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Sintica, l'esclave libre - d'après l'Œuvre de Maria Valtorta. Pour la première fois, l'œuvre gigantesque de Maria Valtorta, adaptée au vidéo-film... Une réussite qui nous plonge immédiatement au …Plus
Sintica, l'esclave libre - d'après l'Œuvre de Maria Valtorta.
Pour la première fois, l'œuvre gigantesque de Maria Valtorta, adaptée au vidéo-film... Une réussite qui nous plonge immédiatement au temps de Jésus, un Jésus décrit comme seule Maria Valtorta l'a si bien fait, elle qui, dans ses visions et locutions, le côtoyait journellement... Nous devons ce premier film à M. Bruno Perrinet qui a réuni autour de lui une petite poignée d'artistes indépendants pour unir leur force et produire des films chrétiens. "Sintica, l'esclave libre" raconte la conversion d'une jeune grecque au christianisme.
www.resiac.fr/FILM/1363-MARIA-VALT…
olivierjean
Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout cet effort serait admirable s’il s’agissait de messages dont l’Église avait reconnu le caractère surnaturel. Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».
olivierjean
«Cette condamnation publique de l’œuvre par la Suprême Sacrée Congrégation est donc d’autant plus opportune, qu’il s’agit de désobéissance grave».
1 autre commentaire de olivierjean
olivierjean
Conférence Épiscopale italienne
Prato N° 324/92
Rome, le 6 mai 1992
Très cher Éditeur,
Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 …Plus
Conférence Épiscopale italienne

Prato N° 324/92

Rome, le 6 mai 1992

Très cher Éditeur,

Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 et du 15 Juin 1966.[ii]

Mais pour le vrai bien des lecteurs et dans l'esprit d'un véritable service de la foi de l'Église, je vous demande, qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les "visions" et "dictées" qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus.

Je vous remercie de votre collaboration.

Je tiens à vous témoigner de mon estime et vous prie de croire en mes respectueuses et cordiales salutations.

+ Dionigi Tettamanzi
Secrétaire général
apvs
VS :
Le Cardinal Ratzinger, Préfet pour la congrégation de la Foi se fiant naturellement aux actes de son prédécesseur, déclare, dans une lettre à l'archevêque de Gênes, qu'il n'était pas personnellement favorable à la diffusion ni à la recommandation de l'œuvre à cause de son possible impact auprès des gens "les plus naïfs". Il laissait toutefois le Cardinal Siri libre de répondre, de la …Plus
VS :

Le Cardinal Ratzinger, Préfet pour la congrégation de la Foi se fiant naturellement aux actes de son prédécesseur, déclare, dans une lettre à l'archevêque de Gênes, qu'il n'était pas personnellement favorable à la diffusion ni à la recommandation de l'œuvre à cause de son possible impact auprès des gens "les plus naïfs". Il laissait toutefois le Cardinal Siri libre de répondre, de la manière qui lui convenait, à la demande d'un prêtre de son diocèse. Dans sa lettre il indique que la condamnation a dû être faite pour de bonnes raisons, ce qui indique qu’il n’a pas été plus avant dans ses investigations que les actes officiels qu’il transmet.

Devant la recrudescence d’intérêt pour les écrits de Maria Valtorta,, le Cardinal Ratzinger
fait demander à l'éditeur, par l'intermédiaire de la Conférence des évêques d'Italie, de bien préciser, dans les futures éditions, que l'œuvre de Maria Valtorta devait être considérée comme une œuvre personnelle. Il précise : "ne doivent pas être considérées comme" et non "ne sont pas d’origine surnaturelle". Cet imprimatur conditionnel est conforme aux révélations privées pour lesquelles il n’y a que des « certitudes humaines et non divines ».

La position du cardinal Ratzinger, plus théologique que pastorale, devient sujette à interprétation et donne des résultats divers : en 1992, les évêques du Kerala
se réjouissent unanimement de la traduction de Maria Valtorta dans leur langue, en 1993, Mgr R. Boland de l’Alabama, semble interpèter que les écrits de Maria Valtorta n’ont rien de surnaturel, en 2001, Mgr R. Danylak, évêque gréco-catholique ukrainien, certifie au contraire la parfaite valeur et conformité de ces écrits, en 2008 les évêques chinois demandent à ce que l’on poursuive la traduction de Maria Valtorta dans leur langue, … Il y a donc ceux qui ont lu l’œuvre et ceux qui ne le souhaitent pas.

Si l’imprimatur ne fait plus de doute, on retrouve dans les faits la phrase prophétique de Pie XII : il n’y a pas à se prononcer sur l’origine de l’œuvre, il suffit de lire pour le comprendre.


SS. le Pape Benoît XVI

Pontificat 19.04.2005 – 28.02.2013
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm


On ne connaît officiellement que ses positions sur Maria Valtorta en tant que Préfet de la Congrégation pour la foi.

Sa position sur un cas certainement loin de ses soucis, pouvait se résumer ainsi : dans le doute abstiens-toi. Devenu Pape, il a cependant du exercer un regard plus critique sur les rouages du pouvoir de la Curie qu’il tenta vainement de réformer.

Il faut sans doute y voir la cause des changements qui s’opèrent à la fin de son pontificat :

- Les cérémonies du
cinquantième anniversaire de la mort de Maria Valtorta (15 octobre 2011) se sont déroulées sous la présidence de Mgr Pier Giacomo De Nicolò, ancien nonce apostolique. La commémoration a eu lieu à la Santissima Annunziata de Florence où Maria Valtorta est enterrée, un haut lieu des Servites de Marie.

- Dans la dernière année de son pontificat, il béatifie coup sur coup, deux défenseurs affichés de Maria Valtorta :
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm (1904 –1981), fondatrice des Missionnaires clarisses du Très saint Sacrement. Elle avait demandé qu'un exemplaire de l'Évangile tel qu'il m'a été révélé figure dans chacune des maisons qu'elle avait fondé, puis le 29 septembre 2012, le www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm, bibliste traducteur de la Bible en chinois, ouvertement favorable à Maria Valtorta dont il confirmait l’inspiration divine.
olivierjean
La condamnation : Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,
Prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993. L'ouvrage a été d'emblée interdit de publication en 1949 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Publié malgré cette …Plus
La condamnation : Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,

Prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993. L'ouvrage a été d'emblée interdit de publication en 1949 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Publié malgré cette interdiction en 1956-1959, il a été mis à l'Index par le Vatican le 16 décembre 1959. L'Osservatore Romano, journal officiel du Vatican, commente l'événement dans un article du 6 janvier 1960. En dépit de cette mise à l'Index, une seconde édition voit alors le jour. De nouveau, L'Osservatore Romano répète les termes de la condamnation, dans un article du 1er décembre 1961.
Malgré l'abolition de l'Index en 1966, le cardinal Ratzinger, futur pape Benoît XVI, confirme en 1985 qu'il n'est « pas opportun » de diffuser ou de recommander l'ouvrage de Maria Valtorta, en raison des « dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles les plus naïfs ».
En 1993, à l'initiative du cardinal Ratzinger et de la Congrégation pour la doctrine de la foi, la Conférence des évêques italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta de publier un démenti à l'intérieur des volumes « qui indique clairement, dès la toute première page, que les « visions » et les « dictées » auxquelles il est fait allusion sont simplement des formes littéraires utilisées par l'auteur pour raconter la vie de Jésus à sa manière.
« Elles ne peuvent être considérées comme étant d'origine surnaturelle »fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Valtorta
satholique la Sainte Eglise Romaine ia
apvs
( suite )
Conformité des aspects doctrinaux.
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La reconnaissance de la valeur théologique de l’œuvre de Maria Valtorta vient, paradoxalement, des membres du Saint-Office qui la mirent à l’Index. Ce n’était bien sûr pas leur intention. Mais « tel est pris qui croyait prendre » dit le dicton. Nous allons le voir.
Auparavant, il nous faut pointer les six tentatives de décrédibilisation …
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( suite )

Conformité des aspects doctrinaux.

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La reconnaissance de la valeur théologique de l’œuvre de Maria Valtorta vient, paradoxalement, des membres du Saint-Office qui la mirent à l’Index. Ce n’était bien sûr pas leur intention. Mais « tel est pris qui croyait prendre » dit le dicton. Nous allons le voir.

Auparavant, il nous faut pointer les six tentatives de décrédibilisation auxquelles l’article des censeurs s’essaye, tout en précisant qur toute erreur doctrinale est "évitée". Pourquoi dans ce cas en parler ?

1 – des faits rajoutés : il suffit de se reporter à la dernière phrase de l’Évangile et aux avis du Magistère, pour s’étonner qu’il s’en étonne
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm.

2 – des pages scabreuses aptes à troubler les pensionnats de jeunes filles et les couvents de religieuses. Cet avis suranné trouve son origine dans les confessions (pudiques) d’une courtisane racontant son chemin de rédemption
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm ; ainsi que dans une scène où Jésus comparaît devant Hérode Antipas qui le questionne et espère de lui un miracle selon l’Évangilewww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm. À noter que les censeurs attribuent la scène par erreur à une comparution devant Pilate.

3 – "Au milieu d’un si grand étalage de connaissances théologiques (sic), écrivent-ils, on peut cueillir quelques… perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie catholique" et de citer "Ici et là s’exprime, au sujet du péché d’Adam et Ève, une opinion plutôt extravagante et inexacte". On aurait aimé plus de précisions.

Enquête faite, l'œuvre de Maria Valtorta affirmerait "que la tentation d'Ève a d'abord été un éveil sensuel de sa chair, qu'elle a commencé le péché toute seule et l'a achevé avec son compagnon. L'Écriture n'en dirait rien".

Malheureusement pour les censeurs, Maria Valtorta ne fait qu'exprimer ce que dira presqu'intégralement, un demi-siècle plus part, le Catéchisme de l'Église catholique sur la concupiscence et son origine (
CEC § 2514 et 2515). Au jeu de l’orthodoxie, tel est pris qui croyait prendre.

4 – Une "hérésie évitée" : "Marie peut-être appelée seconde-née du Père" (
EMV 1). L’affirmation est exacte mais sortie de son contexte et révèle de vraies lacunes de la part du censeur.

Dans une note manuscrite, Maria Valtorta précise :

"Elle est seconde en perfection naturelle et surnaturelle, après celui qui est à la fois Fils de Dieu et son Fils à elle, qui est infini, comme Dieu, en toute perfection."

Qui dirait le contraire ?

Pie XII lui-même, dans son
message radiodiffusé du 13 mai 1946 à l’occasion de la fête de Notre-Dame de Fatima, n’hésite pas à qualifier Marie de "première-née du Père (Filha primogénita do Padre)www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm".

Saint Maximilien Kolbe se fait plus précis : "Les êtres spirituels sont créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, alors d’elle (la Vierge Marie) on peut dire qu’elle est Fille de Dieu
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm".

Si les censeurs trouvent que l’œuvre de Maria Valtorta ne "brille pas par son orthodoxie", force est de constater que leur article ne brille pas par sa culture la plus élémentaire.

5 – Un commentaire sur le Paradis que les censeurs jugent être "une notion hermétique et plus confuse que jamais, ce qui est heureux, car si on devait la prendre à la lettre, elle n’échapperait pas à une censure sévère" menacent-ils.

Pour qu’elle soit moins confuse, il suffit de la lire
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm : Jésus fait le portrait spirituel de sa Mère. Les censeurs devaient être assez peu coutumiers des louanges que saint Cyrille d’Alexandrie adressa au nom de tous les Pères présents, lors du concile d’Éphèse (431), sinon ils y auraient trouvés l’écho des paroles transcrites par Maria Valtorta. Auraient-ils oser dire que ce concile fondamental s’adonnait à l’hermétique et au confus ?

6 - L'article signale pour finir "une autre affirmation étrange et imprécise, dans laquelle on dit de la Madone : Toi, pendant le temps que tu resteras sur Terre, tu seconderas Pierre "comme hiérarchie ecclésiastique".

Ce salmigondis devient plus clair quand on se réfère à la citation exacte
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm(mais ont-ils lu vraiment l’œuvre comme l’avait fait Pie XII ?): Jésus évoque avec sa Mère la séparation qui approche et lui confie l’Église naissante : "[…] Toi, pendant le temps que tu resteras sur la terre, venant après Pierre dans la hiérarchie ecclésiastique, lui Chef et toi fidèle, mais la première avant tous comme Mère de l'Église puisque tu m'as enfanté Moi, Chef de ce Corps mystique."

L’explication de Maria Valtorta est limpide. Le lecteur se reportera à ce dit le Catéchisme de l'Église catholique
(§ 963 et suivants) sur Marie, Mère de l'Église et jugera d’où vient l’étrangeté et l’imprécision.

Ne trouvant rien de consistant à opposer sur le plan théologique, à part des "si" et des "mais" persifleurs, les censeurs lancent une pique sur le plan exégétique : "Les spécialistes des études bibliques y trouveront certainement beaucoup d’erreurs historiques, géographiques et autres".

Lesquelles ? On ne sait pas. Mais là encore, c’est tout le contraire qui se produit : que ce soit le cardinal Bea alors recteur de l'Institut Biblique Pontifical, ou le bienheureux Allegra, cofondateur de l’École Biblique franciscaine de Hong-Kong, ou le Père François-Paul Dreyfus de l’École biblique et archéologique française de Jérusalem, tous confirment l’étonnante exactitude des données archéologiques, géographiques, historiques, etc. des écrits de Maria Valtorta.

Ne trouvant pas de faille dans "un si grand étalage de connaissances théologiques" et ayant probablement survolé l’œuvre de Maria Valtorta, les censeurs crurent à une écriture en sous-main des théologiens qui défendaient l’œuvre de Maria Valtorta. Pensant les démasquer ils pointent, malgrè eux, la haute valeur théologique de l’œuvre. On reste pantois devant ce qu’ils reconnaissent malgrè eux :

"Jésus est loquace à l’extrême, en véritable publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu et à faire des exposés de théologie dans les termes mêmes qu’emploierait un professeur de nos jours. Dans le récit des Évangiles nous admirons l'humilité et le silence de la Mère de Jésus ; par contre pour l'auteur (ou l'auteure) de cette œuvre la très sainte Vierge a la faconde d’une propagandiste moderne ; elle est présente partout, toujours prête à donner des leçons d’une théologie mariale mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière".

Voilà l’humble Maria Valtorta, hissée à l’égal des professeurs de théologie romains ou à la pointe des études mariologiques. Cette reconnaissance venant de personnes qu’on ne peut soupçonner de complaisance, vaut un brevet d’authenticité : QUI peut en effet être le théologien des théologiens et générer 4 000 pages de textes en faisant preuve d’un "si grand étalage de connaissances théologiques" sans que des censeurs zélés puissent y trouver une erreur théologique patente ? Il n’y en a qu’un seul et les visions de Maria Valtorta rapportent sa vie sur terre.

D’ailleurs, quand la seconde édition paraît,
l’Osservatore romano du vendredi 1er décembre 1961, se contente d’un entrefilet laconique rappelant la précédente condamnation "pour défaut d’imprimatur" et spécifie que l’œuvre "n’a aucune valeur scientifique". Fini le procès en hérésie ! Les études que nous avons citées, comme les plus récentes sorties sur le sujet, démontrent, là aussi, leur erreur de jugement.

L’irrévérence institutionnelle des censeurs.

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Nous ne sommes pas au bout des surprises en lisant l’article de 1960 commentant la mise à l’Index. Il confirme explicitement le soutien apporté par des "personnalités illustres" à l'œuvre de Maria Valtorta. Les censeurs les connaissaient donc et l’avis personnel du pape Pie XII était connu

Ils écrivent :

"[…] malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication, le Saint-Office a cru nécessaire de la mettre dans l'Index des Livres prohibés. Les motifs sont évidents pour qui aura une patience de Chartreux, de lire ces presque quatre mille pages."

On admire, au passage, l’ironie qui invite à se convaincre en lisant une œuvre qu’on interdit de lire et le mépris contenu dans l’accusation de naïveté portée à l’encontre de personnalités de la Curie, parmi lesquelles trois recteurs d’universités pontificales et un préfet de congrégation pour la cause des saints.

Cette accusation de naïveté s’étendait-elle au pape défunt ? On voudrait se convaincre que non.

Jean XXIII, sous l’autorité duquel est prononcée l’interdiction, n’aurait jamais contredit son prédécesseur s’il avait été informé du dossier. On dut sans doute ne lui présenter que l’indiscipline et il avait en tête d’autres préoccupations avec le concile qui s’annonçait.

Cette irrévérence explique sans doute que par la suite, le Père Berti,promoteur principal de l’œuvre, fut reçu au Saint-Office dans de meilleures conditions par une autre commissaire, le Père Marco Giraudo qui après s’être enquis de l’encouragement de Pie XII et du soutien des personnalités "illustres" de la Curie, pris contact avec sa hiérarchie et accorda un imprimatur verbal pour la publication de l’œuvre qui ne fut plus inquiétée désormais. L’accord fut diplomatiquement verbal car la contradiction publique n’est pas de mise à la Curie. Cependant cette ouverture arriva trop tard pour Maria Valtorta, morte peu avant, crucifiée par le poids d’une condamnation infâmante.
apvs
Réponse point par point à toutes les allégations de olivierjean issues de la source sacro-sainte "wikipedia" :))))
Les circonstances de la mise à l’Index.

Le 6 janvier 1960, (voir l'historique) l'Osservatore Romano, organe officiel du Vatican, publie un article commentant le décret, en date du 16 décembre 1959, de la mise à l'Index des livres prohibés de la vie de Jésus de Maria Valtorta.
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Réponse point par point à toutes les allégations de olivierjean issues de la source sacro-sainte "wikipedia" :))))

Les circonstances de la mise à l’Index.


Le 6 janvier 1960, (voir l'historique) l'Osservatore Romano, organe officiel du Vatican, publie un article commentant le décret, en date du 16 décembre 1959, de la mise à l'Index des livres prohibés de la vie de Jésus de Maria Valtorta.

L’article n’est pas signé, comme c’est l’usage, mais nous le pensons rédigé par le Père Girolamo Berruti, un dominicain.

Cela faisait suite à deux évènements :

d’une part l’encouragement explicite du Pape Pie XII à la publication de cette vie de Jésus (audience du 26 février 1948), Termes attestés sous serment par trois des témoins.
"Publiez l’œuvre telle qu’elle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront".

et d’autre part la censure décidée parallèlement, et en sous-main, par deux commissaires du Saint-Office en 1949. Si les évènements sont relatés par le Père Berti, théologien et soutien de Maria Valtorta, on ne trouve aucune trace écrite d’une quelconque condamnation :

- Ni dans les
Actes du Saint Siège .
- Ni dans un quelconque écrit officiel. Sauf une allusion non datée à une semonce non relatée.

Ce qui explique la mise à l’Index fut prononcée dix ans plus tard sans avertissement préalable requis par le code de procédure. Les censeurs estimaient l’avoir déjà fait. Malheureusement, là non plus, il n’existe aucune lettre écrite à l’éditeur ou à l’auteure comme il est requis.

Cet amateurisme et cette cacophonie surprennent, mais Mgr Giovanni Pepe, l’un des deux commissaires à l’origine de cette censure, semble coutumier du fait : il fut demis de ses fonctions en août 1952 à la demande de Pie XII : il avait publié une mise à l’Index de livres parlant du Padre Pio sans l’aval du Pape qui ne le souhaitait pas
[1].

Nous avons d’ailleurs de fortes raisons de penser que ceux qui mirent à l’Index la vie de Jésus de Maria Valtorta, sont les mêmes qui "persécutèrent" le Padre Pio selon le mot de Luigi Peroni, un de ses biographes
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm.

La vie de Jésus de Maria Valtorta fut une des
dernières œuvres à être mise à l’Index avant la suppression définitive, en 1966, de ce catalogue quatre fois séculaire. Elle ne fut suivie que par La vie de Jésus de Jean Steinmannwww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm puis par l’ensemble des œuvres de Pierre Teilhard de Chardinwww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm.

Bien que l’encouragement du Pape fut connu des censeurs, l’ouvrage de Maria Valtorta fut censurée au titre de
l’article 1385, paragraphe 1, § 2 du Code de droit canonique de 1917, en vigueur au temps de Maria Valtorta. Il stipulait qu’aucun livre touchant à un sujet religieux ne peut être édité sans imprimatur. Hors c’était le cas de la vie de Jésus de Maria Valtorta qui ne pouvait fournir une attestation écrite dans ce sens.

Il s’agit d’une condamnation disciplinaire et non doctrinale. Les condamnations doctrinales sont régies par un autre article du code : le § 1399. On imagine mal d’ailleurs que des souverains Pontifes, des cardinaux, des théologiens et des biblistes
aient pu soutenir une œuvre contraire à la foi, voire même futile ou nocive. Cela est du simple bon sens.

La censure intervient en décembre 1959 : plus de trois ans après la publication du premier tome (juin 1956). Il faut dire qu’entre-temps le Pape Pie XII, qui avait encouragé la publication, était mort : ceci explique cela.


Les aspects juridiques invalidant désormais la mise à l’Index.

www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm

La censure de la vie de Jésus de Maria Valtorta est aujourd’hui périmée pour trois raisons :

- Elle est invalide dès lors que le Pape, qui exerce l’autorité suprême en matière de révélations
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm, avait publiquement et explicitement encouragé la publication, comme l’analyse www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm, spécialiste de ce sujet.

- Elle obsolète dès lors que l’Index a été
aboli en droit et en conséquences en 1966.

- Elle est sans objet dès lors que l’imprimatur qui avait motivée la censure n’est plus requis depuis 1975
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm pour ce type de livre.

Seuls demeurent, comme critère de jugement, l’avertissement moral et la conscience mature des fidèles, tels que stipulés dans le décret de supression :

"après avoir interrogé le Saint Père, (le Saint-Office) a annoncé que l'Index reste moralement engageant, en tant qu'avertissement à la conscience des chrétiens de se garder, […] des écrits de ceux qui peuvent mettre en danger la foi et la morale, mais en même temps, avertissant qu'il n'a plus force de loi ecclésiastique avec la censure qui y est liée. Ainsi, l'Église est confiante dans la conscience mature des fidèles."

Nul ne peut imaginer, sauf quelques articles pratiquant l’approximation, que l’œuvre de Maria Valtorta, qui fut la nourriture des papes et des saints, présente un danger pour la foi et la morale.

Quant à la liberté de choix, elle correspond tout à fait à l’avis de Pie XII encourageant la publication de l’œuvre.
olivierjean
la question de la valeur de l'ouvrage, toujours selon L'Osservatore Romano, concerne beaucoup plus les problèmes de fond, qui ont motivé la mise à l'Index. Ces problèmes tiennent notamment à la personnalité de Jésus tel que le décrit Maria Valtorta. L'article précise : « Les quatre Évangiles nous présentent un Jésus humble et réservé ; ses discours sont brefs et incisifs, mais tombent toujours …Plus
la question de la valeur de l'ouvrage, toujours selon L'Osservatore Romano, concerne beaucoup plus les problèmes de fond, qui ont motivé la mise à l'Index. Ces problèmes tiennent notamment à la personnalité de Jésus tel que le décrit Maria Valtorta. L'article précise : « Les quatre Évangiles nous présentent un Jésus humble et réservé ; ses discours sont brefs et incisifs, mais tombent toujours juste. Par contre, dans cette espèce d'histoire romancée, Jésus est loquace au maximum, presque sur un ton publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu, et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes que ceux qu'emploierait un professeur de nos jours. »
olivierjean
En 1949 l'ouvrage est examiné par la Congrégation pour la doctrine de la foi (appelée alors Saint-Office) en charge de ces questions. Loin de recevoir l'imprimatur, il est interdit de publication, comme l'indique l'article de L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 : « Il y a environ dix ans [donc environ 10 ans avant 1960] il circulait d'épaisses pages dactylographiées qui contenaient …Plus
En 1949 l'ouvrage est examiné par la Congrégation pour la doctrine de la foi (appelée alors Saint-Office) en charge de ces questions. Loin de recevoir l'imprimatur, il est interdit de publication, comme l'indique l'article de L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 : « Il y a environ dix ans [donc environ 10 ans avant 1960] il circulait d'épaisses pages dactylographiées qui contenaient des prétendues visions et révélations. À ce moment-là l'Autorité Ecclésiastique compétente avait prohibé l'impression de ces pages dactylographiées et avait commandé qu'elles fussent retirées de la circulation. »

Malgré cette opposition, un ouvrage comprenant Le Poème de Jésus et Le Poème de l'Homme-Dieu est publié à partir de 1956 par un imprimeur, Michele Pisani (C'est cet ensemble de textes qui sera publié en français sous le titre de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé). Dans sa postface, Pisani indique, d'après le témoignage du père Berti, que lors de l'audience de 1948, Pie XII aurait émis un avis bienveillant sur l'oeuvre, dont il aurait lu certaines parties, et conseillé de la publier en l'état, sans parler d'origine surnaturelle. Aucune autre source ne confirme ce témoignage.

Le quatrième tome paraît en 1959, sous le pontificat de Jean XXIII. L'ouvrage est mis à l'Index le 16 décembre 1959 (avec publication du décret le mardi 5 janvier 1960) par le Saint-Office. Le décret de mise à l'Index, signé par le notaire Massala est commenté en détail le lendemain 6 janvier 1960 par L'Osservatore Romano, l'organe de presse du Vatican. Le commentaire de L'Osservatore Romano :
L'article de L'Osservatore Romano explique les raisons de cette condamnation, sous le titre « Une Vie de Jésus mal romancée ». Le journaliste conteste la valeur littéraire des quelque 4000 pages de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, notamment en raison de la « longueur des discours attribués à Jésus et à la Très Sainte Vierge » et des « interminables dialogues que se tiennent les personnages multiples qui peuplent ces pages » , et s'étonne des propos des éditeurs, qui comparent Maria Valtorta à Dante en écrivant dans leur préface qu'elle « a donné une œuvre dans laquelle, au milieu de splendides descriptions des temps et des lieux, se présentent d'innombrables personnages qui nous adressent leur parole, soit douce, soit forte, comme admonition ».

Cependant la question de la valeur de l'ouvrage, toujours selon L'Osservatore Romano, concerne beaucoup plus les problèmes de fond, qui ont motivé la mise à l'Index. Ces problèmes tiennent notamment à la personnalité de Jésus tel que le décrit Maria Valtorta. L'article précise : « Les quatre Évangiles nous présentent un Jésus humble et réservé ; ses discours sont brefs et incisifs, mais tombent toujours juste. Par contre, dans cette espèce d'histoire romancée, Jésus est loquace au maximum, presque sur un ton publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu, et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes que ceux qu'emploierait un professeur de nos jours. »

De même, le journaliste relève ce type de contradiction par rapport à l'Évangile à propos de la Vierge Marie. Il oppose « l'humilité et le silence de la Mère de Jésus » que l'on trouve dans le Nouveau Testament et l'ouvrage de Maria Valtorta, où « la Très Sainte Vierge a la faconde d'un propagandiste d'aujourd'hui » et où elle apparaît omniprésente, « toujours prête à donner des leçons de théologie mariale qui suivent les développements les plus récents des spécialistes actuels en la matière ».

Enfin, les développements théologiques de Maria Valtorta frôlent « l'hérésie avérée » au sens où elles comportent « certaines… perles qui certes ne brillent pas par leur orthodoxie catholique ». Par exemple, le journaliste relève que Marie est définie dans l'ouvrage comme « la seconde née du Père » à plusieurs reprises, sans d'ailleurs que cette formule soit explicitée. La vision de la Trinité s'exprime dans un « concept hermétique et [...] confus », et « l'impression reste qu'on veut construire une nouvelle mariologie ». Il semble que Maria Valtorta accorde à Marie une place assez éloignée du dogme catholique car il lui est dit : « Pendant le temps que tu resteras sur la Terre, c'est toi qui seconderas Pierre comme hiérarchie ecclésiastique. »

Dans les dernières pages du quatrième et dernier volume de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, l'auteur apparaît. Le journaliste remarque : « L'auteur se révèle... une femme et écrit qu'elle a été témoin de tout le temps messianique, et qu'elle s'appelle Marie (Valtorta). »Depuis la mise à l'index Chronologie des faits. Malgré la mise à l'Index par le Vatican, l'ouvrage est réédité peu après, cette fois en 10 volumes. L'Osservatore Romano publie alors un nouvel article à la une de son numéro du 1er décembre 1961 pour exposer une fois de plus les termes de la condamnation.

En 1966, l'Index est aboliÀ l'époque, le cardinal Alfredo Ottaviani, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, précise que si la dissolution de l'Index lève la prohibition sur les ouvrages concernés, l'Index n'en garde pas moins sa force morale.

En ce qui concerne les œuvres de Maria Valtorta, dans un courrier daté du 31 janvier 1985 adressé au cardinal Siri, archevêque de Gênes, le cardinal Joseph Ratzinger, successeur d'Alfredo Ottaviani à la tête de la Congrégation pour la doctrine de la foi, confirme que leur diffusion ne serait pas « opportune ». Il écrit à ce propos : « L'Index conserve toute sa valeur morale, par laquelle il n'est pas opportun de diffuser ou de recommander une œuvre dont la condamnation n'a pas été décidée à la légère mais pour des raisons mûrement réfléchies, afin de neutraliser les dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles les plus naïfs ».

Mgr Dionigi Tettamanzi, secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, demande en 1992 à l'éditeur de l'ouvrage qu'il ne soit pas fait mention d'une origine surnaturelle des visions et dictées.

En 1992 un évêque canadien de l'Église grecque-catholique ukrainienne de Toronto, Roman Danylak, évêque titulaire de Nevşehir (Turquie), Réfute les principales critiques et affirme la totale conformité de l'œuvre avec l'orthodoxie catholique romaine. En 2001, "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé" reçoit son imprimatur. L'imprimatur ne concerne que le diocèse d'un évêque, en l'occurrence celui de Nevsehir en Turquie. Il ne concerne en rien l'ensemble du monde catholique.

L'année suivante, en avril 1993, l'Église catholique se prononce de nouveau à propos de Maria Valtorta, après l'interdiction de publier dès 1949, la mise à l'Index en 1960 et la lettre du cardinal Ratzinger en 1985. De nouveau, la Congrégation pour la doctrine de la foi répète que les « visions » et les « dictées » qu'aurait reçues Maria Valtorta « ne peuvent être considérées comme étant d'origine surnaturelle ». À l'initiative du cardinal Ratzinger et de la Congrégation, la Conférence des évêques italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta de publier un démenti à l'intérieur des volumes « qui indique clairement, dès la toute première page, que les "visions" et les "dictées" auxquelles il est fait allusion sont simplement des formes littéraires utilisées par l'auteur pour raconter la vie de Jésus à sa manière. Elles ne peuvent être considérées comme étant d'origine surnaturelle.
Non seulement l'Église catholique n'a jamais, en aucune façon, validé cette rumeur, mais, à la demande de Mgr Boland, évêque de Birmingham, le Saint-Siège a une fois de plus répété que les prétendues « dictées » et « visions » de Maria Valtorta « ne peuvent être considérées comme étant d'origine surnaturelle ».

Depuis lors, plusieurs théologiens catholiques, dont le prêtre jésuite Mitch Pacwa, ont réexpliqué pour quelles raisons l'Église catholique a clairement condamné, à plusieurs reprises, l'ouvrage de Maria Valtorta. Ils ont relevé de nombreuses et graves incohérences théologiques, incompatibles avec le dogme catholique : par exemple, le « péché originel » est décrit comme une scène d'attouchements sexuels ou encore Maria Valtorta désigne Jésus-Christ sous le nom de « l'Homme-Dieu » alors que pour le catholicisme il est « Dieu fait homme ». Sur un plan plus anecdotique, l'ouvrage présente des anachronismes, par exemple l'usage de tournevis à l'époque christique. L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation, prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993.

Selon l’éditeur, En 1985, le fils de Michele Pisani, premier éditeur de Maria Valtorta, Emilio Pisani créé une société privée ad hoc, le Centro Editoriale Valtortiano (CEV). Les statuts du CEV indiquent que la société a pour "vocation spécifique et prioritaire de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux, au moyen de l'impression et de la vente de ses œuvres littéraires".

Plutôt que de lire ce roman où les erreurs foisonnent, les fidèles feraient mieux de lire les Saintes Écritures avec de bons commentaires nourris des Pères de l’Église, par exemple La grande vie de Jésus-Christ par Ludolphe le Chartreux, La Chaîne d’Or de saint Thomas d’Aquin, les commentaires de l’Évangile de Bossuet, les commentaires des épîtres de saint Paul par Dom Delatte ou de la sainte Écriture par Dom Marmion, ou encore de bonnes vies de saints : nos ancêtres ont fait leurs délices de La légende dorée du bienheureux Jacques de Voragine. Les vies de saints – sauf dans le cas d’une mauvaise hagiographie – nous font rester dans le réel au lieu de partir dans l’imaginaire comme c’est le cas de ces « visions ».
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smf
tres bon filme merci francisca de sevran 93270