MOIS de SAINTE ANNE (JUILLET)

Le CHAPELET QUOTIDIEN RÉCITÉ avec vous ! Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir

* NEUVAINE aux SACRÉS-CŒURS pour les Premiers Vendredi et Samedi du mois *

TRENTE-ET-UNIÈME JOUR
PRATIQUES. — Consécration pleine et entière de sa personne à sainte Anne : www.montfortajpm.sitew.fr/…/dvitq-A_Sainte_…
LECTURE. — « L'Ordre de la Visitation, à l'exemple de ses Fondateurs, s'est aussi placé sous le patronage de sainte Anne, et sa dévotion envers elle ne s'est jamais attiédie. Un de ses membres les plus illustres, la Bienheureuse Marguerite-Marie, que Pie IX vient de placer sur les autels, et dont le nom est si justement cher à toutes les âmes vouées au culte du Sacré-Cœur de Jésus, aimait avec tendresse, et invoquait avec une grande confiance cette mère si riche en bonté. Pendant qu'elle était maîtresse des novices, voulant inspirer à ses filles la dévotion au Cœur de son bon Maître, elle fit une ébauche assez grossière représentant ce Cœur adorable : elle écrivit autour les noms de Marie, de Joseph, d'Anne et de Joachim, ses patrons de prédilection. Cette image précieuse, malgré l'imperfection du dessin, car elle est le premier monument du culte extérieur rendu au Cœur Sacré, a été reproduite par la photographie. Cette digne fille de saint François de Sales avait aussi recueilli et écrit de sa main, dans un de ses livres de prières, sous forme de salutations, les titres les plus doux et les plus honorables de la très-sainte Vierge. Elle la récitait souvent, elle la conseillait, comme un des moyens les plus puissants de conversion et de persévérance, comme une source d'ineffables bénédictions durant la vie et à l'heure de la mort. Cette salutation renfermait les deux aspirations suivantes : Béni soit votre père Joachim ! Bénie soit Anne, votre mère ! » (p.218)
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PRIÈRES. — Salutations de la Bienheureuse Marguerite-Marie :
(chantées ici : www.youtube.com/watch )
« Je vous salue, Marie, Fille de Dieu le Père.
Je vous salue, Marie, Mère de Dieu le Fils.
Je vous salue, Marie, Épouse du Saint-Esprit.
Je vous salue, Marie, Temple de toute la Divinité.
Je vous salue, Marie, Lys blanc de la resplendissante et toujours immuable Trinité.
Je vous salue, Marie, Rose d’un éclat merveilleux, qui répandez un parfum tout céleste.
Je vous salue, Marie, Vierge des vierges, Vierge fidèle de laquelle le Roi des cieux a voulu naître et du lait de laquelle il a daigné se nourrir.
Je vous salue, Marie, Reine des martyrs, dont un glaive de douleur a transpercé l’âme.
Je vous salue, Marie, Souveraine de l’univers à qui toute puissance a été donné au Ciel et sur la terre.
Je vous salue, Marie, Reine de mon cœur, ma Mère, ma vie, ma consolation et mon espérance la plus douce.
Je vous salue, Marie, Mère toute aimable.
Je vous salue, Marie, Mère admirable.
Je vous salue, Marie, Mère de Miséricorde.
Vous êtes pleine de grâces, le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et béni est le fruit de vos entrailles, Jésus !
Et béni soit votre époux saint Joseph !
Et béni soit votre père saint Joachim !
Et béni soit votre mère sainte Anne !
Et béni soit votre fils adoptif saint Jean !
Et béni soit votre saint Ange Gabriel !
Et béni soit le Père Éternel qui vous a choisie !
Et béni soit le Fils qui vous a aimée !
Et béni soit le Saint-Esprit qui vous a épousée !
Et bénis soient à jamais tous ceux qui vous aiment et qui vous bénissent !
Que la Vierge Marie et son pieux Enfant nous bénissent. Amen ! »

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
En PDF : www.montfortajpm.sitew.fr/…/d7py3-Sainte_An…

* * *
Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

Album : "Le CHAPELET quotidien récité avec vous !"

TRENTIÈME JOUR
PRATIQUES. — Recourir à la médiation de Sainte Anne dans tous les besoins de notre âme.
LECTURE. — Sainte Anne a trouvé des enfants dévoués et de zélés serviteurs dans toutes les classes de la société catholique (chapitre XVI, de la page 209 à la page 211, vers la fin). — Sainte Anne, Providence des enfants (page 245).
PRIÈRES. — « Anne, issue de la tige de David et de Jessé, donna le rameau divin sur lequel s'épanouit la Fleur mystique, le Christ créateur de toutes choses.
Anne, dans votre sein a été tissue la pourpre dont le Souverain Maître s'est revêtu avant de se montrer à nous et de terrasser nos ennemis. »
(Saint André de Crète)
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« Une vigne féconde est sortie de la Bienheureuse Anne ; dans son chaste sein a fleuri une grappe suave qui répand sur les habitants de la terre le vin délicieux de la vie éternelle. »
(Saint Jean Damascène)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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* NEUVAINE aux SACRÉS-CŒURS pour les Premiers Vendredi et Samedi du mois *

VINGT-NEUVIÈME JOUR
PRATIQUES. — Prier sainte Anne de nous admettre dans sa très-sainte famille ; lui demander la grâce de ne jamais déshonorer son auguste patronage par une conduite indigne d'elle.
LECTURE. — Hommages de la Sicile à Sainte Anne (suite du chapitre XIV, page 179). — Sainte Anne, protection des ouvriers (page 247).
PRIÈRES. — « Seigneur, vous avez exaucé la prière des justes ; vous avez écouté favorablement les supplications de vos aïeux, et vous leur avez donné celle qui vous a enfanté.
Ô très-pieuse Anne ! le Seigneur écoute votre voix quand vous le priez au fond de votre jardin. Il donne pour fruit à vos chastes entrailles Celle qui nous a ouvert le jardin de la grâce. »
(Saint André de Crète)
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Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

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VINGT-HUITIÈME JOUR
PRATIQUES. — Résolution énergique de combattre son défaut dominant, afin de ne pas mettre obstacle, par notre indignité, aux bontés de sainte Anne.
LECTURE. — Hommages de l’Italie à Sainte Anne. — Rome. — Léon III. (chapitre XIV, de la page 165 à la fin de la page 167). — Sainte Anne, remède des incurables (page 237).
PRIÈRES. — « Anne, Joachim, vous êtes heureux et trois fois heureux ; mais mille fois plus heureuse est la Fille de David, votre Fille ; vous êtes la Terre, elle est le Ciel ; vous êtes de la Terre, mais par elle vous devenez célestes. Le Roi de gloire, que ne put contempler Moïse, s’est épris de la beauté de votre Fille. »
(Jean d’Eubée)
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Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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VINGT-SEPTIÈME JOUR
PRATIQUES. — Favoriser, suivant ses moyens, les vocations à la vie religieuse et apostolique.
LECTURE. — Hommages rendus à Sainte Anne : La Bohême. — L'Autriche. — Flandres, — Cologne. — Düren (suite du chapitre XIII, de la page 158 à la fin). — Sainte Anne, liberté des captifs (page 296).
PRIÈRES. — « Dieu tout-puissant et éternel, qui avez daigné choisir sainte Anne pour donner le jour à la Mère de votre Fils unique, accordez-nous dans votre bonté, qu'honorant sa mémoire avec une fidèle dévotion, nous obtenions par ses mérites les suffrages de la vie éternelle, ô vous qui vivez et régnez dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il. »
(Oraison finale des Litanies de Sainte Anne)
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Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

VINGT-SIXIÈME JOUR
PRATIQUES. — Prier pour les agonisants, principalement pour ceux qui sont exposés à mourir sans sacrements.
LECTURE. — Hommages rendus à Sainte Anne : Nord de l'Europe — Charlemagne — L'Isle-Barbe — Florac — Les provinces rhénanes — L'Angleterre — Urbain VI (chapitre XIII, de la page 153 à la page 158). — Sainte Anne, refuge des mères inquiètes sur le salut de leurs enfants (page 294).
PRIÈRES. — Acte de Consécration :
« Bienheureuse Anne, vous qui avez donné le jour à la Mère de Dieu, illustre aïeule de notre Sauveur Jésus-Christ, moi, N... je vous choisis en ce jour pour ma patronne et ma Mère, je m'offre et me consacre entièrement à vous, je recommande à votre maternelle sollicitude et à votre sainte garde mon corps et mon âme, les nécessités et les vicissitudes de mon existence, ma vie et ma mort. Je me propose et je prends l'engagement de vous servir, de vous honorer par amour pour Marie, votre Fille très-sainte, de défendre et de propager, selon mon pouvoir, votre glorieux patronage. De votre côté, ô ma très-douce Mère ! ô ma patronne ! daignez me recevoir au nombre de vos serviteurs et de vos fils adoptifs ; daignez m'attacher à vous par les liens de la plus tendre dévotion. Obtenez-moi d'imiter si parfaitement les vertus qui vous ont rendue agréable à Dieu, que je mérite les faveurs de votre Jésus et de Marie, votre Fille. Obtenez-moi une heureuse mort, et qu'à ma dernière heure mon âme reçoive vos consolations. Aidez-moi durant ma vie à mériter, par les souffrances, les mérites et les miséricordes de Notre-Seigneur Jésus-Christ, une rémission si parfaite de mes péchés, que mon âme, en sortant de son corps, puisse aller aussitôt vous rejoindre dans le repos éternel. »
(Jean Thomas de Saint-Cyrille)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

VINGT-CINQUIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter la patience de sainte Anne, comprimer les saillies de l'humeur, se corriger des inégalités de caractère, par la possession de son âme en Dieu.
www.youtube.com/watch
LECTURE. — Canada, Sainte-Anne-du-Petit-Cap (fin du chapitre XII, page 145).— Sainte Anne, mère compatissante des estropiés (page 292).
PRIÈRES. — « Bienheureuse Anne, vous avez conçu le suave parfum qui, d'une manière merveilleuse, a attiré le Seigneur, baume de notre vie, et dont les célestes émanations remplissent nos âmes du souffle de la grâce. »
(Saint André de Crète)
Je vous salue, Bienheureuse Anne, le Seigneur est avec vous : vous êtes bénie entre les femmes, et Marie, le fruit de vos entrailles, est bénie.
Sainte Anne, Mère très-digne de la Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. Ainsi soit-il.

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

VINGT-QUATRIÈME JOUR
PRATIQUES. — Instruire les ignorants ; faire le catéchisme aux pauvres.
LECTURE. — Sainte-Anne-d'Auray (suite du chapitre XII, pages 139 à 145). — Sainte Anne, chemin des voyageurs (page 289).
PRIÈRES. — R./ Sainte Anne, ô bonne Mère !
À toi nos pieux chants :
Entends notre prière
Et bénis tes enfants !

1- Ce lieu où ta présence
Tourne nos cœurs vers Dieu,
Nous comble d’espérance
En nous montrant les Cieux.

2- Choisie par Dieu le Père,
Pour nous donner Marie,
Que ton exemple éclaire
Les cœurs qui te supplient.

3- Fidèle à sa promesse,
Ton Dieu, ton Créateur,
Dans toute sa sagesse
A regardé ton cœur.

4- Ta foi, ô bonne Mère,
Illuminait ta vie
Et préparait la terre
À l’accueil du Messie.

5- Tu vins dans ce village
Au temps choisi par Dieu :
Tu donnes témoignage
De tout l’amour des Cieux.

6- Du Ciel vient ton message
Au champ du Bocenno,
Afin que tous les âges
Te chantent en ce hameau.

7- Auprès de la fontaine,
Au milieu de la nuit,
Tu vins comme une reine
À la source de vie.

8- Fidèle à ta prière,
Reconnaissant ta voix
Un fils de cette terre
Montra toute sa foi.

9- Le cœur plein d’espérance
En voyant le flambeau,
Il vécut la présence
De l’amour du Très-Haut.

10- « Suivez donc cette flamme,
C’est moi qui vous en prie :
Je suis Madam[e] Sainte Anne,
La Mère de Marie !

11- « Dieu veut qu’en ce village,
On vienne pour prier
Et dire témoignage
Du Christ ressuscité. »

12- Sainte Anne, ô notre Mère,
Entends nos voix, nos chants :
Conduis-les jusqu’au Père,
Exauce tes enfants !

13- Avec toute confiance,
Nous nous tournons vers toi :
Soutiens notre espérance,
Conforte notre foi !

14- Avec délicatesse,
Veille sur nos foyers :
Que toujours y progressent
L’amour et l’unité !

15- Fais vivre nos familles
Dans la fidélité :
Ta tendresse infinie
Saura bien les guider.

16- De toute erreur protège
Le cœur des baptisés :
Écarte d’eux les pièges
Qui les font prisonniers.

17- Conduis dans l’assurance
Celui que Dieu choisit,
Maintiens dans l’espérance
Les hommes au cœur meurtri.

18- Accorde ta tendresse
Au pauvre et au pécheur :
Qu’à travers eux paraisse
L’amour du Rédempteur !

19- Des sœurs et frères doutent
Ou marchent dans le noir :
Pour eux, ouvre une route
De lumière et d’espoir.

20- Conduis dans ta lumière
Et dans la vérité,
Celui qui, comme Pierre,
Nous guide avec clarté.

21- Maintiens solide et forte
La foi des baptisés :
Fais que toujours ils portent
Amour et vérité !
Chanté : "SAINTE ANNE, Ô BONNE MÈRE !" (histoire de Sainte Anne d'Auray)
& PAROLES en PDF des 3 cantiques

+ Toutes les autres VERSIONS chantées & instrumentales : montfortajpm.blogspot.com/…/sainte-Anne-o-b…

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
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vos glorieux enfants.
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NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

VINGT-TROISIÈME JOUR

PRATIQUES. — Imiter sainte Anne dans sa fidélité à la grâce : docilité aux bonnes inspirations, se tenir en garde contre les illusions.
www.youtube.com/watch
LECTURE. — Rouen. — Sainte-Anne-de-la-Prairie (suite du chapitre XII, pages 135 à 139). — Sainte Anne, trésor des familles en détresse (page 289).
PRIÈRES. — « Ô Bienheureuse Anne, je vous félicite d’avoir mérité la Mère de Dieu.
Vous êtes vraiment heureuse d’être l’aïeule d’un Dieu. »

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

VINGT-DEUXIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter la mortification de sainte Anne ; s'imposer quelques privations, un jeûne ; s'interdire quelque récréation ou passe-temps même légitime, dans le but de mériter ses bonnes grâces.
LECTURE. — Marseille, Lyon, Clermont et Dijon rendant leurs hommages à la bonne sainte Anne. (suite du chapitre XII, pages 129 à 135). — Sainte Anne, secours des pestiférés (page 283).
PRIÈRES. — « Ô Bienheureuse Anne, vous êtes digne de toute vénération !
Heureuses les entrailles qui ont porté la Reine du ciel !
Heureuses les mamelles qui ont allaité la Mère de Dieu ! »

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
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NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

VINGT-ET-UNIÈME JOUR
PRATIQUES. — Venir en aide aux pauvres honteux, aux infirmes les plus délaissés.
LECTURE. — Hommages de la Provence à Sainte Anne (suite du chapitre XII, pages 123 à 129). — Sainte Anne, port des naufragés (page 278).
PRIÈRES. — « Ô très-douce Mère, ne dédaignez pas la prière des pauvres, mais dans votre maternelle charité protégez ceux qui se réfugient vers vous. »

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
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Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

VINGTIÈME JOUR
PRATIQUES. — Visiter les affligés, les prisonniers ; prier sainte Anne de leur donner la résignation et la grâce de profiter de leurs peines.
LECTURE. — Hommages rendus à Sainte Anne par l'Occident. — France. — Apt. — Bréviaire aptésien. — L'empereur Charlemagne. (chapitre XII, pages 117 à 123). — Sainte Anne, force des paralytiques (page 274).
PRIÈRES. — « Je vous salue, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous : que votre grâce soit avec moi ; vous êtes bénie entre les femmes, et bénie soit sainte Anne, votre Mère, de laquelle vous êtes née Immaculée. »
(Sainte Gertrude)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
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NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

DIX-NEUVIÈME JOUR
PRATIQUES. — Respecter les vieillards en souvenir de sainte Anne et de saint Joachim : les visiter, les soigner avec une filiale affection, les consoler.
LECTURE. — Hommages que lui a rendus l'Orient. — Le Père d'Argentan. — Mgr Mislin. — Le Père Joseph Besson. — Typique de saint Sabas. — L'empereur Justinien. — Annales grecques (suite du chapitre XI, page 111). — Sainte Anne, secourable aux sourds-muets (page 271).
PRIÈRES. — « Ô Joachim embelli du souffle divin ! Anne resplendissante de la divinité ! vous êtes les deux lustres d'où est sortie la lampe inaltérable autour de laquelle on ne saurait apercevoir l'ombre la plus légère. La grâce même de Dieu, c'est-à-dire de sa Mère, vous a surabondamment enrichis. À ses prières joignez vos prières, afin que le Seigneur accorde à nos âmes la jouissance de ses miséricordes infinies. »
(Saint Sabas)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

DIX-HUITIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter la charité de sainte Anne : faire quelques aumônes en son honneur.
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LECTURE. — La Dévotion à sainte Anne est une dévotion vraiment catholique dans la force du mot (chapitre XI, pages 107 à 111). — Sainte Anne, soutien des boiteux (page 269).
PRIÈRES. — « Anne, mère glorieuse, dont la Fille nous a donné le Rédempteur, ô vous qui, couronnée de gloire, régnez maintenant avec les Anges, souvenez-vous de nous. Faites, ô Anne très-Sainte, que nous puissions nous réunir à jamais à votre céleste famille.
Un don du ciel a rempli sainte Anne :
D’elle nous est née la miséricordieuse Marie. »
(Hymne de sexte du petit office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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NEUVAINE à Sainte ANNE (18-26 juillet)

DIX-SEPTIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter sainte Anne dans son espérance à toute épreuve : ne jamais perdre confiance, même dans les situations désespérées.
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LECTURE. — Notre Avocate – Jean Thomas de Saint-Cyrille (suite du chapitre X, page 104). — Sainte Anne, lumière des aveugles (page 266).
PRIÈRES. — « Anne, ô très-sainte Mère ! soyez glorieuse d’un nom si doux et si grand, nom que j’aime d’amour, nom que j’aime à prononcer cent fois le jour avec ceux de Jésus et de Marie ! Anne, ô les délices de mon âme ! que vous êtes belle et aimable en vos suavités, vous, dont le chaste sein nous a donné la petite Vierge Marie, le paradis de toutes délices ! La Vierge appelée par les désirs du monde entier a été nourrie et réchauffée dans votre sein très-pur, elle a sucé vos mamelles et elle a reçu de vous tous les autres soins que les mères prodiguent à leurs enfants. Vous êtes ma consolation dans mon exil, le charme de mes douleurs. Après Jésus et Marie, soyez toujours sur mes lèvres et dans mon cœur. Je me consacre à vous, mère pleine de tendresse, patronne indulgente. Obtenez-moi les bénédictions de votre Fille et les miséricordes de votre Petit-Fils, Jésus. Amen. »
(Jean Thomas de Saint-Cyrille)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)