Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme François l'est, concluez !

« Si jamais le Pape, comme personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait à l’instant déchu du pontificat, car, comme il serait alors hors de l’Église, il ne pourrait plus être chef de l’Église. …More
« Si jamais le Pape,
comme personne privée,
tombait dans l’hérésie,
il serait à l’instant déchu du pontificat,
car, comme il serait alors hors de l’Église,
il ne pourrait plus être chef de l’Église.
Dans ce cas, l’Église devrait donc,
non le déposer puisque personne n’a autorité sur le Pape, mais le déclarer déchu du pontificat. Nous avons dit : “ Si le Pape, comme personne privée, tombait dans l’hérésie !” car le Pape, en tant que Pape, c’est-à-dire donnant ses enseignements ex-cathedra à l’Église universelle, ne peut enseigner aucune erreur contre la foi, attendu que la promesse de Jésus-Christ ne peut manquer de se réaliser, à savoir que les portes de l’enfer ne prévaudraient jamais contre l’Église. Il est hors de doute que si un pape était hérétique déclaré, comme le serait celui qui définirait publiquement une doctrine opposée à la loi divine, il pourrait, non pas être déposé par un concile, mais être déclaré déchu du pontificat en sa qualité d’hérétique. » (Saint Alphonse de Liguori)More
avecrux.avemaria
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"Correctio"
Au moyen de paroles, d’actions et d’omissions et par des passages du document « Amoris laetitia », Votre Sainteté a soutenu, de manière directe ou indirecte (avec quelle connaissance de cause, nous ne le savons pas et nous ne voulons pas en juger), les propositions fausses et hérétiques suivantes, propagées dans l’Eglise aussi bien de …More
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"Correctio"

Au moyen de paroles, d’actions et d’omissions et par des passages du document « Amoris laetitia », Votre Sainteté a soutenu, de manière directe ou indirecte (avec quelle connaissance de cause, nous ne le savons pas et nous ne voulons pas en juger), les propositions fausses et hérétiques suivantes, propagées dans l’Eglise aussi bien de façon officielle que par acte privé :

1. « Une personne justifiée n’a pas la force avec la grâce de Dieu d’accomplir les commandements objectifs de la loi divine, comme si certains commandement étaient impossibles à observer pour celui qui est justifié ; ou comme si la grâce de Dieu, en produisant la justification d’un individu, ne produisait pas invariablement et par sa nature la conversion de tout péché grave, ou comme si elle ne suffisait pas à la conversion de tout péché grave. »

2. « Les chrétiens qui ont obtenu le divorce civil de leur conjoint avec lequel ils étaient validement mariés et ont contracté un mariage civil avec une autre personne (alors que leur conjoint était en vie) ; ceux qui vivent ‘more uxorio’ avec leur partenaire civil et ont choisi de rester dans cet état en toute conscience de la nature de leur action et en toute conscience de la volonté de demeurer dans cet état, ne sont pas nécessairement en état de péché mortel et peuvent recevoir la grâce sanctifiante et grandir dans la charité ».

3. « Un chrétien peut être pleinement conscient d’une loi divine et peut volontairement choisir de la violer dans une matière grave mais ne pas être en état de péché mortel comme résultat de cette ‘action’ ».

4. « Une personne, tout en obéissant à la loi divine, peut pécher contre Dieu en vertu de cette même obéissance ».

5. « La Conscience peut véritablement et correctement juger que parfois les actes sexuels entre des personnes qui ont contracté entre elles un mariage civil, bien que l’une ou deux d’entre elles soient sacramentellement mariées avec une autre personne, sont moralement bons, demandés ou commandés par Dieu ».

6. « Les principes moraux et les vérités morales contenues dans la Révélation Divine et dans la loi naturelle n’incluent pas d’interdits négatifs qui défendent absolument certains types d’actions qui par leur objet sont toujours gravement illicites ».

7. « Notre Seigneur Jésus Christ veut que l’Eglise abandonne sa discipline constante de refuser l’Eucharistie aux divorcés remariés et de refuser l’absolution aux divorcés remariés qui ne manifestent pas de repentir pour leur état de vie et une ferme intention de s’amender ».

Ces propositions contredisent toutes des vérités qui sont divinement révélées et que les catholiques doivent croire avec l’assentiment de la foi divine. […] Il est nécessaire pour le bien des âmes que leur condamnation soit rappelée par l’autorité de l’Eglise. En faisant la liste de ces sept propositions nous n’avons pas l’intention de donner une liste exhaustive des hérésies et erreurs qu’un lecteur sans préjugés, tentant de lire « Amoris laetitia » dans son sens naturel et obvie, pourrait de manière plausible estimer avoir été affirmées, suggérées ou favorisées par ce document. […] Nous cherchons plutôt à donner la liste des propositions que les paroles, les actions et les omissions de Votre Sainteté ont en effet soutenues et propagées, plaçant les âmes dans un danger grave et imminent.

En ces heures critiques, donc, nous nous tournons vers la « cathedra veritatis », l’Eglise romaine, qui par la loi divine a prééminence sur toutes les Eglises, et dont nous sommes et avons l’intention de rester toujours les enfants loyaux, et nous insistons respectueusement pour que Votre Sainteté rejette publiquement ces propositions, accomplissant ainsi le mandat que Notre Seigneur Jésus- Christ a donné à saint Pierre et à travers lui à tous ses successeurs jusqu’à la fin du monde : « J’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères. »(Luc, 22, 32)

Nous demandons respectueusement à Votre Sainteté sa bénédiction apostolique, avec l’assurance de notre dévouement filial en Notre Seigneur et de notre prière pour le bien de l’Eglise.