VVV.JNSR
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Le viol de masse des Françaises par les GI - 1945 (2) Faut-il vraiment fêter le débarquement des "alliés" ?Plus
Le viol de masse des Françaises par les GI - 1945 (2)
Faut-il vraiment fêter le débarquement des "alliés" ?
perceval2507
🤮 Le réarmement nazi financé par les banques américaines
Le devenir de l’Allemagne était déjà déterminé après le traité de Versailles qui obligeait l’Allemagne à payer des réparations d’un montant de 123 milliards de mark-or et à donner annuellement 26% de la valeur de ses exportations. L’effondrement de la monnaie allemande suite à l’exigence des paiements de réparations était donc …Plus
🤮 Le réarmement nazi financé par les banques américaines

Le devenir de l’Allemagne était déjà déterminé après le traité de Versailles qui obligeait l’Allemagne à payer des réparations d’un montant de 123 milliards de mark-or et à donner annuellement 26% de la valeur de ses exportations. L’effondrement de la monnaie allemande suite à l’exigence des paiements de réparations était donc prévisible : On allait vers l’inflation chronique ! Dans ce chaos, l’Allemagne demanda un ajournement pour tous les paiements de réparations en argent liquide pour les deux années à venir. Les vainqueurs refusèrent la requête. Ils votèrent le 9 janvier 1923 à trois contre un (l’Angleterre vota "non" sur l’ordre de la "City") pour déclarer que le Reich allemand était en retard dans ses paiements de réparations. Deux jours plus tard, les troupes françaises et belges occupèrent la Ruhr. Mais les ouvriers allemands en appelèrent à une grève générale dans cette région et l’occupation des Alliés s’avéra être un échec. Les troupes sortirent de cette impasse lorsque l’Allemagne déclara être d’accord pour accepter le compromis connu sous le nom de plan DAWES.
Le "plan Dawes" avait été élaboré par J.P. Morgan,collègue de Rothshild,et devait concéder à l’Allemagne des crédits de 800 millions de $ les quatre premières années. Le "plan Dawes" échoua lorsque les paiements de réparations de l’Allemagne s’accrurent. Il fut remplacé par le "plan Young" (d’après le nom de l’agent de Morgan, Owen Young). Pour mieux dévaliser le pays, les banquiers internationaux créèrent en Suisse la "Banque pour le Réglement International des Comptes".
Cela faciliterait les paiements de réparations des dettes de la première Guerre mondiale : il suffisait d’effectuer un virement du compte d’un pays sur le compte d’un autre pays dans la mesure où les deux pays avaient un compte dans cette banque. Dans ce cas aussi, les banquiers se rétribuèrent une fois de plus en prélevant des frais et des commissions pour eux.
Le professeur Quigley rapporte : "Il faut noter que ce système (les plans Dawes et Young) fut instauré par les banquiers internationaux et que le prêt d’argent à l’Allemagne leur rapportait très gros."
C’est une des meilleures démonstrations du système de Machiavel. D’un côté, les banquiers soutinrent tous les partis en conflit et d’un autre, ils prêtèrent aussi de l’argent aux Allemands pour les paiements des réparations.
Quoi que puisse faire l’Allemagne, on savait bien à qui elle s’adresserait pour emprunter de l’argent. C'était exactement le même groupement qui avait programmé la première guerre mondiale, qui l'avait financée, dirigée et qui en avait tiré un large profit.
Mais le jeu alla plus loin. Il fallait réaliser encore de grands projets et poursuivre des buts importants. C'était le tour de la deuxième guerre mondiale ! 😈
Les énormes capitaux américains qui furent transférés en Allemagne depuis 1924 sous la couverture du "plan Dawes et du plan Young" constituaient la base sur laquelle Hitler allait construire toute sa machinerie de guerre. Ainsi que l’expose le Dr Anthony C. Sutton dans "Wall Street and the Rise of Hitler" :
"L’apport fourni à l’Allemagne, avant 1940, par le capitalisme américain en vue de préparer la guerre ne peut être qualifié que de phénoménal. Il fut, sans aucun doute, décisif pour la préparation militaire de l’Allemagne. Des preuves permettent de comprendre que le secteur influent de l’économie américaine était, certes, lucide sur la nature du nazisme, prêt à l’aider et à le soutenir financièrement par intérêt personnel, pleinement conscient que cela finirait par une guerre où serait impliqués l’Europe et les Etats-Unis...
"En connaissant les faits, il est impossible de plaider l'ignorance. Les preuves très soigneusement établies qui attestent que les milieux bancaires et industriels américains étaient largement impliqués dans la montée du troisième Reich sont maintenant accessibles au public. On peut trouver dans les comptes rendus et les rapports sur les auditions du gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par les différentes commissions du Sénat et du Congrès. Parmi les preuves les plus importantes se trouvent celles fournies par le Sous-Comité du Congrès enquêtant sur la propagande nazie ( "House Subcommitee to investigate Nazi Propanganda") en 1934, par le rapport sur les cartels publiés en 1941 par la Commission économique provisoire nationale du Congrès ( " House Temporary National Economic Commitee" ) ainsi que par le Sous-Comité du Sénat pour la mobilisation en 1946 ( "Senate Subcommitee on War Mobilization 1946" ).
I.G. FARBEN
perceval2507
Prescott Bush (15 mai 1895 - 8 octobre 1972) était un homme d'affaires et un homme politique américain, membre du Parti républicain et sénateur américain du Connecticut de 1953 à 1963.
Il est considéré comme le patriarche de la famille Bush : son fils George H. W. Bush et son petit-fils George W. Bush seront tous deux élus présidents des États-Unis, un autre de ses petit-fils Jeb BushPlus
Prescott Bush (15 mai 1895 - 8 octobre 1972) était un homme d'affaires et un homme politique américain, membre du Parti républicain et sénateur américain du Connecticut de 1953 à 1963.
Il est considéré comme le patriarche de la famille Bush : son fils George H. W. Bush et son petit-fils George W. Bush seront tous deux élus présidents des États-Unis, un autre de ses petit-fils Jeb Bush sera élu gouverneur de Floride.
L'origine de sa fortune est controversée car acquise en partie en faisant des affaires avec l'Allemagne nazie, avant la Seconde Guerre mondiale et l'entrée en guerre des États-Unis.

Origine et études
Prescott Bush est né à Columbus (Ohio) le 15 mai 1895, fils de Flora (née Sheldon) et Samuel P. Bush, le président d'une compagnie d'aciérie.
Il fit ses études à l'université Yale et participa à la Première Guerre mondiale comme capitaine d'artillerie. Il faisait partie de la société secrète Skull and Bones. Il aurait exhumé le crâne de Geronimo en 1918 pour le donner à l'organisation. Cet épisode est considéré comme une légende par plusieurs chercheurs tandis que l'historien David H. Miller estime que si les membres de la société ont bien profané une tombe, il y a peu de chance que ce soit celle de Geronimo, laquelle ne comportait pas d'indication à l'époque[1]
Le 6 août 1921, il épouse Dorothy Walker (en), la fille du richissime George Herbert Walker. Le couple aura cinq enfants (George H. W. Bush, Prescott Bush Jr, Jonathan Bush, William Bush, et Nancy Bush).
Carrière professionnelle
En 1923, le jeune couple emménage à Columbus, dans l'État de l'Ohio où Prescott travaille chez Hupp Products Company sans que l'expérience soit vraiment concluante. Il démissionne pour prendre la direction des ventes de la société Stedman Products of South Braintree.
En 1925, il devient le directeur du département étranger de la United States Rubber Company et emménage à Greenwich dans l'État du Connecticut.
En 1926, il intègre la Harriman Bank dont son beau-père est copropriétaire au côté d'Averell Harriman.
En 1931, après fusion, la Harriman Bank se transforme en Brown Brothers Harriman et Prescott en devient un associé à part entière.
Sa position professionnelle, sa connaissance du monde des affaires et ses amitiés de Yale (et ses relations avec les anciens de Skull and Bones) vont, selon ses propres dires, assurer sa fortune. C'est ainsi qu'il siègera à de nombreux conseils d'administration et de direction de grands groupes financiers et industriels.
La controverse sur les liens financiers entre l'Union Bank et l'Allemagne nazie
Lorsque la famille Thyssen, des financiers d'Adolf Hitler, jusqu'en 1938, créèrent l'entreprise Union Banking Corporation en 1924 afin de gérer leurs investissements en Amérique, Prescott Bush fut l’un des sept directeurs de cette banque dont il ne posséda qu'une seule action à partir de 1934.
Le rapport du Congrès suivant décrivit l'Union Bank comme un « interlocking trust » (trust intégré) avec les Vereinigte Stahlwerke (de) (cartel connu en anglais sous le nom de German Steel Trust (en), Trust allemand de l'acier) responsable des fournitures de l'armement allemand.
L'Union Bank fut aussi impliquée dans la collecte de fonds d'Américains pro-allemands sous l'Allemagne nazie ainsi que du transfert illégal de la technologie de carburant aérien rendant possible la reconstruction de la Luftwaffe, ceci en violation des dispositions du traité de Versailles.
La coordination entre l'Union Bank et le German Steel trust était si étroite que Prescott passa quelque temps en Europe à la fin des années 1930 pour superviser les opérations minières en Pologne.
Les documents déclassifiés des National Archives and Records Administration, relatifs à la saisie des actions de la Union Banking Corp., montrent que Prescott Bush n’a eu aucun rapport avec le soutien financier apporté par Thyssen au parti nazi, et que son rôle au sein de la Union Banking Corp. était uniquement financier et non politique.
Un article de juillet 1942 en une du New York Tribune sur la banque de Prescott Bush, dont le titre était : « Hitler's Angel has 3 million in US bank » (Le bienfaiteur de Hitler - Fritz Thyssen - possède 3 millions dans une banque US), entraîna l'enquête du Congrès des États-Unis qui fit fermer la Union Banking Corp., mais ne causa qu'une brève interruption dans les succès personnels et politiques de Prescott Bush.
Durant la Seconde Guerre mondiale, les participations de Prescott Bush furent confisquées (octobre 1942) en raison du Trading with the Enemy Act (Loi sur le commerce avec l'ennemi). Elles comprenaient :
Union Banking Corp. (pour Thyssen et Brown Brothers-Harriman)
Holland-American Trading Corporation (avec Harriman)
the Seamless Steel Equipment Corporation (avec Harriman)
Silesian-American Corporation (avec Walker)
Avant la révolution cubaine en 1959, il possédait d'immenses domaines et des concessions pétrolières à Cuba[2].
Bereshit
La commémoration du 6 juin 1944 en très grandes pompes, avec les plus hautes autorités de l’État, semble parfaitement légitime et nécessaire à nos compatriotes, tellement des pans entiers de l’Histoire réelle ont été occultés depuis 70 ans.
Il est donc plus que temps que les Français fassent pour de bon le « travail de mémoire » qu’on leur demande, à condition de le faire dans son intégralité …Plus
La commémoration du 6 juin 1944 en très grandes pompes, avec les plus hautes autorités de l’État, semble parfaitement légitime et nécessaire à nos compatriotes, tellement des pans entiers de l’Histoire réelle ont été occultés depuis 70 ans.
Il est donc plus que temps que les Français fassent pour de bon le « travail de mémoire » qu’on leur demande, à condition de le faire dans son intégralité, sans biais ni a priori, et sans passer sous silence les actions précises des Alliés, et tout spécialement des Américains à l’encontre de la souveraineté et de l’indépendance de la France.

S’il y a certes toutes les raisons pour s’incliner devant la mémoire des soldats anglais, canadiens et américains morts sur le sol de France, qui ont contribué de façon décisive à la fin de l’Occupation nazie, il n’y a en revanche aucune raison de permettre aux États-Unis d’Amérique de camoufler les objectifs politiques peu reluisants qui étaient ceux de leur gouvernement à l’époque des faits.
Il est important que les Français, et notamment les jeunes générations, sachent que Roosevelt avait décidé :
de placer la France « libérée » sous son occupation militaire américaine,
de lui imposer une « fausse monnaie » imprimée aux États-Unis,
et de maintenir Pierre Laval au pouvoir, figure hideuse et honnie de la Collaboration et de l’intelligence avec l’ennemi, et tout cela avec la complicité de l’ambassadeur d’Hitler en France.


Par la même occasion, il serait utile de rappeler le soutien financier considérable qu’apporta l’oligarchie industrielle et financière américaine à Adolf Hitler et à son régime pendant toute les années 30 ,et pendant encore une grande partie de la guerre. Les travaux d’Anthony Sutton, désormais de plus en plus connus, permettent notamment de jeter une lumière crue sur cette coopération secrète entre les États-Unis et l’Allemagne hitlérienne.

Tous ces rappels historiques permettraient à Washington de faire à son tour, et utilement, son « travail de mémoire » et sa « repentance ». Cela permettrait aussi d’inviter Washington à abandonner ses prétentions à l’hégémonie mondiale.
Au lieu de se plier servilement à l’opération de communication voulue par Washington afin de légitimer son hégémonie actuelle sur l’Europe et la France - par Union européenne et Otan interposées -, le président Hollande devrait ainsi garder à l’esprit que son rôle est d’enseigner la vérité historique aux jeunes générations et d’être « le garant de l’indépendance nationale », comme le lui en fait obligation l’article 5 de notre Constitution.
L’UPR demande au gouvernement d’organiser une grande commémoration digne de ce nom le 15 août 2014, à l’occasion des 70 ans du débarquement de Provence.


François Asselineau
Spina Christi 2
Le 3 juillet 1940, la force H de la Royal Navy aux ordres de l'amiral Somerville se présentait devant la base de Mers El-Kébir, près d'Oran, porteuse d'un ultimatum offrant aux bâtiments français un quadruple choix : rallier les ports britanniques pour continuer la guerre aux côtés de la Grande-Bretagne ; conduire les bâtiments dans un port britannique ; les mener aux Antilles pour les démilitariser …Plus
Le 3 juillet 1940, la force H de la Royal Navy aux ordres de l'amiral Somerville se présentait devant la base de Mers El-Kébir, près d'Oran, porteuse d'un ultimatum offrant aux bâtiments français un quadruple choix : rallier les ports britanniques pour continuer la guerre aux côtés de la Grande-Bretagne ; conduire les bâtiments dans un port britannique ; les mener aux Antilles pour les démilitariser ou les placer sous contrôle américain ; les saborder.
L'amiral Gensoul refusant de répondre positivement à l'une de ces options, la flotte anglaise ouvrit le feu à 16 h 57 : 1297 hommes périrent, dont 977 marins enfermés dans les cales du cuirassé Bretagne. Ce drame, dont la propagande vichyste tira abondamment parti dans sa lutte anti-britannique, illustre les logiques et les passions qui animent chacun des acteurs. Côté britannique, la volonté de neutraliser la quatrième flotte mondiale ne fait aucun doute. Certes, l'amiral Darlan avait promis de ne jamais laisser les bâtiments français combattre aux côtés des Allemands. Mais Londres restait sceptique et n'entendait pas confier le sort d'une Grande-Bretagne aux abois à la seule parole d'un homme. C'est donc avec résolution que Churchill prit la décision qui lui paraissait s'imposer. Côté français, il n'était évidemment pas question de laisser les bâtiments filer en Grande-Bretagne ou ailleurs. Engagés dans une logique de collaboration, les hommes de Pétain n'entendaient pas aider leur ancienne alliée tout comme ils refusaient de se priver d'un atout qu'ils comptaient, à plus ou moins long terme, monnayer avec le Reich.
Dans cette mesure, l'affrontement semblait inéluctable. Il emprunta pourtant une forme particulièrement tragique. Réputé anglophile, l'amiral Gensoul ne chercha pas cependant les termes d'un accord pacifique. C'est ainsi qu'il tut, dans ses télégrammes, l'offre "antillaise" des autorités anglaises, faisant apparaître l'ultmimatum pour plus brutal qu'il n'était. Il ne croyait sans doute pas non plus que les Britanniques passeraient à l'acte. L'amiral Darlan par ailleurs, outré que l'on mette sa parole en cause, n'hésita pas à ordonner que l'on riposte fermement à l'agression britannique, ce qui ne pouvait que conduire à l'escalade. La position de Londres reste encore aujourd'hui confuse. La Grande-Bretagne était-elle véritablement prête à accepter le scénario antillais ou cherchait-elle, une fois les navires en haute mer, à s'en emparer ? Les représailles ordonnées par Philippe Pétain furent relativement légères, bien que Darlan eût préféré des mesures plus sévères. Mais un flot de sang séparait désormais les deux anciens alliés ce qui ne facilita pas, avant 1942, le ralliement des marins français au camp gaulliste. [Voir Hervé Couteau-Begarie et Claude Huan, Mers El-Kébir, Paris : Economica, 1996]
Bereshit
Une autre analyse de la boucherie du 6 juin 1944.
VVV.JNSR
@Ineffable
la question n'est pas ici de savoir qui est mort pour quoi, mais de soulever le voile de déni qui s'abat comme pour tous les "événements" fêtés par le système mondialiste, sur les tenants et aboutissants méconnus du débarquement, à savoir d'une part, ces actes odieux commis contre les Françaises, totalement passés sous silences (des enfants sont nés de ces viols, Monsieur Ineffable …Plus
@Ineffable

la question n'est pas ici de savoir qui est mort pour quoi, mais de soulever le voile de déni qui s'abat comme pour tous les "événements" fêtés par le système mondialiste, sur les tenants et aboutissants méconnus du débarquement, à savoir d'une part, ces actes odieux commis contre les Françaises, totalement passés sous silences (des enfants sont nés de ces viols, Monsieur Ineffable) et d'autre part, le vrai visage des intentions "alliées" anglo-saxonnes, à savoir, la prise de pouvoir et l'invasion de la France. Cf ce texte du Général De Gaule :

"Le débarquement du 6 juin, ç'a été l'affaire des Anglo-Saxons, d'où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s'installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s'apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l'avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis.

"C'est exactement ce qui se serait passé si je n'avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous-préfets, mes commités de libération ! Et vous voudriez que j'aille commémorer leur débarquement, alors qu'il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieuseement, mais ma place n'est pas là !" (Général De Gaulle, 6 juin 1964)
"Et puis, ça contribuerait à faire croire que, si nous avons été libérés, nous ne le devons qu'aux Américains. Ca reviendrit à tenir la Résistance pour nulle et non avenue. Notre défaitisme naturel n'a que trop tendance à adopter ces vues. Il ne faut pas y céder !

"En revanche, ma place sera au mont Faron, le 15 Août, puisque les troupes françaises ont été prépondérantes dans le débarquement en Provence, que notre 1ère armée y a été associée dès la première minute, que sa remontée fulgurante par la vallée du Rhône a obligé les Allemands à évacuer tout le Midi et tout le Massic central sous la pression de l a Résistance. Et je commémorerai la libération de Paris, puis celle de Strasbourg, puisque ce sont des prouesses françaises, puisque les Français de l'intérieur et de l'extérieur s'y sont unis, autour d eleur drapeau, de leur hymne, de leur patrie ! Mais m'associer à la commémoration d'un jour où l'on demandait aux Français de s'abandonner à d'autres qu'à eux-mêmes, non !

"Les Français sont déjà trop portés à croire qu'ils peuvent dormir tranquilles, qu'ils n'ont qu'à s'en remettre à d'autres du soin de défendre leur indépendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naîve, qu'ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager à compter sur eux-mêmes ! Allons, allons, Peyrefitte ! Il faut avoir plus de mémoire que ça ! Il faut commémorer la France, et non lese Anglo-Saxons ! Je n'ai aucune raison de célébrer ça avec éclat. Dites-le à vos journalistes."


Pour ce qui est de la commémoration officielle, nous avons suffisamment de reportages, films, matraquages médiatiques à portée. Le but donc de ces deux contributions, est de rendre justice aux victimes de ces exactions commises par ces "sauveurs" de la France.
deniserp
Merci Ineffable de rappeler que ceux qui ont débarqué sur les plages normandes n'étaient pas tous des pervers venus violer les femmes françaises. Ceux-là, il ne faut pas les oublier. Pour autant, on doit condamner les actes intolérables qui ont été perpétrés par ces violeurs. Donc, oui, le devoir de mémoire est nécessaire ; oui les américains nous ont aidé pour nous sauver. Il ne faut cependant …Plus
Merci Ineffable de rappeler que ceux qui ont débarqué sur les plages normandes n'étaient pas tous des pervers venus violer les femmes françaises. Ceux-là, il ne faut pas les oublier. Pour autant, on doit condamner les actes intolérables qui ont été perpétrés par ces violeurs. Donc, oui, le devoir de mémoire est nécessaire ; oui les américains nous ont aidé pour nous sauver. Il ne faut cependant pas oublier les français qui sont restés pour défendre leur pays.
Ineffable
JUSTE UN MOT!
DIEPPE!!!
"Faut-il vraiment fêter le débarquement des "alliés" ?"
OUI! Parce qu'il n'y avait pas que du mauvais! Ne serait-ce que pour honorer ceux qui sont morts pour rien et loin de leur famille. Beaucoup de ces soldats étaient encore mineurs.
On pense souvent aux soldats américains, et trop souvent on oublie les canadiens français sacrifiés sur vos plages!
L'argument est bizarre …
Plus
JUSTE UN MOT!

DIEPPE!!!

"Faut-il vraiment fêter le débarquement des "alliés" ?"

OUI! Parce qu'il n'y avait pas que du mauvais! Ne serait-ce que pour honorer ceux qui sont morts pour rien et loin de leur famille. Beaucoup de ces soldats étaient encore mineurs.

On pense souvent aux soldats américains, et trop souvent on oublie les canadiens français sacrifiés sur vos plages!

L'argument est bizarre, parce qu'on ne l'accepterait pas pour une mère qui voudrait oublier et abandonner son enfant sous prétexte qu'il est le fruit d'un viol!
Roy-XXIII
Son coté clownesque aidant il est de "bonne guerre" que vous tentiez de discréditer les enseignements (ou aveux...) pourtant Historiques du Rav (Rabbin) Ron Chaya cher Bereshit ... Mais malgré tout vos efforts Rav Ron Chaya n'en sera pas moins Rabbin.
🤗
Bereshit
Je m'exprimais du point de vue de nos principes et non des leurs, qui en effet n'existent pas.
Cette histoire de coqs est à garder en mémoire en ce qui concerne l'opposition entre les deux empires actuels que sont le bloc euroatlantique et le bloc eurasiatique.
Les premiers étant les dégénérés que nous connaissons, les seconds, prenant la posture de la tradition (avec l'aide des branches orthodoxes …Plus
Je m'exprimais du point de vue de nos principes et non des leurs, qui en effet n'existent pas.

Cette histoire de coqs est à garder en mémoire en ce qui concerne l'opposition entre les deux empires actuels que sont le bloc euroatlantique et le bloc eurasiatique.
Les premiers étant les dégénérés que nous connaissons, les seconds, prenant la posture de la tradition (avec l'aide des branches orthodoxes intégristes) et de la restauration des valeurs (celle de la mafia russe?).

Restons catholique et suivons donc le conseil de votre lien ci-dessous, étant donné qu'en tant que disciple du Christ nous sommes, n'en déplaise aux myopes spirituels, le véritable Israël.

Tant que j'y suis, je conseille au passage à ceux qui ont besoin de rigoler, d'échanger de temps à autre leurs films comiques avec une analyse géopolitique du Rav Ron Chaya, ils ne le regretterrons pas. 😀
Roy-XXIII
Pardon ... sauf que le(s) principe(s) c'est le profit (financier et idéotalmudothéologique pour ne pas dire ethnique ...)
youtu.be/Y7DHbydFfWk
Roy-XXIII
?! Merci Bereshit ...
Bereshit
Bereshit
VVV.JNSR
Suite des propos du Général De Gaule :
"Et puis, ça contribuerait à faire croire que, si nous avons été libérés, nous ne le devons qu'aux Américains. Ca reviendrit à tenir la Résistance pour nulle et non avenue. Notre défaitisme naturel n'a que trop tendance à adopter ces vues. Il ne faut pas y céder !
"En revanche, ma place sera au mont Faron, le 15 Août, puisque les troupes françaises ont …Plus
Suite des propos du Général De Gaule :

"Et puis, ça contribuerait à faire croire que, si nous avons été libérés, nous ne le devons qu'aux Américains. Ca reviendrit à tenir la Résistance pour nulle et non avenue. Notre défaitisme naturel n'a que trop tendance à adopter ces vues. Il ne faut pas y céder !

"En revanche, ma place sera au mont Faron, le 15 Août, puisque les troupes françaises ont été prépondérantes dans le débarquement en Provence, que notre 1ère armée y a été associée dès la première minute, que sa remontée fulgurante par la vallée du Rhône a obligé les Allemands à évacuer tout le Midi et tout le Massic central sous la pression de l a Résistance. Et je commémorerai la libération de Paris, puis celle de Strasbourg, puisque ce sont des prouesses françaises, puisque les Français de l'intérieur et de l'extérieur s'y sont unis, autour d eleur drapeau, de leur hymne, de leur patrie ! Mais m'associer à la commémoration d'un jour où l'on demandait aux Français de s'abandonner à d'autres qu'à eux-mêmes, non !

"Les Français sont déjà trop portés à croire qu'ils peuvent dormir tranquilles, qu'ils n'ont qu'à s'en remettre à d'autres du soin de défendre leur indépendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naîve, qu'ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager à compter sur eux-mêmes ! Allons, allons, Peyrefitte ! Il faut avoir plus de mémoire que ça ! Il faut commémorer la France, et non lese Anglo-Saxons ! Je n'ai aucune raison de célébrer ça avec éclat. Dites-le à vos journalistes."
Abramo
C'est incroyable!
VVV.JNSR
Suite...