fr.news
116948

Viganò persiste : Des conspirateurs ont utilisé Vatican II pour démolir l'Église

L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu sur MarcoTosatti.com (6 juillet) à Sandro Magister qui a affirmé que sa critique de Vatican II est "au bord du schisme". Viganó regrette qu'on ne lui parle …More
L'archevêque Carlo Maria Viganò a répondu sur MarcoTosatti.com (6 juillet) à Sandro Magister qui a affirmé que sa critique de Vatican II est "au bord du schisme".
Viganó regrette qu'on ne lui parle pas mais qu'on lui "colle des épithètes" et remarque que dans l'Eglise, l'étiquette utilisée pour mettre l'adversaire dans une position d'infériorité, indigne d'attention ou de réponse, est "Lefebvriste" - alors que sur le front sociopolitique, elle est "fasciste".
Viganò réaffirme que nous avons tous été "trompés" par ceux qui ont utilisé Vatican II comme un "conteneur doté de sa propre autorité implicite" tout en "déformant son but".
Ceux qui ont été trompés n'imaginaient pas - explique Viganò - qu'à Vatican II, une minorité de conspirateurs bien organisés a utilisé un Concile "pour démolir l'Église de l'intérieur".
Viganò dit que "l'ambiguïté intentionnelle" des textes visait à maintenir ensemble des visions opposées et inconciliables, "au nom d'une évaluation de l'utilité et au détriment …More
Spina Christi 2
@Psaume 62
Inutile de continuer ces échanges pour ce soir.
Je te laisse méditer sur tes malheureuses paroles que j'espère non conformes à ta Foi, mais dues seulement à un sursaut de colère.
Pour t'y aider je te renvoie à ces commentaires de saint Thomas d'Aquin :

"Quelle est donc, cette conduite, Seigneur ? Vous vous montrez favorable au péché ? Non, assurément. Ecoutez ce qui suit : « Allez,…More
@Psaume 62

Inutile de continuer ces échanges pour ce soir.

Je te laisse méditer sur tes malheureuses paroles que j'espère non conformes à ta Foi, mais dues seulement à un sursaut de colère.

Pour t'y aider je te renvoie à ces commentaires de saint Thomas d'Aquin :

"Quelle est donc, cette conduite, Seigneur ? Vous vous montrez favorable au péché ? Non, assurément. Ecoutez ce qui suit : « Allez, et ne péchez plus. » Vous le voyez donc, le Seigneur condamne le péché, mais il ne condamne pas l'homme ; s'il favorisait le péché, il aurait dit à cette femme : Allez et vivez comme vous l'entendez. Soyez assurée que je serai votre libérateur, quelque énormes que soient vos crimes, je vous délivrerai de l'enfer et de ses supplices, mais tel n'est point son langage."