Oser la communion plénière à la foi catholique. Oser la communion plénière à la foi catholique. C'est un défis à relever, comme le demande Benoît XVI : Garder tous les dogmes depuis le début de …More
Oser la communion plénière à la foi catholique.
Oser la communion plénière à la foi catholique.
C'est un défis à relever, comme le demande Benoît XVI :
Garder tous les dogmes depuis le début de l'Eglise jusqu'à aujourd'hui, en passant par le Saint Concile Vatican II.
la liste des principales vérités dogmatiques développées dans Vatican II :
1° L'homme est par nature un être libre et la liberté religieuse est une condition de sa nature.
2° L'Ordre des évêques est un ordre indépendant, radicalement non réductible à l'Ordre des prêtres, quoiqu'en dise saint Thomas d'Aquin.
3° Le mariage est ordonné de manière indissociable à l'amour réciproque des époux et au don de la vie (et non à la procréation et à l'assouvissement du désir, comme l'enseignait saint thomas d'Aquin). 4° Les religions autres que le christianisme possèdent en elles des "semences de l'Esprit saint" qui disposent les âmes des non-chrétiens au salut. 5° Nous devons tenir que Dieu proposera à tous, sans exception, la possibilité …More
Oser la communion plénière à la foi catholique.
C'est un défis à relever, comme le demande Benoît XVI :
Garder tous les dogmes depuis le début de l'Eglise jusqu'à aujourd'hui, en passant par le Saint Concile Vatican II.
la liste des principales vérités dogmatiques développées dans Vatican II :
1° L'homme est par nature un être libre et la liberté religieuse est une condition de sa nature.
2° L'Ordre des évêques est un ordre indépendant, radicalement non réductible à l'Ordre des prêtres, quoiqu'en dise saint Thomas d'Aquin.
3° Le mariage est ordonné de manière indissociable à l'amour réciproque des époux et au don de la vie (et non à la procréation et à l'assouvissement du désir, comme l'enseignait saint thomas d'Aquin). 4° Les religions autres que le christianisme possèdent en elles des "semences de l'Esprit saint" qui disposent les âmes des non-chrétiens au salut. 5° Nous devons tenir que Dieu proposera à tous, sans exception, la possibilité …More
@Arnaud Dumouch
Tout doucement, vous progressez. Vous venez d'avouer que Moïse n'a fait que NE PAS PARLER LUI-MÊME de la vie après la mort, mais que donc, IL Y AVAIT BIEN CRU, comme l'affirme dans l'Evangile Notre Seigneur Jésus Christ, qui ne peut mentir. Sa mission était de transmettre la Parole de Dieu affirmant la réalité de cette Vie éternelle.
Il vous reste une dernière étape : valider …More
@Arnaud Dumouch
Tout doucement, vous progressez. Vous venez d'avouer que Moïse n'a fait que NE PAS PARLER LUI-MÊME de la vie après la mort, mais que donc, IL Y AVAIT BIEN CRU, comme l'affirme dans l'Evangile Notre Seigneur Jésus Christ, qui ne peut mentir. Sa mission était de transmettre la Parole de Dieu affirmant la réalité de cette Vie éternelle.
Il vous reste une dernière étape : valider définitivement dans votre esprit cette vérité. Moïse, quant à lui, CROYAIT à ce que Dieu lui avait dit : qu'Il est le Dieu de vivants, et non de morts. CROYAIT ! ( comme Jésus l'affirme en Luc 20,37 ) , mais sans le développer dans son enseignement. Cela se fit effectivement progressivement dans l'histoire du peuple hébreux, jusqu'au Christ, qui mit en pleine lumière cette notion.
Pourtant, de nombreux hébreux ont du, comme Moïse, entendre avec le coeur cette Parole divine ( " Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob " ), la méditer, et comprendre que la mort n'est pas la fin pour l'homme. Ce fut le ferment dans la pâte, jusqu'à ce qu'elle eût entièrement levée.
Tout doucement, vous progressez. Vous venez d'avouer que Moïse n'a fait que NE PAS PARLER LUI-MÊME de la vie après la mort, mais que donc, IL Y AVAIT BIEN CRU, comme l'affirme dans l'Evangile Notre Seigneur Jésus Christ, qui ne peut mentir. Sa mission était de transmettre la Parole de Dieu affirmant la réalité de cette Vie éternelle.
Il vous reste une dernière étape : valider définitivement dans votre esprit cette vérité. Moïse, quant à lui, CROYAIT à ce que Dieu lui avait dit : qu'Il est le Dieu de vivants, et non de morts. CROYAIT ! ( comme Jésus l'affirme en Luc 20,37 ) , mais sans le développer dans son enseignement. Cela se fit effectivement progressivement dans l'histoire du peuple hébreux, jusqu'au Christ, qui mit en pleine lumière cette notion.
Pourtant, de nombreux hébreux ont du, comme Moïse, entendre avec le coeur cette Parole divine ( " Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob " ), la méditer, et comprendre que la mort n'est pas la fin pour l'homme. Ce fut le ferment dans la pâte, jusqu'à ce qu'elle eût entièrement levée.