fr.news
31,6 k

Les médias dominants l'admettent : l'histoire du charnier canadien était BIDON

"Pas un seul charnier n'a été découvert au Canada l'année dernière", écrit Terry Glavin sur NationalPost.com (26 mai). Il admet que le gouvernement Trudeau et "les médias du monde entier se sont …Plus
"Pas un seul charnier n'a été découvert au Canada l'année dernière", écrit Terry Glavin sur NationalPost.com (26 mai).
Il admet que le gouvernement Trudeau et "les médias du monde entier se sont trompés sur les pensionnats," provoquant une hystérie criminelle anti-Église.
"Les nombreux sites de tombes non marquées qui ont fait la une des journaux internationaux étaient soit des cimetières déjà connus, soit des lieux de spéculation encore aujourd'hui, non vérifiés comme étant de véritables tombes."
Glavin affirme que "pas un seul enfant" n'a été localisé dans aucun de ces endroits.
Depuis l'année dernière, début du canular, "rien" de nouveau n'a été ajouté aux archives publiques. L'héritage des écoles avait déjà été exploré de manière exhaustive dans une série d'enquêtes, d'audiences publiques et d'investigations fédérales remontant à plusieurs décennies.
Cependant, depuis 2021, les médias dominants ont accusé l'Église de "meurtre de masse". En conséquence, des dizaines d'églises ont …Plus
Grosminet
Ces histoires de soi-disant charniers sont une vaste supercherie. C'est généralement à la demande des parents démunis que les communautés se chargeaient des obsèques des enfants qui mourraient, comme partout à l'époque, de tuberculose ou d'autres maladies infectieuses. On avait alors coutume de planter en terre une simple croix de bois qui, bien entendu, finissait par pourrir après des décennies …Plus
Ces histoires de soi-disant charniers sont une vaste supercherie. C'est généralement à la demande des parents démunis que les communautés se chargeaient des obsèques des enfants qui mourraient, comme partout à l'époque, de tuberculose ou d'autres maladies infectieuses. On avait alors coutume de planter en terre une simple croix de bois qui, bien entendu, finissait par pourrir après des décennies. Ce ne sont pas des charniers mais des cimetières catholiques. À quoi se serait-on attendu ? À de glorieux monuments de pierre et de bronze pour chaque enfant inhumé ?
Etienne bis
Laissons cette crapule à comédies : c'est aux Canadiens à le pendre par ses bijoux de famille.
dvdenise
Des archives qui témoignent de l’histoire sombre du pensionnat de Kamloops
Des archives qui témoignent de l’histoire sombre du pensionnat de Kamloops | Pensionnats pour Autochtones