Roy-XXIII
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LE BÉBÊTE SHOW... EN PIRE ! Une "messe" clownesque concélébrée par les prêtres et aumôniers de lycées de la zone pastorale de la communauté urbaine de Strasbourg, à Notre-Dame du Chêne, paroisse de …Plus
LE BÉBÊTE SHOW... EN PIRE !
Une "messe" clownesque concélébrée par les prêtres et aumôniers de lycées de la zone pastorale de la communauté urbaine de Strasbourg, à Notre-Dame du Chêne, paroisse de Plobsheim, diocèse de Strasbourg (sur la vidéo, en djellaba rouge, Etienne Uberall, Vicaire épiscopal de Strasbourg). Il s'agit là d'une "célébration dansante" grotesque et proprement crétinisante qui, ce qui est gravissime, est en totale opposition avec ce que l'Eglise demande de faire. On jugera pas soi-même... "SOURCE
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sujets politiques et religieux.
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sujets politiques et religieux
Guiharan
Déjà ajouté 🤐 au triste album des aberrations anti-liturgiques
You wanna dance? Yeah!
Francesco I
Francesco I
stephane77
La Croix
Des prêtres(valident ?) engagés dans le dialogue avec l'islam lancent un "appel à l'espérance".
Catholique et Français
"J’aime l’Église ! C’est en elle que je suis né à la Vie véritable, que j’ai grandi, que j’espère atteindre un jour à la stature parfaite de l’Homme nouveau. Bien plus, c’est elle qui me revêtira de l’Homme céleste et glorieux dont mon être de chair n’est que la misérable ébauche. Cette Mère, pour qu’il n’y ait pas de confusion, d’équivoque entre nous, c’est l’Église Catholique, c’est …Plus
"J’aime l’Église ! C’est en elle que je suis né à la Vie véritable, que j’ai grandi, que j’espère atteindre un jour à la stature parfaite de l’Homme nouveau. Bien plus, c’est elle qui me revêtira de l’Homme céleste et glorieux dont mon être de chair n’est que la misérable ébauche. Cette Mère, pour qu’il n’y ait pas de confusion, d’équivoque entre nous, c’est l’Église Catholique, c’est-à-dire celle que j’ai connue partout la même et fidèle à elle-même à travers les siècles, celle qui m’a ouvert à moi aussi les Trésors immenses, les Richesses infiniment variées des temps et des espaces chrétiens, unanimes. Son œuvre en moi ne s’est pas effectuée sans peine, et si je l’aime passionnément c’est parce que le moindre éloignement, la moindre séparation dont je me sois rendu coupable, m’ont fait retomber dans de telles ténèbres, dans une si profonde médiocrité, qu’aussitôt, n’en pouvant plus, je suis revenu à elle. C’est une terrible expérience, cent fois renouvelée, que celle de notre impuissance à nous élever nous-mêmes jusqu’à ces Hauteurs lumineuses, sereines et heureuses où l’Église se tient habituellement. Mais il suffit de s’abandonner docilement à ses Effluves, à son Instruction et ses Energies pour accéder aisément à ces Cimes et y goûter « combien le Seigneur est bon ».
C’est en vertu de cet amour, de cette admiration, de cette piété dont déborde mon cœur reconnaissant, que je proteste contre la distinction que la théologie moderne doit au Père Congar, entre les “ structures ” immuables de l’Église et ses “ superstructures ” accidentelles et réformables. Cette vivisection, de type marxiste, permet à chacun de décider de ce qu’on doit respecter de la Tradition et de ce qu’on peut supprimer et remplacer à son idée. La distinction paraît fondée, à première vue du moins et dans l’abstrait. Il y a bien dans un être humain un squelette et des organes vitaux, nécessaires ; tandis que d’autres éléments les revêtent, chair, muscle, peau, cheveux, qui le sont moins. Mais l’âme, la personne, l’être chéri ne sont-ils pas aussi bien ici et là, dans le squelette et dans les chairs, l’être total ? Au-delà de sa distinction anatomique, inerte, le Père Congar en laisse supposer une autre, qui atteint l’unité vivante de l’être, l’Ame même de l’Église : les structures seules y seraient divines tandis que les traditions, comme des revêtements malencontreux, ne seraient qu’inventions humaines, et encore boursouflures et rides apportées par des siècles stupides et révolus, sans commune mesure avec les grandeurs et beautés définitives de notre époque.
Ce réformateur, sincère mais d’intelligence courte, ce professeur qui n’a jamais été pasteur d’âmes n’a pas vu ce qu’avait d’offensant pour l’Église, il n’a pas senti ce qu’avait de blessant pour les fidèles cette dissection annonciatrice d’effroyables lacérations. Je n’aime pas un squelette ni des organes vitaux, j’aime Son visage, Son vêtement chatoyant et jusqu’à Sa sandale, tout Elle-même. Avec le Cantique Spirituel, je chanterai le Cheveu de Son cou qui nous a charmés nous aussi, ses enfants, comme il a blessé d’amour le Cœur de Son Époux. Ah ! que celui qui aime l’Église comprenne ! Dans ses Traits et ses Gestes les plus infimes, un je ne sais quoi d’exquis nous a ravis dans les hauteurs de son Mystère essentiel. C’est pourquoi je hais ces iconoclastes qui ont projet de la tondre, la mettre à nu, lui imposer leur chirurgie esthétique, à leur mode, au siècle de Picasso et de Le Corbusier !
Un bon paroissien écrit à son curé, pour se plaindre de tant de déprédations, d’innovations, d’incongruités ; il invoque les anciens curés, les générations de fidèles, les gens qui se dégoûtent de l’Église ; il gémit, il pleure. Ne croyez pas, lui répond le prêtre, que ces réformes soient dûes au caprice et à l’improvisation ; elles ont été décidées par le Comité liturgique paroissial qui est une émanation du peuple. Eh bien, ce n’est pas vrai ! Ne peuvent entrer et demeurer dans ces comités que les militants d’une certaine tendance, celle-même de leurs prêtres, et nous remontons bien vite par personnes interposées aux mêmes équipes de chirurgiens esthéticiens et patrons de Haute Couture. Ils en sont, cet été, à décider du costume des religieuses et de leurs coutumes, pauvres saintes femmes !
Le peuple chrétien vénère trop le tout de l’Église, de sa Tradition, de sa Vie, trouvant tout indissociable, pour que cette technocratie lui plaise, et le peuple fidèle a raison, de tout l’instinct de sa Foi. Si l’Église change, évolue, s’épanouit comme toute personne vivante, c’est de l’intérieur et non par commandement, c’est dans une Inspiration de sainteté, non par esprit mondain. Les gestes liturgiques, le chant, la décoration des églises, les paroles du catéchisme et le sermon, cette chair, cette démarche, ce son de la voix et cette couleur du regard manifestaient l’Ame même, immédiatement – sans qu’il soit nécessaire de voir s’interposer « l’animateur », abhorré, de nos offices réformés –, et nous en étions saisis, enivrés, car cette Ame séculaire et universelle, cette intime vie qui venait ainsi nous réchauffer, c’était l’Esprit-Saint Lui-Même, en Personne !
Alors c’est un grand crime, et nous ne l’admettrons jamais, de changer tout. Avec ces traditions, ces rites, ces mille détails, ce qui s’en va, tous le reconnaissent, c’est le Sacré, c’est-à-dire la Présence rayonnante et l’Action même de Dieu. Cette Vie vénérable en était riche, et ce qu’on instaure en remplacement est trop frappé à l’empreinte de l’Homme et du Monde, est trop opaque de tout l’orgueil barbare de ce temps pour donner encore à l’âme le loisir de s’approcher en silence de Dieu.
Mais laissons cela, laissons ces nains ! L’Église demeure, inaccessible à leurs déprédations, meurtrie, blessée, mais non défigurée. C’est un mauvais moment à passer. Un jour viendra où tant de projets s’évanouiront en fumée, où l’on fera un grand feu de joie des tables de presse et des autels en contre-plaqué, des complets-vestons anthracite et des fiches de chants. Nous retrouverons facilement, inchangé, le Visage aimé de l’Église. Nous ne serons pas les seuls. À sa Lumière viendront, ils viennent déjà, les peuples lointains. Vous et moi, qui en sommes les enfants, nous aimons l’Église parce que nous y voyons briller, dans la Foi, les Splendeurs de Dieu même. Mais d’autres frères, séparés, arrachés, éloignés, par les retards de l’évangélisation, le crime inexpiable des hérésies, les folies des déchirures schismatiques, gémissent dans leurs ténèbres et comme à travers un brouillard hivernal tendent leurs regards et leurs cœurs émus vers la vraie Lumière qui les appelle. Ils désirent ardemment prendre place autour de la Table, dans la chaleur de cette Charité qui n’existe pas là où ils sont.
On nous trompe encore sur ce point. On nous invente des religions non chrétiennes et d’autres « Églises » qui donneraient à leurs membres pleine satisfaction, lumières divines et charité fraternelle en abondance, à tel point que ces citoyens fortunés de La Mecque, ces disciples fervents de Luther, ces bons pratiquants du Talmud auraient bien du mérite de renoncer à tout cela pour entrer dans le ghetto catholique ! On s’en va donc consulter les princes de ces schismes et les penseurs de ces hérésies pour décider avec eux des réformes qu’il convient d’imposer à l’Église pour lui rendre quelque éclat ! Aveugles qui suivent des aveugles, voilà nos columnistes.
En vérité, l’Église brille à travers les nuées de ces faux-docteurs, elle appelle, par-dessus les têtes de ces chefs religieux hypocrites et de ces méchants pasteurs, les humbles qu’ils retiennent sous la tutelle de l’erreur et de la haine. L’apostolat qu’on nous invente va à la renonciation de l’Église aux privilèges de sa Lumière et de sa Charité, mais il concourt à l’exaltation délirante des religions mortes et des hérésies dégénérées. L’Apostolat véritable rayonne du Cœur de l’Église, en la partie la plus haute de son Sanctuaire. Là est le Seigneur Jésus, sur son Trône de Gloire. Les prêtres s’y sanctifient et lui brûlent l’encens de leur louange. Le peuple agenouillé adore et acclame ; il en est déjà transfiguré d’une beauté céleste. Une Vie mystique, inconnue ailleurs, se répand parmi eux et jusqu’aux plus pauvres pécheurs. Ceux qui passent s’arrêtent, ceux qui entendent se rapprochent, ceux qui ont vu ne peuvent plus oublier. Un jour vient où leurs chaînes leur pèsent, où leurs faux pasteurs et leurs docteurs de mensonge les dégoûtent, parce qu’un Appel suave a retenti. Ils viennent, ils viennent à cette Église admirable. Ils ne posent pas leurs conditions, ils ne choisissent pas une secte ni n’exigent rien. Ils demandent humblement d’être accueillis et sont reçus humblement par leurs frères, heureux de partager avec eux le Pain de Vie et le Vin de la Charité parfaite.
Voilà ce qui était, ce qui est et sera dans les siècles à venir, jusqu’au Jour du Seigneur. Ce jour-là ne verra pas la confusion de l’Église Catholique Romaine, mais son Triomphe. Ceux-mêmes qui ne l’ont pas connue, voyant détruites les idoles qu’ils haïssaient et dispersées les puissances qui les avaient tenus enchaînés, contemplant l’Épouse du Roi des Miséricordes, découvriront qu’elle était bien l’Objet inconnu de leurs espérances indistinctes et de leur secret amour. Mais ceux, du dedans et du dehors, qui l’auront méconnue, méprisée, combattue, apprendront que ce ne sais quoi qu’ils poursuivaient de leur aversion était justement cet Esprit-Saint, cette Âme même, ce Dieu qui n’a rien de commun avec le Monde et son Orgueil, ce Sauveur crucifié qui tendait les Bras à un peuple incrédule et rebelle, et maintenant les juge d’avoir préféré leurs Ténèbres.
Alors, songeons au salut de notre âme, songeons aux peuples lointains que la Lumière de l’Église attire mystérieusement, aimons le Visage de notre Mère, aimons-la en tout elle-même. Le virus progressiste, si important qu’il soit, n’est rien, qu’un accident passager, une maladie ; qu’il ne nous empêche pas de la vénérer dans sa Vérité Éternelle !" Abbé Georges de Nantes (Extraits de la Lettre à mes Amis n° 178 du 6 août 1964)
Morgan24
J'ai bien rigolé 😀
Anastasie
Catholique et Français, la messe de Paul VI n'est pas le renouvellement du Sacrifice de Notre-Seigneur.
Catholique et Français
Le "spectacle" n'est pas la Messe en Elle-même, même dans une Paroisse moderne, mais les bouffonneries qui prétendent L'accompagner, vous saisissez la nuance ? Figurez-vous, madame Anastasie, que lors de la Messe par Excellence, Celle dont Toutes les Autres sont l'actualisation, il y avait sur le Golgotha, des gens qui se moquaient du Crucifié, d'autres qui en profitaient probablement pour bafrer …Plus
Le "spectacle" n'est pas la Messe en Elle-même, même dans une Paroisse moderne, mais les bouffonneries qui prétendent L'accompagner, vous saisissez la nuance ? Figurez-vous, madame Anastasie, que lors de la Messe par Excellence, Celle dont Toutes les Autres sont l'actualisation, il y avait sur le Golgotha, des gens qui se moquaient du Crucifié, d'autres qui en profitaient probablement pour bafrer, se dandiner ou discuter affaires, d'autres qui se moquaient éperdument de Ce qui se passait, d'autres enfin qui riaient ou qui parlaient à haute voix en plaisantant. Mais n'oubliez surtout pas qu'il y avait aussi, ce Jour-là, agenouillés devant la Croix, dans une digne douleur et un profond recueillement, quelques saintes femmes et un jeune homme, indifférents au brouhaha qui les entourait. Eh bien, voyez-vous, madame Anastasie, tous les dimanches, c'est ce que le misérable que je suis essaie de faire, bien difficilement car il est loin d'être un saint : s'agenouiller et rester à genoux derrière Notre-Dame, ses compagnes et saint Jean, quoi qu'il se passe dans l'Eglise. C'est parfois très dur mais je ne vous permets pas de parler d'un "zèle amer" que je combats de toutes mes forces, même si je crois avoir, parfois, même sur Gloria.tv, le droit d'exprimer mon sentiment ou mon indignation.
Anastasie
Tonino, une bonne Messe pour un catholique romain c'est la sainte Messe dite de saint Pie V, vous le savez bien. Quant à faire des centaines de kilomètres, mon exemple concernait des familles très pauvres qui vont à pied à la Messe, avec départ le samedi, et qui dorment la nuit de samedi à dimanche en plein air, quelques fois par an. Autrement, on peut lire son missel bien entendu. Catholique …Plus
Tonino, une bonne Messe pour un catholique romain c'est la sainte Messe dite de saint Pie V, vous le savez bien. Quant à faire des centaines de kilomètres, mon exemple concernait des familles très pauvres qui vont à pied à la Messe, avec départ le samedi, et qui dorment la nuit de samedi à dimanche en plein air, quelques fois par an. Autrement, on peut lire son missel bien entendu. Catholique et Français, non personne ne vous contraint à assister à la "messe" de votre paroisse.. Surtout si cela vous rend aussi aimable..! Quant au mot spectacle qui vous indigne, pourquoi vous fâcher ? C'est vous-même qui définissez ainsi votre messe paroissiale..
Catholique et Français
La Messe n'est pas un "spectacle", comme vous dites, madame Anastasie, mais le Renouvellement du Sacrifice de Notre-Seigneur; par ailleurs, l'assistance à la Messe, au moins dominicale (et aux jours de fêtes) est non seulement un commandement de l'Eglise et, contrairement à ce que vous affirmez ("...personne ne vous oblige..."), une "obligation" sérieuse, mais également une nécessité vitale pour …Plus
La Messe n'est pas un "spectacle", comme vous dites, madame Anastasie, mais le Renouvellement du Sacrifice de Notre-Seigneur; par ailleurs, l'assistance à la Messe, au moins dominicale (et aux jours de fêtes) est non seulement un commandement de l'Eglise et, contrairement à ce que vous affirmez ("...personne ne vous oblige..."), une "obligation" sérieuse, mais également une nécessité vitale pour tout Catholique normal ! Ceux qui organisent cette Sainte Cérémonie publique, s'ils avaient un minimum de Charité, devraient tenir compte de la sensibilité de TOUS les fidèles ou, au minimum de les interroger sans leur imposer leurs caprices ou leurs mômeries ! Enfin, vous avez bien de la chance, madame Anastasie, de pouvoir faire des centaines de kilomètres pour assister à la Messe de "votre choix", "à la carte", mais sachez qu'il y a aussi, sur terre, des gens qui travaillent durement ou qui ont des occupations telles qu'ils sont contraints d'assister modestement à la Messe dans leur Paroisse.
Tonino
@Anastasie dit : Vous voulez une sainte Messe bien spirituelle ? Et bien allez-y..!
Dans la réalité c'est parfois plus compliqué que cela malheureusement...
Qu’appelez vous une bonne messe? Y'en aurait t'il une mauvaise?Plus
@Anastasie dit : Vous voulez une sainte Messe bien spirituelle ? Et bien allez-y..!

Dans la réalité c'est parfois plus compliqué que cela malheureusement...
Qu’appelez vous une bonne messe? Y'en aurait t'il une mauvaise?
Roy-XXIII
Y en a il faut les suivre ...
Anastasie
Catholique et Français, vous écrivez "mon sentiment sur le comportement public de religieux dont je subis, le plus souvent en silence, moi et ma famille, depuis des dizaines d'années et des dizaines d'années, le lamentable spectacle, imposé de force"... Imposé de force ? Subir ? Personne ne vous oblige -sauf vous-même- à subir en râlant et grognant un spectacle qui vous déplaît, et cela risque …Plus
Catholique et Français, vous écrivez "mon sentiment sur le comportement public de religieux dont je subis, le plus souvent en silence, moi et ma famille, depuis des dizaines d'années et des dizaines d'années, le lamentable spectacle, imposé de force"... Imposé de force ? Subir ? Personne ne vous oblige -sauf vous-même- à subir en râlant et grognant un spectacle qui vous déplaît, et cela risque fort d'alimenter ce qu'on nomme le zèle amer, zèle bien stérile qui ne peut produire de bons fruits. Vous voulez une sainte Messe bien spirituelle ? Et bien allez-y..! Vous savez, certaines personnes font des centaines de kilomètres pour assister à une bonne Messe.
Roy-XXIII
1 Cor 6 « J'ai simplement voulu vous dire de n'avoir point de relations avec un homme qui, portant le nom de frère, est impudique ou cupide, ou idolâtre, ou médisant, ou ivrogne, ou rapace, de ne pas même manger avec un tel homme. »
Pas très Chrétienne la Bible ... 👌 Hein Christian ?!
Moi je dirais que si pourtant voyez-vous, parce que dans le coran de tels hommes seraient égorgés sur le …Plus
1 Cor 6 « J'ai simplement voulu vous dire de n'avoir point de relations avec un homme qui, portant le nom de frère, est impudique ou cupide, ou idolâtre, ou médisant, ou ivrogne, ou rapace, de ne pas même manger avec un tel homme. »

Pas très Chrétienne la Bible ... 👌 Hein Christian ?!
Moi je dirais que si pourtant voyez-vous, parce que dans le coran de tels hommes seraient égorgés sur le champ !!!
Roy-XXIII
N'est-ce pas ceux du dedans qu'il vous appartient de juger ? Ceux du dehors, c'est Dieu qui les juge. Retranchez le méchant du milieu de vous.
Spina Christi 2
Fondation des Choisis de Jésus vendredi, 20:15
"Un chrétien qui se moque de ce qui lui semble des prêtres grotesque, l'est-il lui-même aussi ? Sachant que Dieu est Amour et que l'amour ne juge pas, pouvons-nous en tant que chrétiens, nous permettre de juger et de se moquer de ceux qui ne pensent pas ou n'agissent pas comme nous ?"
"Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? Et nous ne …Plus
Fondation des Choisis de Jésus vendredi, 20:15
"Un chrétien qui se moque de ce qui lui semble des prêtres grotesque, l'est-il lui-même aussi ? Sachant que Dieu est Amour et que l'amour ne juge pas, pouvons-nous en tant que chrétiens, nous permettre de juger et de se moquer de ceux qui ne pensent pas ou n'agissent pas comme nous ?"

"Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie ?"
Catholique et Français
DE QUEL DROIT vous permettez-vous de m'empêcher de manifester mon sentiment sur le comportement public de religieux dont je subis, le plus souvent en silence, moi et ma famille, depuis des dizaines d'années et des dizaines d'années, le lamentable spectacle, imposé de force ? Vous avez manifestement un raisonnement de malade ou désaxé en prétendant que je demanderais la "lapidation", même morale …Plus
DE QUEL DROIT vous permettez-vous de m'empêcher de manifester mon sentiment sur le comportement public de religieux dont je subis, le plus souvent en silence, moi et ma famille, depuis des dizaines d'années et des dizaines d'années, le lamentable spectacle, imposé de force ? Vous avez manifestement un raisonnement de malade ou désaxé en prétendant que je demanderais la "lapidation", même morale, de ces prêtres au comportement grotesque ! Non, je dis seulement, simple fidèle de base : assez !!! Cela suffit ! Laissez-nous vivre dans nos paroisses notre culte public dans le recueillement qui convient et prier à la Messe en paix ! Quel prurit vous démange ? Nous en avons assez de subir continuellement vos bouffonneries et vos extravagances sans cesse renouvelées : liturgie plate ou hideuse, chants stupides ou aux paroles carrément injurieuses envers Dieu, "homélies" remplies d'injures à Dieu, de propagande politique ou maçonnique, d'hérésies ou d'incongruités, gloussements ou trémoussements indignes ! Assez ! Pitié pour le Peuple de Dieu qui n'a jamais droit à la parole ! Nous en avons assez de nous faire faire la leçon (interdit de vous mettre à genoux à la Consécration ! Interdit de communier à genoux ! Interdit d'avoir la moindre réserve sur le comportement d'un prêtre ou d'un évêque ! etc... etc...), injurier ou ridiculiser le dimanche dans vos sermons pleins de morgue et souvent dépourvus de la plus élémentaire indulgence envers le prochain. J'en parle d'autant plus fermement que je sais, de ma longue expérience et de mes nombreuses conversations (jusqu'à mon Evêque qui s'en est lavé les mains !), que nous sommes d'innombrables Catholiques à penser ainsi : notre voix est systématiquement méprisée, écrasée, ridiculisée par votre gang; combien de fois ai-je été éconduit comme un chien ou un attardé après avoir poliment émis mon opinion ? Après cela, allez vous étonner que beaucoup soient partis dans les chapelles de monseigneur Lefebvre ou aient finalement apostasié !... Quant à vos insinuations malsaines sur mon identité et vos menaces de "poursuites judiciaires", devant un Etat laïc et anti-clérical, pour ce que j'ai écrit et qui ressort, selon vous de la Police de la Pensée... : je vous laisse face à votre conscience !
Roy-XXIII
« Dans les églises paroissiales, le lieu particulièrement adapté (in presbyterio) pour le Très Saint Sacrement est le maître-autel qui abrite le tabernacle. Dans ce cas, le maître-autel, avec son retable, est vraiment le trône du Christ-Roi et attire à lui les regards de tous ceux qui sont dans l’église. La présence du Saint Sacrement à l’endroit principal de l’église donne aux fidèles …Plus
« Dans les églises paroissiales, le lieu particulièrement adapté (in presbyterio) pour le Très Saint Sacrement est le maître-autel qui abrite le tabernacle. Dans ce cas, le maître-autel, avec son retable, est vraiment le trône du Christ-Roi et attire à lui les regards de tous ceux qui sont dans l’église. La présence du Saint Sacrement à l’endroit principal de l’église donne aux fidèles l’occasion d’adorer Dieu même en dehors du sacrifice de la Messe (par exemple dans l’intervalle de temps entre les différents offices divins). Ils viennent en effet à l’église pour prier, et non pas pour bavarder ». (cardinal Janis Pujats) Vous connaissez "Christian" le Cardinal Pujats ?