LES FEMMES QUI RÉSISTENT À LA CULTURE DE MORT ONT ENCORE PLUS DE MÉRITE QUE LES HOMMES

En ces temps de ténèbres où la dictature culturelle « féministo-maçonnique-LGBT » semble chaque jour étendre davantage sa funeste chape de plomb sur terre et soumettre de plus en plus les populations …More
En ces temps de ténèbres où la dictature culturelle « féministo-maçonnique-LGBT » semble chaque jour étendre davantage sa funeste chape de plomb sur terre et soumettre de plus en plus les populations à la pensée unique satanique antichrétienne, nous constatons que parmi la minorité de résistants actifs (c'est à-dire ceux qui osent dire « non » quitte à perdre leur « sacro-sainte » respectabilité sociale), il y a autant de femmes (voire plus) que d’hommes. Or, cela ne va pas de soi. Les choses auraient pu, être bien différentes, auraient pu être pires. En effet, à y regarder de plus près, ces femmes sont doublement héroïques. C’est que comme les hommes, elles doivent faire face à la pression permanente de la dictature désormais « participative » mais de surcroît elles doivent aussi résister à l’appel « réflexif » de solidarité qui pourrait y avoir entre elles. Elles doivent résister au sentiment de culpabilité que le fondamentalisme féministe s’acharne à vouloir communiquer à toutes …More
JeanDC
@Spina Christi 2
C'est sur que dans le temps de Jésus la femme n'avait pas sa place dans les assemblées d'hommes. Les femmes qui accompagnaient Jésus étaient probablement assignées au service de la table mais elles écoutaient la parole du Verbe.
Marie et Marthe : "C'est Marie qui a choisi la meilleure place et elle ne lui sera pas enlevée".
L'embryon des communautés contemplatives.
Disons en …More
@Spina Christi 2

C'est sur que dans le temps de Jésus la femme n'avait pas sa place dans les assemblées d'hommes. Les femmes qui accompagnaient Jésus étaient probablement assignées au service de la table mais elles écoutaient la parole du Verbe.

Marie et Marthe : "C'est Marie qui a choisi la meilleure place et elle ne lui sera pas enlevée".
L'embryon des communautés contemplatives.

Disons en premier lieu que le nom de Marie de Magdala est cité au moins 12 fois dans les évangiles. En deuxième lieu ce sont des femmes et un seul disciple, Jean, qui sont au pied de la croix. La peur terrassaient les autres disciples. Non seulement se sont les femmes dont Marie de Magdala qui ont découvert le tombeau vide; mais c'est à cette dernière que Jésus est apparu en premier.

C'est à Marie de Magdala qu'est revenu d'annoncer aux disciples que le Christ était ressuscité. Elle a été la première à qui le ressuscité est apparu; c'est bien plus qu'un simple respect et une première place.

On pourrait aller plus loin avec ce qui est dit dans les textes apocryphes mais comme ils n'ont pas été retenus par l'Église, je ne soulèverai pas de controverse.

Si on ne trouve pas, dans ce qui est dit des femmes et surtout de Marie de Magdala qui accompagnaient Jésus et ses disciples, du respect et de leur donner une place qui leur est due et bien je donne ma langue au chat.

Il serait plus que temps que les femmes soient admises au service de la parole et de la table.