Les gens qui se demandent sans rire au XXI°siècle si Jésus-Christ a vraiment existé, c'est les mêmes que les très sérieux "Primo saignare, deinde purgare, postea clysterium donare" du XVII° siècle de Molière, c'est les mêmes que ceux qui se demandaient sans rire au XVI° siècle si les papous avaient une âme, c'est les mêmes que ceux qui se demandaient sans rire au XI° siècle si la terre était plate... Mon Dieu, s'il Vous plait, guérissez les foldingos de leurs maladies contagieuses !

Un psychotique, qui se croyait mort, et qui s’était coupé à un doigt : « ça alors, je ne savais pas que même les morts peuvent saigner !... » Le déni du réel.

La méthode hypercritique, elle, peut être appliquée à ceci ou bien à cela, à tout et à n’importe quoi et à n’importe qui.
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F. Masson : « Les mythistes adoptent une méthode hypercritique déraisonnable, à l'image des négationnistes de la Shoah.
Des auteurs tels que Jean-Baptiste Pérès et Richard Whately ont montré que l'on peut nier l'existence de Napoléon avec les mêmes arguments. »

Les arguments développés par ceux qui nient l’existence de Jésus,
selon le philosophe Alexis Masson :

La thèse mythiste

Du moyen âge jusqu’avant le 18°, rien en ce sens. Cette thèse commence à naître à partir du 18° : Le Christ devient une construction littéraire, une invention.

Dire qu’IL est un mythe ne suffit pas, il faut en plus remettre en cause son existence en adoptant la méthode hypercritique.

La méthode hypercritique

Cela consiste à critiquer tout, systématiquement, de sorte qu’il ne reste plus rien à la fin, on supprime le maximum de données fondamentales.

S’appuie sur l’absence de sources contemporaines du Christ

S’appuie sur les faiblesses et les contradictions entre les évangiles, entre les témoignages.

Les sources externes au Christianisme

La thèse du complot généralisé : l’Église aurait falsifié tous les documents de tous les historiens.

Guiharan

Oui, et il faut y voir la les résultats délirants de l’usage de la thèse mythiste et de l’hyper criticisme, ainsi qu’à mon avis d’un déni du réel, lequel n’est jamais bon signe…
Quand à Jésus, le philosophe Alexis Masson, avance que :
la tradition juive reconnait son existence et sa crucifixion : « La tradition rapporte que la veille de Pâque, on a pendu Jésus (…) parce qu’il a pratiqué la magie et égaré Israël » (Sanhedrin 43a). De son vivant, Jésus était inconnu hors d’Israël, ce qui explique l’absence d’intérêt suscité chez les historiens contemporains.
« L’hypercritique est à la critique ce que la finasserie est à la finesse. Certaines gens flairent des rébus partout, même là où il n’y en a pas. Ils subtilisent sur des textes clairs au point de les rendre douteux, sous prétexte de les purger d’altérations imaginaires. Ils distinguent des traces de truquage dans des documents authentiques. État d’esprit singulier ! A force de se méfier de l’instinct de crédulité, on se prend à tout soupçonner. »
(Charles-Victor Langlois, Charles Seignobos, Introduction aux études historiques, Paris, 1898

Apologétique & catéchèse.

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Avant l’arrivée de Jésus sur terre, c’était le chaos dans les croyances, dans les institutions et les constitutions, dans la vie morale de tous les peuples. C’était le noir chaos dans l’existence, la vie des familles et dans les diverses relations des hommes. C’était la nuit profonde dans l’intelligence de l’homme, en tout ce qu’il devait savoir : son origine, ses voies, son avenir.

Mais à la venue du Christ Jésus, tout change de face. Lumière éternelle, Il descend du Ciel et vient à nous, pour nous sortir des ténèbres, des ombres de la mort où nous étions ensevelis, pour inonder nos âmes de ses bienfaisantes clartés et diriger nos pas vers le bonheur infini. Par Lui-même d’abord, par ses Apôtres et par son Église ensuite, il dissipe les erreurs et les mensonges du paganisme, fait connaître la vraie doctrine, la vraie morale et le vrai culte, enseigne à tous les hommes leur origine, leurs devoirs et leur fin. Et vidimus gloriam ejus, gliriam quasi unigeniti a Patre, plenum gratiae et veritatis. (St J. 1.14) Il apprend aux familles leurs règles, aux nationalités leurs lois. Soleil divin, Il éclaire comme un Nouveau-Monde où tous les habitants sont appelés à vivre ses bienfaits.

Le Christ ne s’est pas contenté de nous ouvrir la voie de notre régénération surnaturelle dans sa Passion et sa mort, Il a voulu devenir encore notre conducteur et notre guide, la vraie lumière qui illumine tout homme venant au monde. C’est ainsi qu’Il parlait de Lui-même : La « lumière » est encore avec vous pour un peu de temps. Suivez la lumière pendant que vous l’avez, pour ne point retomber dans les ténèbres. Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, pour être des enfants de lumière.

Les arguments développés par ceux qui nient l’existence de Jésus, selon le philosophe Alexis Masson :

- La thèse mythiste :
Du moyen âge jusqu’avant le 18°, rien en ce sens. Cette thèse commence à naître à partir du 18° : Le Christ devient une construction littéraire, une invention.

Dire qu’IL est un mythe ne suffit pas, il faut en plus remettre en cause son existence en adoptant la méthode hypercritique.

- La méthode hypercritique :
Cela consiste à critiquer tout, systématiquement, de sorte qu’il ne reste plus rien à la fin, on supprime le maximum de données fondamentales.
s’appuie sur l’absence de sources contemporaines du Christ
s’appuie sur les faiblesses et les contradictions entre les évangiles, entre les témoignages

- Les sources externes au Christianisme :
La thèse du complot généralisé : l’Eglise aurait falsifié tous les documents de tous les historiens.