Sylvanus
124806
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Dialogue Sédévavantiste/Conciliaire 3/3 : La nature et les croyances du sédévacantisme.
Dialogue sédévacantiste/Conciliaire 3/3 - La nature et les croyances du sédévacantisme
La fin du débat Arnaud Dumouch/Johann Livernette
Source : www.youtube.com/watch
Catholique et Français
La question du droit à la "liberté de penser" n'est pas une simple question de "pastorale" mais une question, capitale, de vérité et d'erreur; ce prétendu droit est, comme l'a affirmé jadis le pape Grégoire XVI à propos de la très semblable "liberté de conscience", un "délire", car tout droit ne peut avoir d'autre fondement qu'en Dieu Lui-même, parfaitement LIBRE et Maître absolu de Vérité;…More
La question du droit à la "liberté de penser" n'est pas une simple question de "pastorale" mais une question, capitale, de vérité et d'erreur; ce prétendu droit est, comme l'a affirmé jadis le pape Grégoire XVI à propos de la très semblable "liberté de conscience", un "délire", car tout droit ne peut avoir d'autre fondement qu'en Dieu Lui-même, parfaitement LIBRE et Maître absolu de Vérité; cette vérité d'airain est valable maintenant et pour toujours, comme elle était déjà valable au temps de Grégoire XVI ou de Dioclétien. L'erreur des conciliaires et des franc-maçons est de confondre -malignement- "droit" de l'erreur et "tolérance" de l'erreur. Les conséquences de cette confusion sont, de fait, incalculables et dramatiques pour l'avenir du monde avec à la clef, ce qui est déjà très largement entamé, disparition définitive de la Chrétienté. Par ailleurs, il est nécessaire de rappeler en nos temps de "désorientation diabolique" que lorsque l'Eglise parlait, avant Vatican II, de nécessaire liberté de penser, de nécessaire liberté religieuse ou de nécessaire liberté de culte, il s'agissait, évidemment, de la liberté de la seule et unique Religion vraie, la Religion Catholique; cette sainte demande inspirée par l'Esprit Saint s'est soldée par d'immenses cortèges de martyrs que Dieu interdit d'oublier, et encore plus de mépriser... Cela explique que les catholiques réclamaient courageusement, au péril de leur vie, pour leur Religion le droit à la liberté religieuse ou de culte aux nérons des premiers siècles tout en refusant le droit à la liberté religieuse des fausses religions et idolâtries quelques siècles plus tard, pendant les temps de Chrétienté. Aucune contradiction à cela ! Seule une tolérance peut être accordée aux gens dans l'erreur, dans un souci de respect de l'intime des consciences et de la paix civile; mais, en aucun cas une fausse religion, une idolâtrie ou une idéologie incompatible avec le Catholicisme ne peut se targuer du droit à sa "liberté" pour répandre librement son venin dans la société, peser sur les us et coutumes d'un état catholique ou mener au naufrage d'un état catholique !