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Marthe Robin parle des suicidés et du purgatoire (+1981)
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Accédez à tous les cours (philo, théologie) : docteurangelique.free.fr/institut_docteur_angelique.html Marthe Robin parle des suicidés et du purgatoire (+1981) (45 mn) www.youtube.com/watch Le suicide de son frère Henri Robin, homme discret, alcoolique et très angoissé, souffrant de terribles névralgies faciales. Marthe obtient du Seigneur la confirmation qu’il est sauvé. Les enseignements explicites de Marthe Robin sur le passage de la mort, sur l’apparition du Christ et la conversion de beaucoup.
apvs
Réponse : Cette expression de « peuple déicide » n’est pas seulement fausse à la marge mais aussi sur le fond, et déjà du simple point de vue linguistique ( les mots se doivent d’être les plus justes, surtout quand on se dit disciples du Verbe éternel de Dieu ! ), sans même parler du plan théologique.
En effet, sur le plan linguistique et sémantique, en toute rigueur de terme, de même que …
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Réponse : Cette expression de « peuple déicide » n’est pas seulement fausse à la marge mais aussi sur le fond, et déjà du simple point de vue linguistique ( les mots se doivent d’être les plus justes, surtout quand on se dit disciples du Verbe éternel de Dieu ! ), sans même parler du plan théologique.

En effet, sur le plan linguistique et sémantique, en toute rigueur de terme, de même que les homicides, y compris involontaires, ont bien conscience rapidement d’avoir tué des êtres humains [ a fortiori en est-il aussi des régicides et des parricides qui tous ont tué volontairement, qui un roi ou/et une reine, qui un père ou/et une mère ], de même les déicides supposés ne peuvent qu’avoir conscience d’avoir tué Dieu, fût-ce involontairement, et cela si ce n’est avant ou au moment même de leur meurtre, du moins rapidement ensuite.


LA REPONSE : ELLE EST DANS LE TALMUD, que les juifs d'aujourd'hui comme Jules Isaac ne peuvent pas ignorer, à moins de ne pas être tout à fait juifs.
Il est un devoir pour tout croyant, de quelque religion que ce soit sur la terre, de VERIFIER LIBREMENT si les textes de sa religion sont en tout point conformes à sa bonne conscience personnelle, et ne la blesse en aucun point. Dans le cas contraire, IL FAUT quitter cette religion, c'est un devoir moral !

Il s'en suit qu'un juif, aujourd'hui, qui sait quelles sont les graves malédictions lancées par le talmud contre le Christ et ceux qui croient en Lui, et qui sait donc aussi en quelles circonstances le Christ est mort en croix, doit vérifier par lui-même s'il doit ou non suivre en toute confiance ce que lui propose de croire ce qu'est devenue "la foi juive" de nos jours à travers le talmud. S'il se rend compte que cette "foi" lui propose ni plus ni moins d'approuver le déicide, comme il est sur et certain qu'il s'en rendra compte s'il est de bonne foi dans son analyse, alors, IL QUITTERA LA FOI CADUQUE JUIVE TALMUDIQUE POUR DEVENIR ENFIN CHRETIEN !
Mais s'il ne le fait pas par légèreté ou bien par mauvaise foi et perfidie, alors, il se rend avec tous le peuple des croyants talmudiques plus ou moins complice de ce déicide, accompli il y a 2000 ans par ses pères selon la chair ou seulement selon la foi.

Et de ce fait : votre affirmation comme quoi "cette expression de « peuple déicide » n’est pas seulement fausse à la marge mais aussi sur le fond" est elle-même fausse.


En dehors de cela et des paroles très claires du catéchisme du Concile de Trente plus bas cité, rappelons que cette accusation gravissime de "peuple déicide" fut parfois l’expression dans le monde chrétien d’un mépris et d’une haine contre les Juifs. Ce seul fait suffit à mon avis pour devoir mettre à jamais aux ordures ou aux oubliettes (au choix) cette expression. Je pense d'ailleurs qu'il faut être un peu vicieux, provocateur ou inconscient pour tenir coûte que coûte à réhabiliter cette expression douteuse.

Il n'est pas ici question, quoi que vous l'interprétiez à tort en ce sens, de "réhabiliter" à tout prix cette expression désignant le peuple juif, mais de ne pas jeter l'opprobre à tout prix sur les chrétiens qui l'utilisèrent en leur temps, les déclarant pour cela "déicides" selon la parole du concile de Trente ! Alors qu'après de multiples massacres de chrétiens perpétrés par les juifs, il n'est qu'un juste retour des choses de les humilier par cette expression forte et non dépourvue de justification, comme démontré ci-dessus, il n'est sans doute pas bien venu de l'utiliser de nos jours tant que les juifs ne réveillent pas leur sens très personnel de manifester leur profond respect aux chrétiens en les massacrant ! ( comme le Talmud le demande ) Mais je vous l'avais déjà dit... Passons !

Réponse : En supposant que ces paroles des écrits de Valtorta soient justes et inspirées, « une meute » ne représente pas un peuple, tant s’en faut. Et, encore une fois, cette meute dans son ensemble n’avait pas conscience d’accomplir un crime de déicide, ni pendant l'acte lui-même ( selon les paroles infaillibles de l’Apôtre Pierre le jour de la Pentecôte ) ni même probablement après coup, ainsi que je l’ai analysé sur une autre page.
Les membres de cette « meute » résistèrent par contre très probablement à l'accusation de leurs consciences selon quoi ils avaient commis un crime gravissime contre un grand et glorieux prophète d’Israël.


Cette "meute déicide" obéissait à son maître, le Déicide, Satan, qui la possédait, et certainement ne se rendait pas bien compte, comme le dit saint Pierre, de ce qu'elle accomplissait. Reste que si le déicide fut accomplit, ce fut par des déicides, même s'ils furent pour un certain nombre - important - pardonnés par la suite : cette fameuse "meute déicide", ce sont notamment ces gens à qui saint Pierre parla en ces termes : " Je sais bien que c'est par ignorance que vous et vos chefs vous avez agit". En ce sens : "déicide" ne veut pas dire "impardonnable".