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Climat. Le réchauffement climatique est un mythe !

Ci après une tribune libre issue d’une étude du professeur Marcel Leroux, Décédé en 2008, grand climatologue au CNRS et professeur à Lyon III à …
Catholique et Français
"...nous vivons actuellement un doux optimum, comparable à ceux de l’Empire Romain ou du beau Moyen Âge..." (sic !) : on peut toujours rêver que le Triomphe du Coeur Immaculé de Marie nous prépare, après avoir éliminé pour toujours les frigorifiantes folies vaticanesques, les glaçantes élucubrations écolos et le glacial joug maçonnico-mondialiste, le retour d'un "doux optimum du beau Moyen-…More
"...nous vivons actuellement un doux optimum, comparable à ceux de l’Empire Romain ou du beau Moyen Âge..." (sic !) : on peut toujours rêver que le Triomphe du Coeur Immaculé de Marie nous prépare, après avoir éliminé pour toujours les frigorifiantes folies vaticanesques, les glaçantes élucubrations écolos et le glacial joug maçonnico-mondialiste, le retour d'un "doux optimum du beau Moyen-Âge" "qui a vu s'élever les Cathédrales" Le nouveau printemps du monde serait à advenir ? >>> "Limoges, 30 juin 1282, sous le règne de Philippe III, fils de Saint-Louis : les raisins sont mûrs ! Mi-mars 1283, à Colmar : le blé est en fleur ! C’était la fin de l’optimum médiéval, la période de réchauffement qui a vu s’élever les Cathédrales. Le vin anglais s’exporte en France, car «il n’est pas inférieur au vin français en douceur», note, en 1120, le moine historien Guillaume de Malmesbury. On fait du vin dans le sud de la Norvège et on cultive des céréales jusqu’à Trondheim, à 500 kilomètres... au nord d’Oslo. Les Vikings exploitent des fermes au Groenland ( = "Pays Vert") et, en Chine, où s’épanouit la civilisation Song (la plus sophistiquée de la planète), les citronniers remontent jusqu’au nord du fleuve Jaune. Mais voilà : tout optimum a une fin. […]
L’un des problèmes de notre temps est ce que l’historien François Hartog appelle le "présentisme". C’est vrai dans tous les domaines, mais particulièrement manifeste à propos du climat. Nous avons le nez sur le guidon du présent, sans chercher à le rapporter aux événements passés, qui devraient pourtant l’éclairer. La terrible sécheresse de l’été dernier ? Elle était moins sévère que celle de 1947. Les récentes vagues de chaleur ? Aux États-Unis, les records des années 1930, lors du Dust Bowl évoqué par Steinbeck dans les "Raisins de la Colère", n’ont toujours pas été effacés. En France, certains records de la période chaude que notre planète a connue à cette époque tiennent toujours : 41 °C à Chaumont et Vesoul en 1921, près de 45 °C à Bourg-en-Bresse ! Reprenant les annonces de climatologues militants au moindre événement marquant, les médias nous abreuvent de “sans précédent”, un cliché asséné sans aucun examen.
[…] Le “grand optimum” de notre holocène triomphant, qui a présidé à l’invention de l’agriculture au Proche-Orient et en Chine, a connu des périodes pendant lesquelles il faisait manifestement plus chaud que de nos jours, entrecoupés d’épisodes comparables au Petit Âge Glaciaire. De longues sécheresses dévastatrices ont précipité la chute de civilisations entières, depuis Sumer jusqu’aux Mayas, en passant par l’ancien royaume égyptien, les cités de l’Indus, Mycènes, Cnossos et les Hittites. L’avènement d’une période froide et pluvieuse a clairement contribué à la chute de l’Empire Romain. Le Petit Âge Glaciaire a favorisé la peste noire de 1349, qui a tué en Europe une personne sur trois. Après avoir emporté les temples d’Angkor, il a dévasté l’empire des Ming, permettant aux Mandchous d’imposer leur joug sur la Chine. Ce moment, le milieu du XVIIe siècle, «a vu plus de cas d’effondrement d’États autour du monde qu’aucun âge précédent ou subséquent», écrit l’historien Geoffrey Parker. C’est toute notre histoire qui en réalité peut et doit être revisitée et repensée à la lumière de ce que nous apprenons sur les changements climatiques du passé et leur impact sur l’aventure humaine. Un constat s’impose, une leçon s’en dégage. Le constat : nonobstant les cris d’orfraie qui nous assaillent au quotidien, nous vivons actuellement un doux optimum, comparable à ceux de l’Empire Romain ou du beau Moyen Âge. La leçon : notre espèce a fait montre d’une belle faculté d’adaptation, dont on ne voit pas pourquoi, nouvelles technologies aidant, elle ne serait pas à même de faire à nouveau preuve si le réchauffement actuel venait à s’accentuer. […]"
Marie Ha shares this
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