NEUVAINE à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, l'ESPÉRANCE des DÉSESPÉRÉS (23 au 31 mai)

🙏Le CHAPELET QUOTIDIEN RÉCITÉ avec vous !🙏Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir🙏


NEUVAINE à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, l'ESPÉRANCE des DÉSESPÉRÉS
(23 au 31 mai)

PREMIER JOUR : Le pouvoir ineffable de Notre-Dame du Sacré-Cœur
Dernières mises en ligne _ Ste Giselle, Ste Rita, St Didier_ Neuvaine à Notre-Dame du Sacré-Cœur

« Souvenez-vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l'ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable ! »


Nous voici agenouillés devant vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
et vous savez le motif qui nous fait commencer aujourd'hui cette neuvaine de prières.
Nous sommes faibles, et nous venons, épuisés de fatigue,
vous montrer le lourd fardeau de nos épreuves,
la difficulté de nos entreprises, la grandeur de nos luttes.
Mais vous, vous êtes puissante, et vous pouvez nous venir en aide.
Oui, nous le dirons, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur :
grande est la puissance de Josué arrêtant le soleil,
merveilleux est le pouvoir de Moïse faisant sortir l'eau du rocher,
étonnante la vertu d'Élie se faisant obéir des éléments ;
mais plus grand encore, plus merveilleux et plus sublime
est le pouvoir que vous a accordé sur son Cœur Sacré votre Fils, Jésus !...
Plus noble que celle des prophètes,
plus durable que celle des rois,
plus sublime que celle des anges,
plus étendue que celle de tous les esprits célestes,
votre puissance se répand sur le monde tout entier ;
une seule prière tombée de vos lèvres bénies,
un seul de vos regards
acquiert sur le Cœur de votre divin Fils une influence inénarrable.
À la voix de sa Mère Immaculée,
notre Souverain Juge suspend les foudres vengeresses
toutes prêtes à punir nos crimes,
ferme l'abîme des enfers entr'ouvert sous nos pieds,
nous rouvre la porte du ciel,
fait descendre sur nous des grâces salutaires,
et nous obtient tous les moyens nécessaires
pour arriver à la patrie bienheureuse des élus.
Voilà ce qui m'engage,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
à avoir recours à vous.
La seule pensée, que vous pouvez me faire du bien,
me console et me fortifie ;
et j'ai lieu de tout espérer d'une Mère
qui est tout à la fois si puissante et si bonne.

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


DEUXIÈME JOUR : La meilleure Avocate
Dernières mises en ligne _ Sts Donatien & Rogatien, Esther & Mardochée

« Pleins de confiance en vos mérites. »

Ô Marie, pour obtenir une grâce,
nos mérites ne nous sont pas de grande utilité,
car ils sont faibles, peu nombreux, et souvent, hélas !
ensevelis dans nos fautes de chaque jour.
Il est donc nécessaire de choisir une avocate
qui puisse plaider efficacement pour nous auprès de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Cette avocate, c'est vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur !
Enfants d'Ève, malheureux exilés, nous élevons nos cris vers vous.
Nous soupirons vers vous,
gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.
Oh ! de grâce, notre Avocate,
tournez vers nous vos regards pleins de miséricorde.
À vous seule, vous avez plus de mérites que tous les Saints ensembles.
Immense est votre amour pour nous,
toute-puissante est votre prière,
sans refus est votre demande.
Courage donc, ô mon âme !...
précieuse est la grâce que tu sollicites,
plus précieuse encore la protection dont t'environne Marie.
Jette-toi dans ses bras maternels et dis-lui :
« Ô ma Mère, daignez-nous venir en aide !
Je ne vois personne plus digne que vous de parler au Cœur de Jésus ;
je ne connais pas de miséricorde au-dessus de la vôtre, après celle de Jésus,
pour prendre nos intérêts et faire triompher notre cause. »
Nous implorons donc votre généreuse assistance,
ô notre bien-aimée Souveraine !
Jetez un voile sur nos indignités,
couvrez-nous, nous vous en conjurons, du manteau de vos vertus ;
revêtez-nous de vos mérites innombrables.
Nous vous le demandons,
au nom de l'amour ardent
que vous avez toujours eu pour votre divin Fils,
au nom du dévouement sans bornes
que vous lui avez constamment témoigné,
et surtout au nom de la part abondante
que vous avez prise aux angoisses et aux cruelles amertumes de son Cœur.

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


TROISIÈME JOUR : La protection de Notre-Dame du Sacré-Cœur
Dernières mises en ligne _ Ste Madeleine-Sophie Barat

« Nous venons implorer votre protection. »

Quel royaume que notre cœur !...
la nature et la grâce l'assiègent tour à tour ;
l'esprit du bien et l'esprit du mal se le disputent à l'envi,
et c'est nous seuls qui sommes maîtres de le donner à qui il nous plaît...
Mais infiniment plus désirable est le Cœur de Jésus,
ce vaste royaume où habite l'Amour divin avec ses infinies miséricordes !
Là se trouvent la justice et la paix ;
les richesses de l'éternité y abondent ;
toutes les vertus y fleurissent ;
la terre et le ciel s'y rencontrent.
Dieu et l'homme s'y donnent le baiser de réconciliation,
et c'est Marie qui peut nous introduire dans cet asile du vrai bonheur.
Vous avez toujours libre accès auprès de lui, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur !
Vous pouvez en obtenir l'entrée à ceux que votre amour protège.
Ô Mère bien-aimée, souvenez-vous que nous sommes vos enfants ;
que nous sommes sous votre protection ;
que nous voulons demeurer avec vous dans le royaume de l'éternel amour :
et aujourd'hui voyez-nous humblement prosternés à vos pieds
pour vous demander une nouvelle preuve
de votre maternelle et auguste libéralité !
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
vous êtes riche et nous sommes pauvres :
vous avez tout et nous n'avons que le néant !
En nous voyant prosternés devant vous,
resterez-vous sourde à nos gémissements ?...
Est-ce en vain que nous serons près de vous
et que nous frapperons à la porte du Cœur de votre divin Fils ?...
N'êtes-vous pas la Mère de miséricorde ?
Ne dédaignez pas de porter secours à des enfants
qui gémissent sous le poids de tant d'épreuves,
de les délivrer de tant de maux qui les accablent,
et d'écarter d'eux les attaques de leur infernal ennemi.
Ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
que votre manteau virginal abrite toujours vos enfants !
Gardez-les, ils sont à vous sans retour.

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


QUATRIÈME JOUR : La source intarissable de tout bien
Dernières mises en ligne _ FÊTE-DIEU, St Philippe Néri

« Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré !... »


Chaque jour, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
des torrents de grâces se répandent par vos mains dans le monde entier !
Grâces de conversion, de persévérance, de martyre, d'apostolat,
de résistance à la tentation, de générosité dans le service de Dieu ;
grâces de prières, de vertus, de consolations, de secours, de repentir, de ferveur ;
grâces pour chaque instant de la vie,
pour chaque circonstance heureuse ou malheureuse, pour chaque difficulté...
et toutes ces grâces temporelles ou spirituelles
sortent à la fois du Cœur de Jésus, du Cœur de votre divin Fils.
Depuis des siècles, cette source jaillissante
n'a cessé de produire ces eaux merveilleuses
qui rafraîchissent et désaltèrent les âmes,
fortifient toute faiblesse, guérissent toute langueur,
dégoûtent des faux plaisirs d'ici-bas
et donnent la soif des vrais biens du Ciel.
Jusqu'à la fin des siècles, cette source, que rien ne peut épuiser,
et qui semble de jour en jour devenir plus abondante,
répandra partout avec profusion les richesses de la vie...
les fidèles entendront toujours Jésus leur dire en leur montrant son Cœur :
« Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive ! »
Mais où se trouve l'aqueduc admirable
qui fait communiquer les âmes altérées avec cette source de délices ?...
Quelle main a reçu la douce mission de diriger ces eaux bienfaisantes
et de veiller de préférence à ce que les terres les plus abandonnées,
les âmes les plus accablées d'épreuves,
les cœurs les plus malades les reçoivent et trouvent la paix ?...
C'est vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
vous qui pouvez ouvrir à votre gré le Cœur de Jésus,
distribuer ses grâces et combler vos enfants de ses plus précieuses faveurs.
Comme cette pensée me ranime et me réjouit !

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


CINQUIÈME JOUR : L'Amour et la Miséricorde
Dernières mises en ligne _ St Bède le Vénérable

« Pour répandre sur les hommes
tous les trésors d'amour et de miséricorde du Sacré-Cœur. »


Vous aimer, ô mon Dieu, et être aimé de vous,
voilà bien l'unique nécessaire.
Vous aimer, ô mon Dieu,
c'est vous donner avec joie, entièrement et pour toujours,
tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons :
notre corps, notre âme, notre volonté, notre avenir !
Être aimé de vous, c'est être prévenu de vos grâces,
enrichi de vos bienfaits, appelé à votre éternel héritage,
consommé dans votre union
et transformé en vous pour ne plus faire qu'un seul Cœur.
Franchissant tous les obstacles, dépassant toutes les limites,
se dérobant à toute mesure,
ces deux amours, plus forts que la mort,
ont couvert le monde des plus étonnants prodiges.
L'amour que vous nous portez
a inventé la virginité, l'apostolat, le martyre.
Tous deux sont allés déjà jusqu'aux derniers sacrifices ;
tous deux cependant poursuivent leur généreuse lutte,
faisant l'admiration des hommes et des anges.
Comme nouvelle preuve de votre infinie charité, ô Jésus,
vous nous manifestez maintenant plus que jamais, votre Cœur,
avec tous les trésors d'amour qu'il renferme,
et vous voulez nous le transmettre par les mains de votre divine Mère.
C'est donc vous ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
qui nous communiquez cet éclatant témoignage des bontés divines !
C'est entre vos mains que nous irons déposer notre cœur,
pour que vous l'offriez de notre part à votre divin Fils.
Mais, pour obtenir la grâce d'aimer Dieu,
un pécheur comme moi a surtout besoin des trésors de la divine miséricorde.
J'ai de grandes dettes à payer ; mes fautes sont nombreuses ;
je suis demi-mort sur le chemin de la vie, dépouillé de mérites, affaibli par le mal,
je suis trop souvent, hélas ! la malheureuse victime du démon.
Avant tout, ô ma Mère !
obtenez-moi la compassion du Cœur de Jésus
et versez sur les plaies de mon âme le baume qu'il vous offrira.
Hélas ! Il m'a pardonné tant de fois,
que la crainte et la honte m'empêchent de réclamer de lui un nouveau pardon.
Vous disposez de ce Cœur où se trouvent les trésors de la miséricorde ;
j'espère, par votre entremise,
obtenir pour moi et pour les pécheurs auxquels je m'intéresse,
la grâce d'une sincère et durable conversion.

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


SIXIÈME JOUR : La lumière et le salut
Dernières mises en ligne _ St Augustin de Cantorbéry, St Bernard de Menthon

« Les trésors de lumière et de salut
que renferme le Sacré-Cœur. »


Le chemin du Ciel est étroit,
couvert de ronces et d'épines,
hérissé de rochers, bordé de précipices sans fond,
infesté de voleurs qui arrêtent et dépouillent les âmes.
Il est difficile à connaître, pénible à gravir.
Malheur à celui qui s'y engage tout seul,
sans défense, au milieu des ténèbres du péché !
Malheur à celui qui, pour accomplir ce glorieux, mais rude pèlerinage,
ne se munit pas d'un bon guide, d'une lumière sûre, d'une arme puissante !
Il court sûrement à sa perte
et se trouve incapable de ravir le royaume des Cieux.
Pour éviter un pareil malheur, ô ma bien-aimée Souveraine !
je cherche et je trouve en vous tous les moyens qui me sont nécessaires :
la lumière vous environne comme d'un vêtement ;
le Cœur Sacré de Jésus est le resplendissant foyer de cette lumière,
et c'est à votre maternel pouvoir
qu'il appartient d'en faire arriver jusqu'à nous les plus doux rayons.
Éclairez-nous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur :
faites-nous connaître la voie que nous devons suivre,
les demandes que nous devons faire,
les périls que nous devons éviter ;
éclairez-nous sur nos misères, pour nous les faire déplorer,
sur les grandeurs de Dieu, pour nous les faire adorer ;
sur les bontés du Cœur de Jésus, pour nous les faire aimer ;
sur votre sollicitude si pleine de tendresse à notre égard,
pour nous exciter à une juste et continuelle confiance.
Ne vous contentez pas, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur, de nous montrer le chemin,
soyez aussi notre conductrice !
Jésus sera avec nous ;
dans son Cœur, que vous nous tiendrez toujours ouvert,
nous trouverons des armes pour combattre victorieusement
les plus mortels ennemis de notre salut.
Notre salut... ô ma Mère,
quand je pense que vous pouvez m'obtenir,
pour moi et pour tous ceux qui me sont chers,
cette grâce des grâces, j'oublie toutes les autres ;
en effet, de quoi nous serviraient la science, la santé, la réussite de nos affaires,
la fin de nos épreuves, les consolations même de la piété,
si nous ne devions un jour mourir de la mort des justes,
et si nos derniers moments ne devraient être semblable à ceux des Saints ?

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


SEPTIÈME JOUR : La demande
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« Accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons... »


Quand même je serais tout seul à vous adresser ma prière, ô Mère bien-aimée,
la vue de ma faiblesse, de mes fautes, de mes ingratitudes
ne serait pas capable de détruire la filiale confiance que j'ai en vous ;
je fermerais les yeux sur mon indignité,
et le cri de mon âme arriverait jusqu'au pied de votre trône...
Mais je suis loin de me trouver seul à vous prier.
Heureux membre de cette pieuse et chère Archiconfrérie
qui vous acclame sous le beau titre de Notre-Dame du Sacré-Cœur,
j'ai des millions de frères et de sœurs qui prient avec moi et pour moi.
Il y a, dans cette grande armée de Chrétiens consacrés à votre gloire,
de nombreux et saints Évêques qui se rangent autour du Pontife suprême ;
des troupes de Vierges, des congrégations entières de Religieux,
une multitude de Fidèles de tout âge et de tout mérite :
et cette grande famille, répandue sur la surface de la terre,
ne forme qu'un seul cœur et une seule âme ;
toutes les intentions sont réunies,
et chacun prie à l'intention de tous.
Je vous offre donc, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur !
toutes les prières de tant d'âmes ferventes,
et en considération de leurs vertus,
je vous conjure de m'accorder la faveur que je sollicite...
Si jamais vous n'aviez exaucé de pécheurs, ô ma bonne Mère,
ma témérité serait grande de me présenter le premier ;
quelque chose cependant m'engagerait à le faire sans crainte !...
Mais, il serait plus facile de compter les grains de sable du rivage
que de calculer le nombre des pécheurs favorisés de votre protection
et exaucés dans leurs demandes.
Et dans votre chère Archiconfrérie, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur !
ne voyons-nous pas avec quel empressement vous nous faites du bien ?
Que de milliers d'actions de grâces
montent chaque jour vers vous du milieu de nos frères !
Que de guérisons réputées impossibles !
Que de conversions éclatantes qui paraissaient désespérées!...
Que de preuves authentiques de ces merveilles dans votre insigne Basilique d'Issoudun !
Que d'ex-voto, que de plaques de marbre racontant vos bienfaits !
Que de lampes et de cierges allumés à votre autel en témoignage de reconnaissance !
Voulez-vous donc, ô Marie ! que je soie le seul à vous avoir invoquée en vain ?
Ne voulez-vous pas me contraindre à vous remercier,
et me faire connaître encore une fois
que vous êtes véritablement Notre-Dame du Sacré-Cœur ?

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


HUITIÈME JOUR : Point de refus
Dernières mises en ligne _ Ste Jeanne d'Arc
« Non, nous ne pouvons essuyer de refus... »

Marie est trop puissante sur le Cœur de son divin Fils,
pour ne pouvoir m'obtenir la grâce que je demande.
J'entends un de ses dévots serviteurs (saint Bernard) s'écrier :
« Pions-la donc qu'elle parle pour nous au Cœur de son Fils,
Loquatur ad Cor Domini nostri Jesu Christi. »
« Oui, certainement, ô Marie !
c’est à vous qu'il appartient de parler à ce Cœur,
à vous qui avez un fidèle correspondant, je veux dire l'amour filial,
qui s'avancera pour recevoir l'amour maternel et qui préviendra ses désirs.
Devez-vous craindre d'être refusée quand vous parlerez au Sauveur ?
Son amour intercède en notre faveur ;
la nature même le sollicite pour nous.
On se rend facilement aux prières lorsqu'on est déjà vaincu par son affection.
C'est pour cette raison que Marie parle toujours avec efficacité ;
parce qu'elle parle à un Cœur déjà tout gagné,
parce qu'elle parle à un Cœur de Fils...
Intercédez pour nous, ô bienheureuse Marie !
Vous avez entre vos mains, si j'ose le dire,
la clef des bénédictions divines.
C'est votre Fils qui est cette clef mystérieuse
par laquelle sont ouverts les coffres du Père éternel. » (Bossuet)
Non, je ne puis essuyer de refus...
Notre-Dame du Sacré-Cœur est trop bonne
pour ne pas vouloir m'accorder la grâce que j'implore,
lorsqu'elle le peut si facilement
et que mes larmes et mes prières la lui demandent si instamment.
Non, il ne sera pas dit, j'en ai la ferme confiance, ô ma douce Mère !
que j'ai frappé à la porte de votre miséricorde sans la voir s'ouvrir ;
que j'ai eu besoin de votre protection sans la recevoir ;
et que j'ai cherché votre secours sans le rencontrer.
Non, je ne puis essuyer de refus...
car l'affaire pour laquelle j'ai recours à vous est importante, difficile, désespérée,
il n'y a plus de ressource qu'en votre puissance, ô Marie, ô ma Souveraine !
Je vous en conjure par ce que vous avez de plus cher,
obtenez-moi la grâce que je sollicite du Cœur de Jésus.

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


NEUVIÈME JOUR : L'Espérance
FIN des dernières mises en ligne _ NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, Ste Pétronille
« Et puisque vous êtes notre Mère,

ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer. Ainsi soit-il ! »


Je viens à vos pieds, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur, terminer ma neuvaine de prières,
j'éprouve le besoin de vous remercier
avant même de connaître le résultat de ma demande.
Le calme que j'éprouve, l'espérance qui grandit dans mon âme,
l'amour plus ardent que mon cœur ressent pour vous,
me font croire avec raison que je n'ai pas vainement sollicité votre secours.
Vous avez voulu me donner une nouvelle preuve de votre amour ;
soyez-en mille fois bénie, ô la meilleure de toutes les mères,
ô la plus puissante de toutes les reines !
Si donc, comme je l'espère, ma prière est exaucée aujourd'hui,
rien ne sera capable d'arrêter le transport de ma reconnaissance
et le sentiment de ma vive allégresse ;
je publierai vos louanges,
je dirai hautement que le plus sûr moyen d'obtenir la grâce
est de s'adresser à Notre-Dame du Sacré-Cœur,
et qu'il faut aller en toute confiance à ce trône de l'éternelle miséricorde.
Mais si la faveur que j'implore est différée de quelque temps,
je l'attendrai avec patience, sans cesser de vous la demander ;
loin de me décourager,
je renouvellerai chaque jour avec plus d'ardeur mes supplications,
parce que j'espère toujours en votre bonté
et que vous savez mieux que moi l'heure et le moment,
où il me sera plus utile de recevoir l'objet de mes désirs.
Enfin, ce qu'à Dieu ne plaise,
si la grâce que je sollicite était changée pour moi en quelque épreuve redoutée,
ou en quelque sacrifice inattendu,
c'est alors surtout, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur !
que vous auriez à venir à mon aide,
à me renouveler dans l'esprit de foi et dans la résignation chrétienne,
et à me faire comprendre
que cette mystérieuse conduite de la divine Providence
est en vue d'un plus grand bien.
Mais, maintenant, ô ma céleste Protectrice,
j'ai agi envers vous comme un enfant vis-à-vis de sa Mère bien-aimée,
je vous ai fait connaître mes souffrances et mes craintes,
mes peines, mes tentations, ma faiblesse, mes périls ;
je me jette dans vos bras, je m'abandonne à vous,
je sais que vous ne me laisserez pas périr.
Ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de nouveau je vous conjure d'écouter ma prière
et de m'accorder toutes les grâces que j'ai sollicitées pendant cette neuvaine ;
étendez votre protection sur moi
et sur toutes les personnes que je vous ai tant de fois recommandées,
obtenez-nous du Cœur de Jésus
le bonheur de l'aimer ici-bas et de régner avec lui dans le ciel !
Ainsi soit-il !

Souvenez-Vous, ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
de l’ineffable pouvoir que votre divin Fils
vous a donné sur son Cœur adorable.
Pleins de confiance en vos mérites,
nous venons implorer votre protection.
Ô céleste Trésorière du Cœur de Jésus,
de ce Cœur qui est la source intarissable de toutes les grâces,
et que vous pouvez ouvrir à votre gré
pour répandre sur les hommes
tous les trésors d’amour et de miséricorde,
de lumière et de salut qu’il renferme,
accordez-nous, nous vous en conjurons,
les faveurs que nous sollicitons...
Non, nous ne pouvons essuyer de refus,
et puisque vous êtes notre Mère,
ô Notre-Dame du Sacré-Cœur,
accueillez favorablement nos prières
et daignez les exaucer.
Ainsi soit-il.


LITANIES de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR :
FIN des dernières mises en ligne _ NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, Ste Pétronille

Voir aussi :
MOIS de NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR

(par un missionnaire de Notre-Dame du Sacré-Cœur)
& NEUVAINE à SAINT JOSEPH, MODÈLE et PATRON des AMIS du SACRÉ-CŒUR

« L’objet de la dévotion à Notre-Dame du Sacré-Cœur
est la puissance que Marie, en qualité de Mère de Dieu,
exerce sur le Cœur de son Divin Fils.
La fin ou le but qu’on se propose
est d’exalter la gloire de notre Mère par ce nouveau titre,
qui semble à lui seul résumer tous les autres ;
c’est aussi de confier à la Vierge, puissante sur le Cœur de Jésus,
le succès des causes difficiles, extrêmes et désespérées,
tant dans l’ordre spirituel que dans l’ordre temporel.
En effet,
« Elle est l’Espérance des désespérés », assure saint Éphrem. »
(Les Petits Bollandistes, au 31 mai)
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🙏 NEUVAINE à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR, l'ESPÉRANCE des DÉSESPÉRÉS 🙏
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1er JOUR de la NEUVAINE à NOTRE-DAME du SACRÉ-CŒUR
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ARCHIVES RELIGIEUSES (vidéos & PDF)
SOMMAIRE des 2000 CANTIQUES et plus
« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »

montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-rec…
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)More
ARCHIVES RELIGIEUSES (vidéos & PDF)

SOMMAIRE des 2000 CANTIQUES et plus

« Le ROSAIRE est ADMIRABLE !
Il donne à tous du secours,
Il guérit l’âme incurable :
DISONS-LE DONC TOUS LES JOURS ! »

montfortajpm.blogspot.fr/p/le-chapelet-rec…
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
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Montfort AJPM
Album "Le CHAPELET récité avec vous !"
« L’objet de la dévotion à Notre-Dame du Sacré-Cœur
est la puissance que Marie, en qualité de Mère de Dieu,
exerce sur le Cœur de son Divin Fils.
La fin ou le but qu’on se propose
est d’exalter la gloire de notre Mère par ce nouveau titre,
qui semble à lui seul résumer tous les autres ;
c’est aussi de confier à la Vierge, puissante sur le Cœur de Jésus, …
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Album "Le CHAPELET récité avec vous !"

« L’objet de la dévotion à Notre-Dame du Sacré-Cœur
est la puissance que Marie, en qualité de Mère de Dieu,
exerce sur le Cœur de son Divin Fils.
La fin ou le but qu’on se propose
est d’exalter la gloire de notre Mère par ce nouveau titre,
qui semble à lui seul résumer tous les autres ;
c’est aussi de confier à la Vierge, puissante sur le Cœur de Jésus,
le succès des causes difficiles, extrêmes et désespérées,
tant dans l’ordre spirituel que dans l’ordre temporel.
En effet,
« Elle est l’Espérance des désespérés », assure saint Éphrem. »

montfortajpm.blogspot.ro/…/fin-des-dernier…
(Les Petits Bollandistes, au 31 mai)