame ! ce temps-là est bien passé ! et pour cause ! avec toutes ces "paroles" indignes sorties de la bouche des évêques depuis 40 ans, les gens ont compris le message .... non, ce qui a rempli Notre Dame, c'est l'exposition de la Couronne d'épines dont ils sont dépositaires (jusqu'à ce qu'ils nous racontent que c'est une fable (cf le Saint Suaire)) !
siloe
Suite du commentaire ci-dessous ;
Enfin afin qu'il n'y ait aucun doute sur la véracité des faits, Civitas vous propose la lecture ci-après de la délibération concernantcette affaire de "clientélisme" (sic) :
"Le conseil d’arrondissement, légalement convoqué, s’est réuni à la mairie du 8e arrondissement lelundi 15 septembre 2008,en séance publique, sous la présidence deM. François LEBEL, maire …Plus
Suite du commentaire ci-dessous ;
Enfin afin qu'il n'y ait aucun doute sur la véracité des faits, Civitas vous propose la lecture ci-après de la délibération concernantcette affaire de "clientélisme" (sic) :

"Le conseil d’arrondissement, légalement convoqué, s’est réuni à la mairie du 8e arrondissement lelundi 15 septembre 2008,en séance publique, sous la présidence deM. François LEBEL, maire du 8e

arrondissement.

Membres présents:M. François LEBEL,M. Didier DECELLE,Mme Martine MERIGOT de TREIGNY,Mme Christine PIREDDA,M. Marc PACHECO,Mme Sophie BOYER CHAMMARD,Mme Françoise MEYER,M. Arnaud MAGGIAR,M. Alain-Pierre LEVY,Mme Chantal TIBERGHIEN,Mme Erika DUVERGER
Membres excusés:Mme Heidi RANÇON-CAVENEL,,M. Pierre LELLOUCHE

L’ordre du jour est le suivant: [Extrait] DAC 08-112 – Signature d’un avenant à la convention du 4 janvier 2008, avec la SARL « Théâtre du Rond-Point » (8e), pour l’attribution d’une subvention de fonctionnement – Montant 997 500 euros et signature d’une convention relative à l’attribution d’une subvention de d’équipement – Montant 68 900 euros.

11°/ Mme Christine PIREDDA, adjoint au maire du 8e arrondissement, présente le projet de délibération qui concerne lasignature d’un avenant à la convention du 4 janvier 2008, avec la SARL « Théâtre du Rond-Point » (8e), pour l’attribution d’une subvention de fonctionnement de 997 500 euros et la signatured’une convention relative à l’attribution d’une subvention d’équipement de 68 900 euros.Mme Christine PIREDDA déclare qu’il s’agit d’attribuer deux subventions au Théâtre du Rond-Point, à parité avec l’Etat.
En ce qui concerne la subvention d’équipement, il s’agit de procéder au remplacement du monte-décors et des strapontins dans la salle Renault-Barrault et à la fourniture et à la pose d’une mezzanine dans le local des décors. Le montant total de ce programme d ‘équipement s’élève à 172.254,72 euros. La part de la Ville de Paris est fixée à 68.900 euros. Mme Christine PIREDDA explique que cette subvention est justifiée. Les travaux sont d’ores et déjà engagés et font partie d’un ensemble déjà voté.En ce qui concerne la subvention de fonctionnement, son montant total pour l’année 2008, fixé à parité avec l’Etat, s’élève à 1.885.000 euros, soit 997.500 euros pour la Ville de Paris. La part de la subvention de la Ville de Paris est donc en augmentation de 100.000 € par rapport à 2007 (887.500 €). Par ailleurs, une subvention particulière de 10.000 euros est accordée au titre de la « Nuit Blanche » 2008.
Mme Christine PIREDDA trouve le montant de cette subvention de fonctionnement absolument astronomique. Elle se demande surtout ce qui justifie une augmentation de 6,2 % de la part attribuée à la Ville de Paris, notamment au vu de la programmation.
Mme PIREDDA s’interroge également sur le complément de 10.000 € au titre de la « Nuit Blanche » 2008. L’organisation de l’événement – lecture de 500 textes courts par 100 comédiens qui, vraisemblablement, ne seront pas rémunérés - ne lui semble pas justifier cette somme. Mme PIREDDA rappelle enfin que la mairie du 8e a, de son côté, proposé une animation pour la « Nuit Blanche » 2008 ; si cette proposition a bien été retenue, en revanche, aucune subvention n’a pu être obtenue.Mme Christine PIREDDA propose donc aux conseillers d’amender ce projet de délibération et de voter l’article 2 suivant :
« S’agissant de l’attribution de subventions au Théâtre du Rond-Point, les élus du 8e arrondissementconsidèrent que les dépenses de fonctionnement, en constante augmentation depuis plusieursannées, font apparaître, pour 2008, un complément de 110.000 euros pour la Ville et de 110.000euros pour l’Etat, ce qui porte à 3.770.000 euros le montant annuel de la subvention, soit uneprogression de 6,2% ! Cela les amène à s’interroger sur les motifs qui ont conduit à une telleaugmentation, au regard de la programmation annoncée pour cette année.Par ailleurs, il est proposé une subvention de 10.000 euros pour la participation du théâtre à laNuit blanche. »
« Le conseil du 8e arrondissement déplore,d’une part, que soient regroupés dans une même délibération deux projets de subvention de naturedifférente, l’une relevant du fonctionnement et l’autre de l’équipement ;d’autre part, que soit attribuée une subvention de 10.000 euros au titre de la « Nuit blanche" ,alors que les élus du 8e arrondissement ont proposé un projet d’animation pour ladite « Nuit »,projet qui a été retenu par la mairie de Paris mais pour lequel cette même mairie a refusé toutsoutien financier. »

M. Didier DECELLE dit qu’il est particulièrement important de contester une telle démarche qui vise à regrouper dans une même délibération deux subventions différentes dont l’une est sujette à caution.
Mme Christine PIREDDA demande si les subventions dans le cadre de la « Nuit Blanche » font l’objet d’un vote au Conseil de Paris.
M. François LEBEL répond qu’à cette exception notable faite pour le théâtre du Rond-Point, la « Nuit Blanche » est organisée par une structure associative qui reçoit à ce titre une subvention pour les événements qu’elle organise. Aucune initiative individuelle n’est donc directement subventionnée par le Conseil de Paris.M. Didier DECELLEtrouve que cela ressemble à un tour de passe-passe.
Mme Chantal TIBERGHIEN s’interroge sur le taux de spectateurs non-payants à chaque représentation, qui atteindrait 60 %.
Mme Christine PIREDDA répond que cette pratique existe souvent dans les théâtre subventionnés qui préfèrent jouer devant des salles pleines plutôt qu’aux trois-quarts vides, mais elle convient que cette politique de distribution d’invitations peut, parfois, être assimilée à du clientélisme.
A L’UNANIMITE(12 voix dont le pouvoir de M. Pierre LELLOUCHE à Mme Françoise MEYER), le conseil du 8e arrondissement donne unAVIS FAVORABLEà ce projet de délibération amendé."

Bonne lecture à tous et nos regrets à la mairie du VIII° pour cet "incident" qui nous a permis de rendre à César ce qui appartient à César et à M. DELANOË ce qui lui revient....comme un boomerang !

François-Xavier Peron, porte-parole de Civitas
siloe
de présent :
Jeudi soir, Paris était chrétienne
La parole d’un évêque
Elle aura suffi, cette parole. Un court communiqué du cardinal André Vingt-Trois évoquant le spectacleGólgota Picnicqui « insulte le Christ en croix » a suffi pour remplir Notre-Dame de Paris et faire déborder la cathédrale. Plus de 7 000 personnes se sont tassées dans la nef, les bas-côtés, les allées pour venir méditer …Plus
de présent :

Jeudi soir, Paris était chrétienne
La parole d’un évêque

Elle aura suffi, cette parole. Un court communiqué du cardinal André Vingt-Trois évoquant le spectacleGólgota Picnicqui « insulte le Christ en croix » a suffi pour remplir Notre-Dame de Paris et faire déborder la cathédrale. Plus de 7 000 personnes se sont tassées dans la nef, les bas-côtés, les allées pour venir méditer la Passion et vénérer les Saintes Reliques que la France doit à saint Louis. Le cardinal et une suite interminable de prêtres et de clercs ont accompagné en procession la Sainte Couronne d’épines, un morceau de la Vraie Croix et l’un des clous utilisés pour crucifier notre sauveur, pour les porter triomphalement dans la cathédrale en passant par le milieu du parvis, où des centaines de fidèles attendant patiemment de pouvoir se glisser dans l’édifice déjà bondé leur faisaient une sorte de garde d’honneur.
D’aucuns ont regretté l’aspect caché et enfoui de ce rendez-vous alors que le scandale deGólgota Picnicse déroulait à quelques milliers de mètres de là, au Théâtre du Rond-Point. On peut préférer manifester sur place, et d’ailleurs les manifestations continueront jusqu’au 17 décembre à proximité du théâtre, sans compter le grand rassemblement auquel appelle Civitas pour cedimanche 11 décembre(et non samedi comme je l’ai écrit par erreur) place de l’Alma à 14 heures.
Mais la cérémonie de vénération des reliques était tout sauf discrète. Les cloches de Notre-Dame sonnaient à toute volée, les abords de la cathédrale étaient noirs de monde, la cérémonie s’est déroulée toutes portes ouvertes ; impossible d’enfermer cette volonté des chrétiens de répliquer par la prière et la présence au pied de la Croix à la profanation de Rodrigo Garcia.
Le cardinal aurait-il organisé cet événement de chrétienté sans avoir été aiguillonné par les jeunes chrétiens qui dès le début de la saison du blasphème dans le monde du spectacle parisien ont dit leur tristesse et leur colère ? Certes non. Et ces « idiots sympathiques » – comme il les a appelés – ont oublié le quolibet en s’associant nombreux à la veillée du 8 décembre. Mais il y avait aussi des Versaillais et des petites bonnes sœurs en civil, des séminaristes en noir et des Martiniquais, des cathos bon chic bon genre et des étudiants de tout poil, des tradis, des pas-tradis.
Le cardinal a parlé de manière émouvante de ce Christ qu’on insulte et que l’on moque. Ce Christ qui est « notre maître » et le « maître du monde ». Il a parlé du « péché de la haine », qui non seulement blesse le Christ mais révèle quelque chose du cœur de celui qui hait, et de sa désespérance. Il a ajouté (mais on le savait et le souligner marquait donc une volonté) que le rassemblement n’était pas une protestation : « Nous ne sommes pas venus ici pour faire une manifestation, nous sommes venus ici le cœur débordant d’amour. » Certes. Mais pourquoi ne pas dire que les milliers de personnes qui étaient venues de tout Paris et de sa banlieue voulaient laver l’offense faite au Christ ?
La « réparation », « l’expiation » sont des mots qui auraient été à leur place. Assurément le blasphème n’amoindrit pas Dieu, mais il blesse l’homme à mort. Le rappeler aux gogos qui se gargarisent des profanations deGólgota Picnicou qui tentent d’y trouver matière à dialogue n’est pas une violence, mais une charité.
Jeudi soir, Paris était chrétienne. Tout le quartier latin était envahi par les doux ; de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, une belle et priante procession s’est rendue au Rond-Point des Champs-Elysées pour y affirmer sur place les droits de Dieu ; dans les rues de quartier du XVe, une autre procession multipliant bannières, litanies et Ave voyait descendre sur la chaussée plus de 500 personnes derrière le curé de Saint-Jean-Baptiste de la Salle en chape d’or et une statue de l’Immaculée portée par des Chevaliers du Saint-Sépulcre, en union avec la veillée de Notre-Dame et en « réparation » des outrages contre le Christ.
Portant des fleurs blanches aux abords du Théâtre du Rond-Point – aussitôt arrachées, aussitôt piétinées par une contre-manifestation de gauche – l’association « Culture et foi, si on se respectait » avec Mgr Nicolas Brouwet, Frigide Barjot, Jacques de Guillebon ont manifesté avant de demander à être reçus par le directeur Jean-Michel Ribes. Je doute, soit dit en passant, que les intéressés aient vu le spectacle, qui rend tout dialogue difficile, voire déplacé. Lire à ce sujet le blog de Bernard Antony, qui dit tout aussi pudiquement que possible.
Christine Boutin s’est hélas (pour elle) pris les pieds dans le tapis en affirmant à propos de ce rassemblement-là : « Je condamne ces manifestations. » « Je préfère la liberté d’expression, elle est beaucoup plus importante que toute censure. Je suis absolument hostile à la censure. »
Approuve-t-elle vraiment le droit et la liberté de mettre en scène des représentations obscènes de la Crucifixion et de Jésus dans les bras de sa Mère ?
JEANNESMITS
2 autres commentaires de siloe
siloe
vu sur civitas ;
A la demande de la mairie du VIII° arrondissement de Paris, nous apportons bien volontiersle correctif suivantconcernant les subventions attribuées au théâtre du Rond Point, théâtre privé appartenant à hauteur de 42% à M. Jean-Michel RIBES.
La subvention de plus d'un million d'eurosn'a pas été attribuée par la mairie du VIII° arrondissement, mais par la mairie de Paris et son …Plus
vu sur civitas ;

A la demande de la mairie du VIII° arrondissement de Paris, nous apportons bien volontiersle correctif suivantconcernant les subventions attribuées au théâtre du Rond Point, théâtre privé appartenant à hauteur de 42% à M. Jean-Michel RIBES.

La subvention de plus d'un million d'eurosn'a pas été attribuée par la mairie du VIII° arrondissement, mais par la mairie de Paris et son maire M. Bertrand DELANOË. La mairie du VIII° n'a émis qu'un avis certesfavorable à l'unanimitémais uniquement consultatif. Un avis défavorable n'aurait rien changé à la volonté de la mairie de Paris d'attribuer cette subvention à M. Jean-Michel RIBES.

Notons aussi , par souci d'objectivité que

- Mme Christine PIREDDA "trouve le montant de cette subvention de fonctionnement absolument astronomique" et "que cette pratique existe souvent dans les théâtre subventionnés qui préfèrent jouer devant des salles pleines plutôt qu’aux trois-quarts vides, mais elle convient quecette politique de distribution d’invitations peut, parfois, être assimilée à du clientélisme."

-Mme Chantal TIBERGHIEN s’interroge surle taux de spectateurs non-payants à chaque représentation, qui atteindrait 60 %.

-Mme Christine PIREDDA répond que cette pratique existe souvent dansles théâtre subventionnésqui préfèrent jouer devant des salles pleines plutôt qu’aux trois-quarts vides, mais elle convient quecette politique de distribution d’invitations peut, parfois, être assimilée à du clientélisme.

Enfin afin qu'il n'y ait aucun doute sur la véracité des faits, Civitas vous propose la lecture ci-après de la délibération concernantcette affaire de "clientélisme" (sic) :
siloe
ribes est désormais la risée du tout Paris .
qq 200 personnes à la 1° et pas moins de 800 Policiers mobilisés pour assurer la sécurité du personnage.
Mais de quoi as t-il peur ?
Si il le savait il se précipiterait devant le Saint Sacrement pour implorer la Miséricorde Divine. ✍️
Prions pour Lui.Plus
ribes est désormais la risée du tout Paris .

qq 200 personnes à la 1° et pas moins de 800 Policiers mobilisés pour assurer la sécurité du personnage.
Mais de quoi as t-il peur ?
Si il le savait il se précipiterait devant le Saint Sacrement pour implorer la Miséricorde Divine. ✍️

Prions pour Lui.