Psaume 62
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Paul VI : le pape qui a tenu la barre dans la tempête et qui a gardé la foi

Réputé de tendance libérale, le cardinal Montini, archevêque de Milan au début du concile Vatican II, fut un membre éminent …
Cath56
Paul VI, un des plus grands destructeurs de l’Église catholique...
Psaume 62
C'est votre avis, non celui de l'Eglise du Christ, l'Eglise catholique. Saint Paul VI, priez pour nous.
Cath56
L’Église du Christ est l’Église catholique traditionaliste qui maintient la même doctrine depuis 2000 ans et non l’Église conciliaire qui est apostate.
Notre Dame nous avait prévenus à La Salette: "Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'antéchrist. "
Psaume 62
Il n'existe qu'une seule Eglise du Christ, l'Eglise catholique romaine à l'Autorité enseignante et disciplinaire de laquelle tous les baptisés catholiques doivent obéissance.
Pape Léon XIII in Encyclique Satis cognitum (1896) : « Il est donc évident […] que Jésus-Christ a institué dans l’Église un magistère VIVANT ***, authentique et, de plus, perpétuel, qu’il a investi de sa propre autorité …More
Il n'existe qu'une seule Eglise du Christ, l'Eglise catholique romaine à l'Autorité enseignante et disciplinaire de laquelle tous les baptisés catholiques doivent obéissance.

Pape Léon XIII in Encyclique Satis cognitum (1896) : « Il est donc évident […] que Jésus-Christ a institué dans l’Église un magistère VIVANT ***, authentique et, de plus, perpétuel, qu’il a investi de sa propre autorité, revêtu de l’Esprit de vérité, confirmé par des miracles, et il a voulu et très sévèrement ordonné que les enseignements doctrinaux de ce magistère fussent reçus comme les siens propres. »

*** [ « Un magistère vivant, c’est-à-dire qui s’exerce continuellement dans l’Église par la communication de la doctrine révélée. Ce magistère est vivant, en tant qu’il s’oppose au magistère encore exercé actuellement dans l’Église par des hommes qui ont disparu, mais auxquels leurs ouvrages ont survécu. » (« Tradition et Magistère », III, 3, 1, in Dictionnaire apologétique de la foi catholique (DAFC)IV, 1922 ) // « Magistère […] vivant, c’est-à-dire qui demeure toujours dans des maîtres VIVANTS et s’exprime par leur bouche » ( Auguste-Alexis GOUPIL, S.J., La Règle de la Foi ) ]

Pape Léon XIII in Sapientiae Christianae (1890) : « Quant à déterminer quelles doctrines sont renfermées dans cette révélation divine, c’est la mission de l’Église enseignante, à laquelle Dieu a confié la garde et l’interprétation de sa Parole ; dans l’Église, le docteur suprême est le Pontife Romain. L’union des esprits réclame donc, avec un parfait accord dans la même foi, une parfaite soumission et obéissance des volontés à l’Église et au pontife Romain, comme à Dieu lui-même. »

Pape Léon XIII in Enc. Immorte dei (1895) : « Si les catholiques Nous écoutent, comme c’est leur devoir, ils sauront exactement quels sont les devoirs de chacun tant en théorie qu’en pratique. En théorie d’abord, il est nécessaire de s’en tenir avec une adhésion inébranlable à tout ce que les Pontifes romains ont enseigné ou ENSEIGNERONT et, toutes les fois que les circonstances l’exigeront, d’en faire profession publique »

Pape Pie XI, in Mortalium animos (1928) : « C’est de là (du Siège apostolique) que les catholiques reçoivent ce qu’ils doivent savoir »

Pape Pie IX in Enc. Quartus supra (1873) : « En effet, tous ceux qui résistent obstinément aux prélats légitimes de l’Eglise, spécialement au souverain pontife de tous, et refusent d’exécuter leurs ordres, ne reconnaissant pas leur dignité, ont toujours été reconnus comme SCHISMATIQUES par l’Eglise catholique. »

Pape Pie IX in Enc. Quae in patriarchatu (1872) : « Il s’agit en effet, vénérables frères et bien-aimés fils, d’accorder ou de refuser obéissance au Siège Apostolique ; il s’agit de reconnaître sa suprême autorité même sur vos églises, et non seulement quant à la foi, mais encore quant à la discipline : celui qui la nie est hérétique ; celui qui la reconnait et qui refuse opiniâtrement de lui obéir est digne d'anathème. »

Dans Quanta cura (1864), Pie IX a condamné comme souverainement contraire au dogme l’opinion qui prétend « qu’on peut, sans péché et sans préjudice de la profession de foi chrétienne, refuser son assentiment et son obéissance aux jugements et aux décrets du Siège Apostolique, dont l’objet avoué ne regarde que le bien général, les droits et la discipline de l’Église, pourvu qu’il n’atteigne ni la foi, ni les mœurs. »

Pastor Æternus, Concile Vatican I : « Si donc quelqu’un dit que le Pontife romain n’a qu’une charge d’inspection ou de direction et non un pouvoir plénier et souverain de juridiction sur toute l’Église, non seulement en ce qui touche à la foi et aux mœurs, mais encore en ce qui touche à la discipline et au gouvernement de l’Église répandue dans le monde entier, ou qu’il n’a qu’une part plus importante et non la plénitude totale de ce pouvoir suprême ; ou que son pouvoir n’est pas ordinaire ni immédiat sur toutes et chacune des églises comme sur tous et chacun des pasteurs et des fidèles, qu’il soit anathème. »

Pape Pie XII in Lettre du Saint-Office à l’Évêque de Boston : « C’est pourquoi nul ne sera sauvé si, sachant que l’Église a été divinement instituée par le Christ, il n’accepte pas cependant de se soumettre à l’Église ou refuse l’obéissance au Pontife romain, vicaire du Christ sur terre
Cath56
Vous citez des papes antérieurs au concile Vatican II, des papes qui étaient dans la droite ligne de la tradition de l’Église, des papes qui exécraient le modernisme.
« Le modernisme est l’égout collecteur de toutes les hérésies » a dit le pape Saint Pie X qui a promulgué le serment antimoderniste que devait juré tout le clergé...serment que Paul VI s'est empressé de supprimer en 1967.
A partir …More
Vous citez des papes antérieurs au concile Vatican II, des papes qui étaient dans la droite ligne de la tradition de l’Église, des papes qui exécraient le modernisme.

« Le modernisme est l’égout collecteur de toutes les hérésies » a dit le pape Saint Pie X qui a promulgué le serment antimoderniste que devait juré tout le clergé...serment que Paul VI s'est empressé de supprimer en 1967.

A partir du XIXème siècle, un courant hérétique issu du catholicisme a voulu se rallier à l’esprit des Lumières, c’est-à-dire à une vision du monde qui lui est opposée. Le catholicisme est le règne de Dieu tandis que la philosophie des Lumières consiste à établir le règne de l’Homme, à la place de Dieu. Il n’est pas possible de marier ces deux métaphysiques contraires.
C’est pourtant ce que va vouloir faire ce courant que l’on appellera « catholicisme libéral » au XIXème siècle puis « modernisme » au début du XXème siècle.
Ce courant moderniste condamné par les papes pénétra dans l’Église progressivement au cours des XIXème et XXème siècles pour triompher lors du Concile Vatican II en 1962-1965 et prendre officiellement le pouvoir.
Depuis lors, l’Église catholique est éclipsée par une nouvelle église qui a été appelée « conciliaire » par le moderniste Mgr Benelli (dans une lettre du 25 juin 1976 adressée à Mgr Lefebvre de la part du pape Paul VI).
Cette église conciliaire est issue du courant moderniste, elle n’est donc pas catholique. Il est donc plus juste de parler de « religion conciliaire » et non de « religion catholique » pour désigner cette nouvelle religion issue du Concile Vatican II.

« Le Concile, c’est 1789 dans l’Église » – Cardinal Suenens

« Par Vatican II l’Église a accompli pacifiquement sa révolution d’Octobre » – Père Congar

C'est très retors de votre part de citer le concile Vatican I et des papes antimodernistes pour essayer de justifier une Église conciliaire moderniste qui fait tout le contraire de ce qu'a fait l’Église catholique pendant des siècles !
Psaume 62
Le bien-fondé, la validité ou la vérité de ces paroles du Magistère portant sur des fondamentaux de la foi catholique, n'est par le fait même pas susceptible de dénaturation au gré du temps. Soit on est catholique et alors on se doit d’obéir à l’Autorité enseignante et disciplinaire de l’Église. Soit on ne l’est pas et alors on peut s’en dispenser. Mais peut-être adhérez-vous à une forme …More
Le bien-fondé, la validité ou la vérité de ces paroles du Magistère portant sur des fondamentaux de la foi catholique, n'est par le fait même pas susceptible de dénaturation au gré du temps. Soit on est catholique et alors on se doit d’obéir à l’Autorité enseignante et disciplinaire de l’Église. Soit on ne l’est pas et alors on peut s’en dispenser. Mais peut-être adhérez-vous à une forme de sédévacantisme et croyez-vous que le dernier pape fut Pie XII par exemple ? Position qui du reste pose un sérieux problème (cf. vidéo à partir de la 10e min) de compatibilité avec la foi catholique.

Des théologiens catholiques, y compris des traditionalistes (comme le père Basile Valuet sur la question de la liberté religieuse), ont démontré la continuité essentielle de l’enseignement du concile Vatican II en matière de foi et de morale. Une suite de vidéos du Youtubeur et apologète catholique Archidiacre le démontre avec force arguments et documents. Enseignement du Concile qui a été développé lui-même par les papes post-conciliaires et qui fut validé une nouvelle fois au travers du dernier Catéchisme catholique dit de S. Jean-Paul II. Le catholique traditionaliste Yves Daoudal a montré dans un ouvrage en quoi le concile Vatican II sur des points importants est plus traditionnel que le concile Vatican I. Il y eut certes des ruptures sur des points ne concernant pas directement la foi et la morale.

Que des prélats et des théologiens importants et de sensibilité progressiste (Suenens, Congar, etc.) aient émis des opinions douteuses et critiquables quant à l’interprétation du concile Vatican II, n’engage pas le Magistère de l’Église. La juste interprétation du Concile est en effet donnée dans les Actes officiels du Magistère ordinaire et universel de l’Église. Même une partie des opinions personnelles des derniers papes exprimées dans des actes qui n’appartiennent pas en propre à des Actes officiels du Magistère concernant la foi et la morale (ex : les discours des derniers papes sur Martin Luther), sont très faillibles et elles n’engagent pas le Magistère de l’Église.
Psaume 62
« Les conciles du passé furent toujours le siège de manœuvres, doublées de polémiques parfois très vives » (Père Basile Valuet, moine bénédictin traditionaliste et docteur en théologie).
« […] Dans les conciles généraux, il se fait des grandes disputes et recherches de la vérité, […], mais, […] la détermination étant prononcée, chacun s’y arrête et acquiesce pleinement, non point en …More
« Les conciles du passé furent toujours le siège de manœuvres, doublées de polémiques parfois très vives » (Père Basile Valuet, moine bénédictin traditionaliste et docteur en théologie).

« […] Dans les conciles généraux, il se fait des grandes disputes et recherches de la vérité, […], mais, […] la détermination étant prononcée, chacun s’y arrête et acquiesce pleinement, non point en considération des raisons alléguées en la dispute et recherche précédente, mais en vertu de l’autorité du Saint-Esprit. » (Saint François de Sales, in "Traité de l’amour de Dieu")

Extraits de l'ouvrage "Tradition et magistère vivant - Orientation pastorale" de l'évêque traditionaliste brésilien Mgr Rifan :

« Même s’il y a eu, de la part de certains Pères conciliaires de tendance moderniste, l’intention mauvaise de produire dans le concile des textes qui seraient comme une bombe à retardement, comme certains d’entre eux l’ont avoué, néanmoins, l’Esprit Saint qui est Dieu n’a pas permis que de telles intentions s’exprimassent dans les textes authentiques promulgués officiellement par le Magistère. Et, pour ce qui concerne le Magistère de l’Église, ce qui vaut, ce sont les textes, et non les supposées intentions des rédacteurs. En d’autres termes, « L’acte vraiment conciliaire, comme acte de l’Église, et qui mérite l’assistance de l’Esprit Saint, c’est le texte dans sa pleine formulation objective, approuvé par un acte définitif de l’Assemblée conciliaire et par le Souverain Pontife, quelque opinion particulière qu’aient pu avoir soutenu certains Pères conciliaires à son sujet » (Abbé Julio MEINVIELLE, De Lamennais à Maritain, appendice II : La déclaration conciliaire sur la liberté religieuse et la doctrine traditionnelle)

L’Abbé Meinvielle écrivit également ceci s’agissant de la cohérence profonde entre le magistère antéconciliaire et conciliaire sur la liberté religieuse : « Un changement et une modification de celle-ci sur un point aussi important et vital que le fait religieux, mettrait en question très sérieusement l’assistance de l’Esprit Saint au magistère de l’Église et aussi, par le fait même, la sainteté de l’Église elle-même » (Ibidem)

« Comme nous l’avons dit plus haut (IV et V), le magistère vivant et authentique existant dans l’Église est continu, sans interruption, et l’assistance continuelle et ininterrompue de l’Esprit Saint divin est sa garantie contre toute erreur quant à la foi et aux mœurs. Et cette assistance divine ne s’est pas interrompue au concile Vatican II. Le pape Jean XXIII, dans la convocation du concile, a bien rappelé cette vérité. Après avoir cité le passage de l’Évangile : « voici que je serai avec vous tous les jours jusqu’à la fin des siècles » (Mt 28,20), il ajoutait : « Cette consolante présence du Christ n’a jamais cessé d’être vivante et opérante dans la sainte Église, mais particulièrement dans les périodes les plus graves de l’humanité ».

« De manière analogue à ce que nous avons dit plus haut au sujet de la Messe, les interprétations données par les modernistes ont impressionné le monde catholique et beaucoup ont pensé que c’était là l’interprétation à donner au Concile. Mais non : le sens des textes est fourni par le Magistère de l’Église.

Semblablement, quand avaient surgi des interprétations erronées du décret du concile Vatican I sur la juridiction du pape et des Évêques, les Évêques allemands avaient écrit une lettre circulaire donnant l’interprétation correcte et avaient reçu du pape Pie IX une lettre d’approbation de cette interprétation exacte. Était donc correcte non pas une interprétation qu’aurait pu recevoir le texte, ni celle que voulait lui donner le Chancelier Bismarck, mais bien celle que lui donnait le Magistère. De la même façon, le sens fidèle des textes du concile Vatican II est fourni par le Magistère de l’Église et non par les modernistes. »
Cath56
Paul VI reconnaissait en 1968 que « L’Église se trouve en une heure d’inquiétude, d’autocritique, on dirait même d’autodestruction. C’est comme un bouleversement intérieur, aigu et complexe, auquel personne ne se serait attendu. »
Et en 1972: « Les fumées de Satan sont entrées dans le peuple de Dieu »
Paul VI a-t-il eu un éclair de lucidité ou des remords devant l'ampleur de la destruction …More
Paul VI reconnaissait en 1968 que « L’Église se trouve en une heure d’inquiétude, d’autocritique, on dirait même d’autodestruction. C’est comme un bouleversement intérieur, aigu et complexe, auquel personne ne se serait attendu. »
Et en 1972: « Les fumées de Satan sont entrées dans le peuple de Dieu »
Paul VI a-t-il eu un éclair de lucidité ou des remords devant l'ampleur de la destruction à laquelle il a largement participé ?

Notre Dame à La Salette nous avait prévenus:
"l’Église sera éclipsée".
"Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'antéchrist."

Nous vivons cette période:
La véritable Église de Notre Seigneur est éclipsée depuis le concile Vatican II par l’Église conciliaire.
L’Église conciliaire accumule les hérésies: Rome a vraiment perdu la foi et est devenu le siège de l'antéchrist.

Tenez-vous compte des avertissements de la Sainte Vierge, ou les ignorez-vous s'ils vous dérangent ?

Votre Église conciliaire est celle de Satan, dirigée par l'antéchrist. Libre à vous de la suivre.

Inutile de me répondre, je ne vous lirai pas, mais je vais prier pour vous comme je prie pour les autres égarés de la secte conciliaire.
Psaume 62
Les sectaires se retrouvent plutôt parmi ceux qui diabolisent ceux et ce qui paraient étrangers à leur univers mental et à leurs préjugés; parmi ceux qui se voient comme étant le tout petit reste de Dieu, souvent dans une optique grisante d’attente de la toute fin des temps … qui tarde à venir ; parmi les schismatiques et les hérétiques parfois apparemment purs comme des anges mais orgueilleux …More
Les sectaires se retrouvent plutôt parmi ceux qui diabolisent ceux et ce qui paraient étrangers à leur univers mental et à leurs préjugés; parmi ceux qui se voient comme étant le tout petit reste de Dieu, souvent dans une optique grisante d’attente de la toute fin des temps … qui tarde à venir ; parmi les schismatiques et les hérétiques parfois apparemment purs comme des anges mais orgueilleux comme des démons dans des actes, qui s’appuient sur leurs propres jugements, leur propre compréhension de la Tradition et de l’Écriture et sur leur interprétation de révélations privées n’appartenant pas en toute sûreté au dépôt de la foi apostolique et catholique, pour se rebeller contre l’Autorité enseignante et disciplinaire vivante de l'Eglise que Dieu a pourtant clairement instituée pour toujours. Saint Paul VI, priez pour nous !