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Un ÉVÊQUE COURAGEUX CONDAMNE l'IDOLÂTRIE du VATICAN

Album ACTU >>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme FRANÇOIS est HÉRÉTIQUE et APOSTAT, concluez ! * * * Mgr ATHANASIUS SCHNEIDER CONDAMNE le CULTE RENDU à ROME au VEAU d'OR, la PACHAMAMA, et APPELLE à …More
Album ACTU
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme FRANÇOIS est HÉRÉTIQUE et APOSTAT, concluez !
* * *

Mgr ATHANASIUS SCHNEIDER
CONDAMNE le CULTE RENDU à ROME au VEAU d'OR, la PACHAMAMA,
et APPELLE à la PRIÈRE

Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de Sainte-Marie in Astana, a lancé un vibrant appel à une chaîne de prière mondiale, proposant une invocation à la Sainte Trinité afin de réparer et contrer le culte idolâtre rendu à Rome à des statuettes de la « Terre Mère », la Pachamama, avec la complicité des plus hautes autorités vaticanes.
Il n'hésite pas à qualifier de « veau d'or » les statuettes de femmes nues enceintes, symboles de la fertilité, et rappelle que tout évêque, de par sa charge de successeur des apôtres, a le devoir de dire la vérité à leur propos. Je vous propose ici ma traduction rapide de la Lettre ouverte que Mgr Schneider a publiée à cette occasion. La prière à la Sainte Trinité se trouve à la fin. – Jeanne Smits.
1. « Vous n’aurez pas d’autres dieux devant …More
Catholique et Français
Moi, qui suis traité partout d'"intégriste", de "fanatique", de "sectaire", d'"intolérant", de "facho", d'"hypocrite" et même de "pharisien"..., je suis comme les autres hommes pécheurs et même bien pire qu'eux (Dieu le voit et le sait...) : c'est pour cette raison précise que je pratique tous les sacrements avec assiduité, très conscient que seule ma religion pourra me sauver de mes misères,…More
Moi, qui suis traité partout d'"intégriste", de "fanatique", de "sectaire", d'"intolérant", de "facho", d'"hypocrite" et même de "pharisien"..., je suis comme les autres hommes pécheurs et même bien pire qu'eux (Dieu le voit et le sait...) : c'est pour cette raison précise que je pratique tous les sacrements avec assiduité, très conscient que seule ma religion pourra me sauver de mes misères, de mes abjections, de mes abominations et de ma triste condition; ce n'est certainement pas moi qui suis "meilleur que les autres" (holàlà, quelle folie !) mais ma Religion, lorsqu'elle n'est pas frelatée, qui est meilleure, et même mille fois meilleure que les autres religions ou "philosophies" : pouvez-vous comprendre cela, messieurs les conciliaires ? Je me vois traité de mauvais catholique et de "pharisien" par des gens qui ne baptisent plus leurs enfants, qui ne se confessent jamais, qui méprisent le Saint-Esprit (mon curé n'a pas été capable de citer deux des Sept Dons du S.E.), qui ont un comportement indigne devant l'Eucharistie qui seule sauve, qui ne voient pas de mal dans l'"IVG" et le mariage homosexuel ou qui s'accommodent très bien de toutes les horreurs dont sont abreuvés à longueur d'année les Très Saints Coeurs de Jésus et de Marie. "Aimer son prochain", c'est un commandement d'amour, et le premier de tous, qui signifie pour un catholique vouloir, avant tout le reste (qui, évidemment compte aussi), le bien le plus précieux pour son prochain : Dieu et son Paradis ! Et non, le laisser, le conforter ou l'enfoncer dans ce qui est vil, idolâtre, faux, mensonger et qui mène au malheur et à la souffrance, dès ici-bas, en attendant l'enfer éternel ! Le pape nous accuse de "mépriser" notre prochain, mais ce n'est pas notre prochain que nous méprisons (quelle folie !) mais ses erreurs et surtout sa fausse religion, en commençant par celle de notre temps, la religion du Culte de l'Homme, de l'Homme qui se fait Dieu ! Ceux qui affirment ne pas "mépriser" leur prochain, ils le laissent et le confortent dans sa fange religieuse ou "philosophique" et c'est cela qu'ils appellent aimer !!! Insensés que vous êtes, vous qui vous moquez des commandements de Dieu ! L'"amour", cela veut tout dire et rien dire; c'est l'un des mots les plus galvaudés et les plus ambigus; il peut signifier jusqu'à la pire des choses et comme le disait un grand saint : "l'amour des autres jusqu'au mépris de soi contre l'amour de soi jusqu'au mépris des autres" ! Ce qui est "vil" et "sans valeur", Très Saint Père, ce n'est pas notre prochain mais sa religion, ses "valeurs" et idéologies qui le mènent à sa damnation et qui mènent nos sociétés modernes à l'enfer sur terre ! Ouvrez vos yeux ! Pourquoi ne lui dites-vous pas ? Ce n'est pas du prochain qu'il faut "s'éloigner" ou "élever des murs pour accroitre les distances" mais de ses affreuses ou pernicieuses religions ou idéologies qu'il répand et qui ont infecté le monde entier et dont il faut se garder et garder ses enfants comme la pire et la plus contagieuses des pestes. Et quand vous parlez doctement du "mépris des traditions", de l'"effacement des histoires", de l'"usurpations des biens", des "oppressions", des "exploitations" et "du commerce des personnes", vous seriez bien inspiré, Très Saint Père, de voir ce qui crève les yeux, de voir que tout cela s'applique prioritairement et en tout premier lieu de nos jours au monde catholique plus qu'à tout autre et vous seriez bien inspiré de tourner vos yeux sur le pire crime des temps modernes, crime qui réalise tout ce que vous venez de dire : le massacre de la Chrétienté, dont vous avez été établi, en principe, berger et gardien ! Avez-vous un instant conscience du drame apocalyptique qui se joue sous vos yeux ? Ou dites-vous au contraire "Suis-je le gardien de mes frères ?" Vous passez votre temps à culpabiliser les catholiques et à battre à bon compte et sans risque, aux applaudissements du monde, votre coulpe sur les catholiques des temps passés en taisant qu'ils ont été le sel de la terre et que leurs fautes humaines sont incomparablement moins importantes que le bien colossal qui a été fait depuis 2000 ans ! Et vous gardez soigneusement le silence sur le monde apostat, païen, idolâtre ou maçonnique qui a produit infiniment plus de mal, d'horreur et de malheur que de bien au fil des siècles ! Qu'est-ce que cela veut dire ? Qui êtes-vous pour parler ainsi ? Qui aura pitié du pauvre prochain "désorienté", possédé par d'abominables religions et idéologies", qui aura pitié des pauvres âmes qui se perdent ? "...Demandons à Jésus de nous guérir de la propension à dire du mal et à nous plaindre des autres, de la propension à mépriser quelqu’un : ce sont des choses qui déplaisent à Dieu..." (sic !) : ce qui déplait à Dieu, Très Saint Père, c'est de ne pas dire haut et fort le mal effarant que produisent les idéologies et les fausses religions chez les "autres", c'est de conforter les "autres" dans ce qui les perd, temporellement et éternellement, c'est la propension à mépriser ses frères ou aïeux catholiques et à déformer ce en quoi ils croient ou croyaient fermement." L' Amour, la Charité vient de Dieu et celui qui parle d'Amour du prochain en méprisant le reste des Commandements de Dieu, faisant se contredire Dieu, Le méprisant, celui-là est un hypocrite et un pharisien ! Comme disait en substance saint Augustin : celui qui prend dans sa religion ce qui lui convient et rejette ce qui lui déplait, celui-là croit plus en lui-même qu'en Dieu !" Le "Culte de l'Homme", en somme !