Roy-XXIII
16890
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Quand on est obligé de dire la messe à la place du curé c'est qu'il ne va pas fort. ...More
Quand on est obligé de dire la messe à la place du curé c'est qu'il ne va pas fort.
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Catholique et Français
Oui, vous avez raison de souligner dans votre fin de commentaire cet aspect terrible de Vatican II qui, dans un monde normal, devrait déciller les yeux des plus endurcis et qui autorise, à lui seul, à porter les plus graves accusations contre ce Concile : le contraste total, hallucinant, entre l'effroyable hiver actuel, la "désorientation diabolique" partout répandue et les promesses mirobolantes …More
Oui, vous avez raison de souligner dans votre fin de commentaire cet aspect terrible de Vatican II qui, dans un monde normal, devrait déciller les yeux des plus endurcis et qui autorise, à lui seul, à porter les plus graves accusations contre ce Concile : le contraste total, hallucinant, entre l'effroyable hiver actuel, la "désorientation diabolique" partout répandue et les promesses mirobolantes (les archives de l'époque en font foi) faites au début du Concile, promesses inouïes dans l'Eglise depuis la Pentecôte jusque 1962; cela seul suffirait, "normalement" !
On ne peut s'empêcher de penser ici au songe prémonitoire de saint Jean Bosco : "C'était durant une nuit obscure; les gens n’arrivaient plus à distinguer le chemin à suivre pour rentrer chez eux. Lorsqu’apparut dans le ciel une "splendide lumière" qui éclairait les pas des voyageurs comme en plein midi. Alors, on vit une foule d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards, de moines, de religieuses et de prêtres, et à leur tête le Souverain Pontife, sortant du Vatican et se rangeant en ordre de procession. Arriva un orage terrible, obscurcissant sensiblement cette "lumière"; la procession traversa une petite place jonchée de morts et de blessés; or ses rangs s’éclaircissaient beaucoup. Après avoir marché l’espace correspondant à deux cents levers du soleil, chacun s’aperçut qu’il ne se trouvait plus dans Rome. L’effroi s’empara de tous les esprits et chacun se serra autour du Pontife pour protéger sa personne et l’assister dans ses peines..."