Monseigneur Schneider : François ne fait pas seulement la promotion, mais récompense les traîtres du Christ

Il décrit la franc-maçonnerie comme une "Anti-Église" et l'"ennemie de l'Église du Christ", expliquant qu'ils ne sont pas contre la religion en général, mais contre le caractère unique et exclusif de Jésus Christ, son Église et la Révélation divine.
Selon Schneider, les modernistes du XXe siècle ont suivi une pensée similaire à celle des francs-maçons, sans nécessairement en être membres.
Il a observé que la pénétration de l'Église par le modernisme a atteint son apogée au Concile Vatican II (1962-1965) et que cette assemblée a été utilisée pour promouvoir la pensée naturaliste, anthropocentrique et relativiste des maçons. Après le Concile, les modernistes et même les vrais francs-maçons se sont emparés des hautes positions de l'Eglise.
Avec François, les "vrais hérétiques" et les "négationnistes de la vérité catholique" sont "non seulement promus aux hautes fonctions ecclésiastiques", mais ils reçoivent même "une récompense pour leur trahison du Christ", remarque Schneider.
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