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L'impasse de la nouvelle Église. Image: © gloria.tv, CC BY-ND, #newsJzafjlscooMore
L'impasse de la nouvelle Église.
Image: © gloria.tv, CC BY-ND, #newsJzafjlscoo
Psaume 62
Et puisque le schismatique et hérétique Spina Christi insiste tant, rappelons-lui que ses accusations calomnieuses de mensonge à l’endroit du saint Magistère et de moi-même, rejaillissent à la fois sur le saint pape Grégoire VII et sur Marcel Lefebvre, archevêque excommunié ipso facto et fondateur d’une Fraternité dont il est proche.
« Il y a quelques textes conciliaires, évidemment, conformes …More
Et puisque le schismatique et hérétique Spina Christi insiste tant, rappelons-lui que ses accusations calomnieuses de mensonge à l’endroit du saint Magistère et de moi-même, rejaillissent à la fois sur le saint pape Grégoire VII et sur Marcel Lefebvre, archevêque excommunié ipso facto et fondateur d’une Fraternité dont il est proche.

« Il y a quelques textes conciliaires, évidemment, conformes à la Tradition, qui ne posent AUCUN PROBLÈME : je pense à "Lumen gentium" ***, mais aussi à d’autres documents, tel celui sur la formation sacerdotale et sur les séminaires » ( Mgr Lefebvre, in Revue Pacte, 1987 )

*** « Mais le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans qui, professant avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour. » ( Citation de la Constitution dogmatique Lumen gentium, Vatican II )

Le saint pape Grégoire VII écrivit en effet au XIe siècle dans une lettre à l’adresse de l’émir musulman Al Nassir :

« Car le Dieu tout-puissant qui veut sauver tous les hommes et n’en perdre aucun, n’apprécie en nous rien tant que l’amour du prochain après l’amour de lui et le soin de ne pas faire à autrui ce que l’on ne veut pas qui nous soit fait. Cette charité, à l’évidence, vous et nous, nous nous la devons plus expressément qu’aux autres nations, puisque NOUS reconnaissons et confessons *, de façon il est vrai différente, le Dieu unique * que chaque jour NOUS louons et vénérons comme créateur des siècles et maître de ce monde... ».

( * L'expression latine originelle « credimus unum Deum » autorise à parler indifféremment de foi « au Dieu unique » « au Dieu un » ou « en un Dieu un » ; or, dans le contexte, compte tenu notamment de l’emploi répété du pronom « nous », on doit entendre : « le Dieu unique » )