Orbán a remis à François une lettre sur l'invasion musulmane
Béla avait averti le pape en 1250 de l'invasion tataro-mongole, appelant à l'unité des nations catholiques. Il a été ignoré. 35 ans plus tard, la Hongrie a repoussé les Tatars au prix d'une grande effusion de sang.
Alors qu'Orbán faisait implicitement référence à l'invasion musulmane en cours en Europe, François a exhorté, au cours de sa visite de sept heures seulement, à tendre les bras à tout le monde - sauf aux catholiques de rite romain, bien sûr.
Plusieurs agences de presse ont remarqué que François et Orbán ont pris place à plusieurs mètres l'un de l'autre, une distance de sécurité généreuse mais nécessaire puisque Orbán est un chrétien et François un conformiste.
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