Parce que François blasphème Marie, il rejoindra Jean-Paul II dans le feu de l'enfer !
PÈLERINAGE DU PAPE FRANÇOIS AU SANCTUAIRE DE NOTRE-DAME DE FÁTIMA à l'occasion du centenaire des apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie à la Cova da Iria (12-13 mai 2017) BÉNÉDICTION DES BOUGIES …More
PÈLERINAGE DU PAPE FRANÇOIS AU SANCTUAIRE DE NOTRE-DAME DE FÁTIMA
à l'occasion du centenaire des apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie à la Cova da Iria
(12-13 mai 2017)
BÉNÉDICTION DES BOUGIES
SALUT DU SAINT-PÈRE
Petite chapelle des Apparitions, Fátima
Vendredi 12 mai 2017
Chers pèlerins de Marie et avec Marie ! Merci de m’accueillir parmi vous et de vous unir à moi en ce pèlerinage vécu dans l’espérance et dans la paix. Dès maintenant, je désire assurer tous ceux qui s’unissent à moi, ici ou ailleurs, que je vous porte tous dans mon cœur. Je sens que Jésus vous a confiés à moi (cf. Jn 21, 15-17), et je vous embrasse et vous confie tous à Jésus, “spécialement ceux qui en ont le plus besoin” – comme la Vierge nous a enseigné à prier (Apparition de juillet 1917). Mère douce et attentive à tous ceux qui sont dans le besoin, qu’elle leur obtienne la bénédiction du Seigneur ! Sur chacun des déshérités et des malheureux à qui a été volé le temps présent, sur chacune des personnes …More
à l'occasion du centenaire des apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie à la Cova da Iria
(12-13 mai 2017)
BÉNÉDICTION DES BOUGIES
SALUT DU SAINT-PÈRE
Petite chapelle des Apparitions, Fátima
Vendredi 12 mai 2017
Chers pèlerins de Marie et avec Marie ! Merci de m’accueillir parmi vous et de vous unir à moi en ce pèlerinage vécu dans l’espérance et dans la paix. Dès maintenant, je désire assurer tous ceux qui s’unissent à moi, ici ou ailleurs, que je vous porte tous dans mon cœur. Je sens que Jésus vous a confiés à moi (cf. Jn 21, 15-17), et je vous embrasse et vous confie tous à Jésus, “spécialement ceux qui en ont le plus besoin” – comme la Vierge nous a enseigné à prier (Apparition de juillet 1917). Mère douce et attentive à tous ceux qui sont dans le besoin, qu’elle leur obtienne la bénédiction du Seigneur ! Sur chacun des déshérités et des malheureux à qui a été volé le temps présent, sur chacune des personnes …More
@Symphytum
Cette citation de l’ouvrage du « Signe de contradiction » de Karol Wojtyla daté de 1976, ouvrage qui compile ses méditations de prédicateur de la retraite de Carême de 1976 devant le pape Paul VI, N’EST PAS UNE PREUVE d’hérésie. En effet, cette citation est visiblement tronquée, elle ne rend pas compte du contexte de l’ensemble de son propos, sans oublier qu’un prédicateur et …More
@Symphytum
Cette citation de l’ouvrage du « Signe de contradiction » de Karol Wojtyla daté de 1976, ouvrage qui compile ses méditations de prédicateur de la retraite de Carême de 1976 devant le pape Paul VI, N’EST PAS UNE PREUVE d’hérésie. En effet, cette citation est visiblement tronquée, elle ne rend pas compte du contexte de l’ensemble de son propos, sans oublier qu’un prédicateur et théologien peut évoquer une hypothèse erronée pour la réfuter ensuite, comme le fit très souvent St Thomas dans sa Somme théologique. Il m’étonnerait fortement que le pape Paul VI n’ait pas dans ce cas relevé par la suite cette hérésie d’apocatastase et que d’autres théologiens ne l’aient pas fait par la suite, notamment lors de son procès de canonisation ! Je ne dispose pas chez moi de cet ouvrage et il n’est pas semble-t-il en accès libre sur le Net.
Voici en revanche sa pensée personnelle objective sur ce sujet en tant que théologien privé Jean-Paul II ( Car le Catéchisme de 1993 dit de Jean-Paul II est on ne peut plus clair sur cette question ), pensée tirée du livre d’entretien « Entrez dans l’espérance » : « Rends-toi compte que, qui que tu sois, tu es aimé ! Souviens-toi que l’Évangile est une invitation à la joie ! N’oublie pas que tu as un Père et que chaque vie, même la plus insignifiante pour les hommes, a une valeur éternelle et infinie à ses yeux (...) Cependant la question continue de se poser. Dieu a tant aimé l’homme, peut-il accepter que celui-ci Le rejette et pour ce motif soit condamné à des tourments sans fin ? Pourtant, les paroles du Christ sont sans équivoque. Chez Matthieu, il parle clairement de ceux qui connaîtront des peines éternelles. Qui seront-ils ? L’Église n’a jamais voulu prendre position. Il y a là un mystère impénétrable, entre la sainteté de Dieu et la conscience humaine. Le silence de l’Église est donc la seule attitude convenable. Même si le Christ dit, à propos de Judas qui vient de le trahir : “ Il vaudrait mieux que cet homme-là ne soit pas né ! ” cette phrase ne doit pas être comprise comme la damnation pour l’éternité. »
Cette citation de l’ouvrage du « Signe de contradiction » de Karol Wojtyla daté de 1976, ouvrage qui compile ses méditations de prédicateur de la retraite de Carême de 1976 devant le pape Paul VI, N’EST PAS UNE PREUVE d’hérésie. En effet, cette citation est visiblement tronquée, elle ne rend pas compte du contexte de l’ensemble de son propos, sans oublier qu’un prédicateur et théologien peut évoquer une hypothèse erronée pour la réfuter ensuite, comme le fit très souvent St Thomas dans sa Somme théologique. Il m’étonnerait fortement que le pape Paul VI n’ait pas dans ce cas relevé par la suite cette hérésie d’apocatastase et que d’autres théologiens ne l’aient pas fait par la suite, notamment lors de son procès de canonisation ! Je ne dispose pas chez moi de cet ouvrage et il n’est pas semble-t-il en accès libre sur le Net.
Voici en revanche sa pensée personnelle objective sur ce sujet en tant que théologien privé Jean-Paul II ( Car le Catéchisme de 1993 dit de Jean-Paul II est on ne peut plus clair sur cette question ), pensée tirée du livre d’entretien « Entrez dans l’espérance » : « Rends-toi compte que, qui que tu sois, tu es aimé ! Souviens-toi que l’Évangile est une invitation à la joie ! N’oublie pas que tu as un Père et que chaque vie, même la plus insignifiante pour les hommes, a une valeur éternelle et infinie à ses yeux (...) Cependant la question continue de se poser. Dieu a tant aimé l’homme, peut-il accepter que celui-ci Le rejette et pour ce motif soit condamné à des tourments sans fin ? Pourtant, les paroles du Christ sont sans équivoque. Chez Matthieu, il parle clairement de ceux qui connaîtront des peines éternelles. Qui seront-ils ? L’Église n’a jamais voulu prendre position. Il y a là un mystère impénétrable, entre la sainteté de Dieu et la conscience humaine. Le silence de l’Église est donc la seule attitude convenable. Même si le Christ dit, à propos de Judas qui vient de le trahir : “ Il vaudrait mieux que cet homme-là ne soit pas né ! ” cette phrase ne doit pas être comprise comme la damnation pour l’éternité. »