News au 1er août 2019

fr.news  31 juillet 2019

La conciliaire est folle : Le cardinal Cupich célèbre devant un crucifix gay

Le cardinal Blase Cupich, aux USA, a publié sur Twitter l'image d'un crucifix à thème gay.

La photo a été prise le 28 juillet lors de la célébration du 100e anniversaire de la paroisse St. Martha à Morton Grove.

On y voit Cupich présidant une Eucharistie du nouveau rite, entouré de quatre concélébrants. Derrière Cupich sur le mur se trouve le crucifix.

Il a la forme du crucifix de saint François d'Assise et a été réalisé par le frère franciscain Robert Lentz, autoproclamé homosexuel.

Lenz a peint sur le crucifix un homme nu et musclé, glissant à travers l'espace extérieur vers la vision, de sorte que seules sa tête, son torse et ses bras sont visibles. Derrière lui se trouve la Voie lactée et un démon noir aux mains tendues.

Lentz appelait son crucifix « La Danse de la Création ». Le démon qu'il interprète comme la sagesse qui « danse et chante de façon ludique à l'arrière-plan. »

[On est en plein ésotérisme païen et maçonnique.]

« Les Prêtres et les Évêques sont perçus comme des Syndicalistes ou des Politiciens, pas comme des Pasteurs. »

« Les prêtres et les évêques sont perçus comme des syndicalistes ou des politiciens, et non comme des pasteurs », a déclaré à LaFedeQuotdiana.it (le 26 juillet) le Père Nicola Bux, liturgiste italien et ami de Benoît XVI.

Bux souligne que le Christ répond sévèrement à ceux qui ont voulu lui donner le rôle de médiateur ou de juge dans un litige pécuniaire (Mt 22,18).

La politisation du clergé est aggravée par le fait que le pape François soit un adepte de la théologie de la libération, explique Bux :

« Ainsi, on pense que l'Église est plus un sujet social que le Corps mystique et spirituel, et cette confusion assimile l'Église à une ONG. »

Il explique que les politiciens sont chargés de s'occuper des besoins des gens et que l'Église ne peut le faire « qu'à titre subsidiaire et charitable » car « la priorité des prêtres et des évêques est le salut des âmes ».

[Cette vision erronée de l’Église vient de Vatican II : l'Antéchrist ne fait que l'appliquer.]

Première photo : L'Archevêque Viganò avec une barbe pour changer son apparence

Robert Moynihan (InsideTheVatican.com, 29 juillet) a rencontré Mgr Viganò, l'archevêque dénonciateur, et a publié sa photo, mais seulement de dos, dissimulant son emplacement et son apparence.

Vigano resta caché pendant près d'un an après qu'il ait personnellement témoigné et parlé à François au sujet du scandale McCarrick. François l'a totalement ignoré et a continué à promouvoir McCarrick et sa coterie.

En parlant à Moynihan, Viganò mentionna que sa prière la plus profonde était : « Viens, Seigneur Jésus. »

[Qu'il reste prudent s'il ne veut pas se faire descendre !
>>> L'AFFAIRE VIGANO en 34 articles ]

Les Jésuites veulent « apprendre » des Indiens d’Amazonie

Le Père Bruno Franguelli, jésuite d'origine brésilienne, fait la promotion de la dignité des peuples indigènes de l'Amazonie, rapporte Agencia.Ecclesia.pt le 16 août 2018.

Pour ce faire, il s’est déshabillé et a peint son corps comme un Indigène.

Il est au Pérou depuis 2013 et est actuellement vice-recteur du Sanctuaire national de San José de Anchieta.

Selon Franguelli, l'Amazonie est marquée par « l'expansion des sectes évangéliques » et une forte « superstition » de sorte que les gens s'accusent mutuellement de sorcellerie.

Néanmoins, le 9 juin, Franguelli a écrit sur Facebook à propos des Indiens d’Amazonie : « Nous avons voulu leur apprendre beaucoup, maintenant il est temps d'apprendre d'eux. »

[C'est l'évangélisation à l'envers, savoir celle-même de l'Antéchrist.]

Exclusif :
Analyse de l'importante interview de François
à la télé mexicaine

L'avocat et journaliste américain Christophe Ferrara a commenté pour Gloria.tv l'interview du pape François avec la journaliste mexicaine Valentina Alazraki en mai. Il décrit l'entrevue comme exceptionnelle parce que c'était la première fois que François était carrément interrogé par quelqu'un.

François trouve le sale travail « Fantastique ».

Mme Alazraki a demandé à François si Mgr Viganò, l'archevêque dénonciateur, l'avait informé en 2013 du scandale McCarrick. François a répondu évasivement qu'il était resté silencieux sur l'affaire jusqu'à présent, et avait plutôt demandé aux médias de faire leurs propres recherches. François qualifie cette recherche de travail « fantastique » car, comme François l'explique, au lieu de s'enquérir des faits de Viganò, les médias ont parlé d'un différend successoral privé entre les membres de la famille Viganó. Pour Ferrara, cette réponse montre que François avait demandé aux médias de jeter de la terre sur Viganò afin de nuire à sa crédibilité. Ce que Ferrare trouve encore pire, c'est que François répandit la rumeur que Viganò avait été payé pour faire ses révélations.

Quel genre de personne est-ce ?

Ferrara pose la question, quel caractère présenterait sans preuve son adversaire comme un menteur payé et serait heureux qu'il soit vilipendé. Pour Ferrare, François montre en cela la ruse d'un homme politique qui ne cherche pas la vérité, mais tente de sauver sa propre réputation et de faire taire son adversaire. Avant même l'élection du Pape, Bergoglio était connu pour protéger ses amis et détruire ses critiques.

Le catholicisme de pure forme, les actions libérales

Ferrara décrit François comme quelqu'un qui sert les besoins du moment, mais qui en même temps poursuit « sans relâche » ses propres objectifs. François admettra que l'avortement est un crime, mais ne prendra aucune mesure concrète. Son combat contre la peine de mort était différent. Il a posé des gestes concrets et a même tenté de changer le catéchisme. Il en va de même pour le célibat. Verbalement, il appelle le célibat un don, mais en même temps, il utilise le Synode amazonien pour l'abolir.

Insultes sans fin

Ferrara note que François se moque des catholiques qui prennent la foi au sérieux et formulent des Dubia et des questions. Dans l'interview de mai, François explique qu'il trouve ces demandes « amusantes » et affirme qu'il traite ses critiques avec - je cite - « une tendresse paternelle ». Mais Ferrara affirme que François diffame presque quotidiennement ses critiques comme des pharisiens, rigides, têtus, sans cœur, au visage de vinaigre et ainsi de suite.