Le Vatican est prêt à remettre la nomination des évêques chinois au régime local. L'accord sera effectif après la fin du mois de mars, selon le Corriere della Sera (17 février).
Cet accord est une trahison de l'Église catholique en faveur de l'Association patriotique catholique chinoise qui a été créée en 1957 pour contraster l'Église. L'accord va encore nuire à la réputation de François et du Vatican en Chine et dans le monde.
François entend également trahir Taïwan en faveur des relations diplomatiques avec Pékin. Taïwan a récemment envoyé une délégation à Rome, mais François s'est caché dans le palais doré tandis que le groupe était reçu par l'archevêque Paul Gallagher.
L'accord de la Chine contredit le concile Vatican II, qui voulait que "plus aucun droit ou privilège d'élection, de nomination, de présentation ou de désignation pour la fonction d'évêque ne soit accordé aux autorités civiles" (Christus Dominus 20).
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