@Spina Christi 2 a écrit : «Et votre commentaire sur cette étude qui montre que 63% des catholiques dits pratiquants (conciliaires) approuvent l'avortement»

Je vois d'abord qu'il ne m'a servi à rien d'essayer de vous initier à cette rigueur intellectuelle qui est pourtant exigée dans tous les Lycées de France, pour quiconque présente un travail de recherche avec des informations statistiques ou autres.

Alors, excusez-moi d'insister auprès de vous pour que vous arrêtiez de faire des affirmations gratuites, c'est-à-dire des affirmations dont vous ne donnez pas la source d'origine (Sources d'information = Quelle est donc celui ou ceux qui ont fait l'étude dont vous parlez ? En que livre, ou revue ou site informatique avez-vous lu cette information ? En quelle année cette Étude a-t-elle été faite? Etc...). La nécessité de donner vos Sources d'information sur vos assertions est en effet une exigence élémentaire pour quiconque ne désire pas être recalé en examen au Lycée.

En autant que cela puisse vous aider à vous décider de prendre le bon pli en matière argumentaire, je vous suggère de prendre connaissance du lien suivant qui indique l'importance ( le "Pourquoi", le Quand" et le Comment") de donner vos sources d'information :

http:/www.infosphere.uqam.ca/…/citer-ses-sourc…

Impossible pour moi de donner ici l'appréciation que vous demandez tant que vous ne me donnerez pas les paramètres de votre source d'information (Traditionaliste ? Intégriste ? Conciliaire ? Sédévacantiste ? Libérale ? Indépendante ?) sur l'Étude qui parle des 63% que vous citez ....etc...

Bonne Recherche, et Bonne journée à vous !

@Spina Christi 2 MON COMMENTAIRE : Pas besoin d'être le confesseur de qui que ce soit, ni d'aller à des messes traditionalistes, ni de vivre 24h/24h avec des "catholiques à tendance traditionaliste", ni de connaitre la moindre de leur manie; il m'a suffit simplement de côtoyer, au gré des mois et des années, quelques uns de ces "catholiques à tendance traditionaliste" (c'est-à-dire certains proches membres de ma famille, et puis des compagnes de voyage au cours de pèlerinages auxquels j'ai participé) (autant de personnes qui exprimaient leur critique de la communion dans la main, leur "nostalgie du bon vieux temps" où la liturgie était en latin que pas un fidèle ne comprenait, etc...) pour que je prenne conscience qu'ils étaient "à tendance traditionaliste". Et je les ai bien entendu défendre leur droit de porter leur signe astrologique au cou, et j'ai bien entendu aussi certains d'entre eux ("à tendance traditionaliste") parler de leur horoscope qu'ils lisaient dans le journal; pour ensuite laisser échapper de leur bouche quelques médisances et autres paroles qui ne me paraissaient pas compatibles avec l'enseignement du Christ.

Eh oui, Spina Christi, c'est hélas la réalité qui vous échappe encore (si je comprends bien ce que vous écrivez; au surplus, je ne sais pas dans quel monde de "prétendument parfaits" vous vivez); mais je suis content de vous faire ici prendre enfin conscience qu'on ne nait pas chrétien, mais qu'on le devient (selon la loi de gradualité) par une conversion au Christ qui demandera parfois plusieurs années, une conversion qui sera un long cheminement afin d'ajuster notre volonté à la volonté de Dieu, un cheminement qui ne se terminera donc qu'avec la mort de chacun(e).

« Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » (Marc 2, 17)

Bonne journée à vous !

Oui, c'est vraiment immonde ! Et le curé de cette pauvre dinde, il lui dit quoi, dans son église ? C'est bien, comme vous dites très justement, l'indifférentisme absolu, qui était autrefois et avant le déluge conciliaire considéré comme un vice et une tare majeurs pour un catholique et que les conciliaires, dans leur délire, ont rebaptisé "Tolérance", sans en changer ni le sens ni la signification; la "tolérance", d'ailleurs, n'a strictement rien à voir avec la définition qu'en donnent les conciliaires. Il est vrai que le terme "indifférentisme" qu'ils ont jeté aux oubliettes (qui sait encore en notre temps le sens de ce mot ?) était trop connoté et leur était un reproche vivant accablant des siècles de la droiture passée. L'exemple de cette pauvre "mère Teresa", vraie apostate et "sainte" de toutes les religions est tout à fait caractéristique de cette monstrueuse "désorientation diabolique". Comment faire des reproches aux catholiques de base quand on leur montre en exemple de tels "saints" ? Notre Dieu, Eternel, Trois fois Saint, est un Dieu jaloux, très jaloux, ne l'oublions JAMAIS !