Le peuple analphabète avant la république ? EXTRAIT de ► Marion Sigaut en direct – Émission du 28 septembre 2014 sur ERTVPlus
Le peuple analphabète avant la république ?
EXTRAIT de ► Marion Sigaut en direct – Émission du 28 septembre 2014 sur ERTV
EXTRAIT de ► Marion Sigaut en direct – Émission du 28 septembre 2014 sur ERTV
Réponse à amphicyon ingens 13/11/2014 19:42:37 [...] On est plus dans l'obscurantisme d'illettrés
Lettres de Voltaire à M. D’Amilaville (Œuvres complètes – Éditions Garnier frères (1881), correspondance tome XII)
■ 19 mars 1766 (pp 247/248) : « il n’y aurait guère que deux mille sages en France; mais ces deux mille, en dix ans, en produisent quarante mille, et c’est à peu près tout ce …Plus
Réponse à amphicyon ingens 13/11/2014 19:42:37 [...] On est plus dans l'obscurantisme d'illettrés
Lettres de Voltaire à M. D’Amilaville (Œuvres complètes – Éditions Garnier frères (1881), correspondance tome XII)
■ 19 mars 1766 (pp 247/248) : « il n’y aurait guère que deux mille sages en France; mais ces deux mille, en dix ans, en produisent quarante mille, et c’est à peu près tout ce qu’il faut: car il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu’il soit instruit; il n’est pas digne de l’être. »
■ 1er avril 1766 (pp 256/257) : « Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s’instruire ; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir, comme moi, une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois, c’est l’habitant des villes : cette entreprise est assez forte et assez grande.»
Lettres de Voltaire à M. D’Amilaville (Œuvres complètes – Éditions Garnier frères (1881), correspondance tome XII)
■ 19 mars 1766 (pp 247/248) : « il n’y aurait guère que deux mille sages en France; mais ces deux mille, en dix ans, en produisent quarante mille, et c’est à peu près tout ce qu’il faut: car il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu’il soit instruit; il n’est pas digne de l’être. »
■ 1er avril 1766 (pp 256/257) : « Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s’instruire ; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir, comme moi, une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois, c’est l’habitant des villes : cette entreprise est assez forte et assez grande.»
Réponse à amphicyon ingens 13/11/2014 19:42:37 [...] On est plus dans l'obscurantisme d'illettrés