La conciliaire antéchristique s'auto-écrabouille et c'est tant mieux !

Samedi, 11 novembre 2017 :
Quand les messes perdent tout leur sens et n'ont plus guère de rapport avec la foi catholique, il faut bien leur inventer de nouvelles raisons d’être qui puissent faire illusion...

Une messe “pôle emploi” dans une paroisse d’Alsace.

Samedi, 11 novembre 2017 :
Quand on consulte les sites internet des diocèses et des paroisses, on constate que sur la majorité d’entre eux il n’est plus question que de projets à finaliser, de réunions à organiser, de rencontres (festives !) à prévoir... Autant de signes qui tendent à prouver que la foi vraie, simple, vécue, est moribonde : elle a été remplacée par des occupations au sein de structures autoréférentielles, vides, et davantage encombrantes qu’utiles. Des structures qui dépérissent les unes après les autres : à peine l'une est-elle morte qu'on se réunit pour en inventer une nouvelle qui, comme la précédente, ne servira à rien.
À rien ? Si : à occuper quelques “bonnes volontés” et à donner bonne conscience à des prêtres et à des évêques dont on se demande si, dans ce fatras de structures à gérer et de réunions à présider, ils ont encore le temps de dire leur bréviaire, de prier, de se recueillir, de faire adoration devant le Saint-Sacrement.

Que faire dans de telles conditions ? Il n'y a guère qu’une voie à suivre : c’est celle qui doit nous placer dans une forme de radicalité nécessitant de “récupérer” les quelques prêtres et évêques encore dignes de ce nom, afin de pouvoir repartir complètement à zéro avec eux.

Les évêques n’arriveront à rien tant qu’ils ne se décideront pas à rompre avec ces structures diocésaines vides et aussi avec certains clercs qui, lorsqu’on les entend et qu’on les voit, donnent parfois l’impression que l’Église aurait tout à gagner s’ils étaient réduits à l’état laïc.

Tant que l’on ne fera pas table rase de tout ce qui entrave l’accès à la vraie foi, nous nous condamnons à suivre ces structures stériles dans leur disparition programmée.

Dans “Le Pari bénédictin”, Rod Dreher fait preuve de grande lucidité : il décrit la situation actuelle et ouvre des perspectives très intéressantes pour l’avenir du christianisme dans nos pays occidentaux. Il explique, par exemple, qu’il est vain de s’acharner à sauver les vestiges de l’Église d’autrefois qui, de toutes façons, finiront par disparaître. Ce qu’il faut, écrit-il, c’est “s’engager dans des voies résolument nouvelles en prenant comme guide et repère l’authentique Tradition de l’Église”, telle qu’elle nous est livrée, entre autres, par la liturgie reçue dans la fidélité et le respect et célébrée dans le silence et la dignité.

Samedi, 11 novembre 2017 :
Au cours de leur assemblée à Lourdes, les évêques ont abordé la question des séminaires et ont envisagé la fermeture des maisons accueillant moins de 17 candidats au sacerdoce.
Il faudrait donc fermer plus de la moitié des séminaires encore existants.

Les évêques ont soigneusement omis de se demander pourquoi les séminaires sont vides : l’image que donnent d’eux certains prêtres est-elle convaincante ? Les messes telles qu’elles sont actuellement célébrées dans la majorité des paroisses donnent-elles envie de s’engager au service de l’Église ? L’obligation de devoir obéir aux équipes paroissiales d’animation pastorale et de devoir s’épuiser dans des réunions stériles permet-elle d’envisager un sacerdoce épanouissant et fructueux ?

En résumé : les évêques ne sont-ils pas enfermés dans le monde qu’ils se sont fabriqué et à partir duquel ils ne perçoivent plus les attentes des fidèles ?

Source : www.proliturgia.org

* * * * * * * * * * * * *
Album ACTU
AveMaria44
Le cardinal Marty, chanteur de l'International, disait déjà dans les années soixante : '"J'embôche", avec son accent de l'Aveyron........
Ne nous laissez pas sucomber
Laisse toi embaucher pare le seigneur ,Comme quoi ,réponse ,hier
Ne nous laissez pas sucomber
Comme quoi faucheur de traditionnel?
GChevalier shares this
3
ACTU.
ActualitéMore
ACTU.

Actualité