02:49
Ericminurne
236 k
Les racistes sont-ils blancs. Qui sont les racistes ? Racisme, on ne peut pas te définir, tu n'as pas d'odeur, tu n'as pas de couleur, tu es insipide. Tu es le mal personnifiéPlus
Les racistes sont-ils blancs.

Qui sont les racistes ? Racisme, on ne peut pas te définir, tu n'as pas d'odeur, tu n'as pas de couleur, tu es insipide. Tu es le mal personnifié
Ne nous laissez pas sucomber
Pour samedi dernier ,et pour les stupides bisounnours? Jean Batiste Il vous faut arrêter de fumé la moquette .Genèse Dieu créa l'homme et la femme et non pas des hommes et des femmes .Donc une seule race humaine et sur des milliards d'années suivant les régions viens les couleurs de peaux ,nous avons tous le même sang A.B O et un signe ADN qui nous relient tous ,ne prenez pas le créateur pour …Plus
Pour samedi dernier ,et pour les stupides bisounnours? Jean Batiste Il vous faut arrêter de fumé la moquette .Genèse Dieu créa l'homme et la femme et non pas des hommes et des femmes .Donc une seule race humaine et sur des milliards d'années suivant les régions viens les couleurs de peaux ,nous avons tous le même sang A.B O et un signe ADN qui nous relient tous ,ne prenez pas le créateur pour un marchant de fruits et légumes.et n'utilisez pas ses expressions de races elle ne sont que la pour la joie du malin dans vos je ne veut que des ETC .........
Roy-XXIII
Si vous saviez (et vous le savez !) le nombre de catholiques, et pas que des moindres, qui souhaitent un bon ramadan aux musulmans ... Ça donne à réfléchir (sauf à eux...) !
Ericminurne
Roy-XXIII l==> Il ne faut pas être méchant comme ça. J'ai des arabes qui sont chrétens et les autres qui ne sont déjà plus trop musulmans, le deviendront. J'y veille. Ils savent d'ailleurs que j'ai une grande amitié pour eux et c'est réciproque du reste.... Quand je reçois des messages venant des arabes. Joyeux Noél Monsieur André ou Joyeux Noél André et que du côté des français ouallou ça …Plus
Roy-XXIII l==> Il ne faut pas être méchant comme ça. J'ai des arabes qui sont chrétens et les autres qui ne sont déjà plus trop musulmans, le deviendront. J'y veille. Ils savent d'ailleurs que j'ai une grande amitié pour eux et c'est réciproque du reste.... Quand je reçois des messages venant des arabes. Joyeux Noél Monsieur André ou Joyeux Noél André et que du côté des français ouallou ça donne à réfléchir.
Ericminurne
eanBaptiste l==> Merci à Jean Baptiste d'avoir corrigé. Ne riez pas, mais je deviens sénile tant est que mon commentaire a sauté la première fois et j'ai dû le refaire sur une page indépendante et ensuite faire un copié-collé.
Roy-XXIII
Alors convertissez vous vite vite à l'islam JeanBaptiste !
Ericminurne
Roy-XXIII hier
Cher Andrés. Tu dis ... : Sarah est une esclave qui donnera un fils Ismaël dont le peuple arabe est la descendan l==> Je vois que j'ai soulevé une levée de boucliers et ce n'est pas pour me déplaire. d'abord je crois que je me suis trompé ce n'est pas Sarah qui était sa femme légitime mais Agar une servante-esclave. Je n'ai pas le courage de vérifier. Après avoir eut un fils, …Plus
Roy-XXIII hier
Cher Andrés. Tu dis ... : Sarah est une esclave qui donnera un fils Ismaël dont le peuple arabe est la descendan l==> Je vois que j'ai soulevé une levée de boucliers et ce n'est pas pour me déplaire. d'abord je crois que je me suis trompé ce n'est pas Sarah qui était sa femme légitime mais Agar une servante-esclave. Je n'ai pas le courage de vérifier. Après avoir eut un fils, Sarah demanda à Abram( Abraham) de répudier Agar . Abraham demanda conseil et DIEU lui répondit: --Fais ce que te demande Sarah' mais Ismaël est quand même ton fils et je lui donnerai une postérité... D'où la lignée probable des arabes.... Maintenant il ne faut pas mettre arabe tout ce qui est musulman ou comme beaucoup appellent arabes les berbères.... Je ne connais pas ce Tumouch, donc je ne peux rien arranger à sa sauce. Quant à Voltaire, je ne le connais pas véritablement, mis à part que son véritable nom, je crois, est jean-François Arouet, avait une plume acerbe, même parfois un peu trop acerbe bien qu'il fut croyant. Mais il en faut des comme lui afin de permettre aux autres de se remettre en question. ... Le clergé en général a manqué et manque de cardinaux et d'évêques, mis à part un Monseigneur Lefebvre que je ne déouvrirai il n'y a qu'une dizaine d'année, le Vatican n'aurait peut-être pas périclité...
Ce serait bien si vous écriviez des articles sur mes bolgs:
islamdanger.forumgratuit.org/f1-votre-1er-forum
Ou encore celui qui est le plus visité, car maintenant je manque de courage et ce ne sont pas mes réflexions qui font défaut tellent je suis outré de voir comment les gens se sont laissés enténêbrés:
france.libre1.overblog.com
André
JeanBaptiste
Concernant Ismaël, il est vrai que les Arabes descendent de lui (contrairement à ce que soutient Roy) mais comme l'a fait remarquer l'abbé Guy Pagès ça n'a rien de très laudatif puisque la servante Agar est symbole du péché, par opposition à la femme libre qu'est Sarah ; et Agar a été répudiée, figure de la réprobation ! Sans parler de la prophétie de Dieu sur Ismaël, comme quoi il serait …Plus
Concernant Ismaël, il est vrai que les Arabes descendent de lui (contrairement à ce que soutient Roy) mais comme l'a fait remarquer l'abbé Guy Pagès ça n'a rien de très laudatif puisque la servante Agar est symbole du péché, par opposition à la femme libre qu'est Sarah ; et Agar a été répudiée, figure de la réprobation ! Sans parler de la prophétie de Dieu sur Ismaël, comme quoi il serait bon guerrier mais bête comme un âne (donc incapable de comprendre la vérité) !

Bref, pas de quoi se vanter ! 🙂
JeanBaptiste
"Stupides et aveugles sont ceux qui affirment comme des bisounours qu'il n'y a pas de race ou qu'il n'y a qu'une race, la race humaine. Il y a bien des races et toutes par ailleurs ne se valent pas...."
-> Tout dépend de ce que vous entendez par là. Si vous l'entendez au sens du racisme strict d'Hitler, cette idée a été condamnée par l'Église : car il n'est pas permis de haïr son prochain pour …Plus
"Stupides et aveugles sont ceux qui affirment comme des bisounours qu'il n'y a pas de race ou qu'il n'y a qu'une race, la race humaine. Il y a bien des races et toutes par ailleurs ne se valent pas...."

-> Tout dépend de ce que vous entendez par là. Si vous l'entendez au sens du racisme strict d'Hitler, cette idée a été condamnée par l'Église : car il n'est pas permis de haïr son prochain pour des raisons raciales, ou de parler de races supérieures comme si certaines avaient juridiction sur les autres. En revanche il est vrai qu'en termes de civilisation (et donc également de races) certains peuples sont ont été historiquement meilleurs que d'autres par leur moralité et leur religion. Mais notez qu'aujourd'hui l'Occident est miné par l'avortement et la contraception légale, alors il n'est plus forcément opportun de pérorer sur la "supériorité de la race blanche" !
Roy-XXIII
[ Voltaire – Essai sur les moeurs – chapitre I – 1756 ]
→ Des différentes races d’hommes
Ce qui est plus intéressant pour nous, c’est la différence sensible des espèces d’hommes qui peuplent les quatre parties connues de notre monde.
Il n’est permis qu’à un aveugle de douter que les blancs, les nègres, les Albinos, les Hottentots, les Lappons, les Chinois, les Américains soient des races …Plus
[ Voltaire – Essai sur les moeurs – chapitre I – 1756 ]
→ Des différentes races d’hommes
Ce qui est plus intéressant pour nous, c’est la différence sensible des espèces d’hommes qui peuplent les quatre parties connues de notre monde.
Il n’est permis qu’à un aveugle de douter que les blancs, les nègres, les Albinos, les Hottentots, les Lappons, les Chinois, les Américains soient des races entièrement différentes.
Il n’y a point de voyageur instruit qui, en passant par Leyde, n’ait vu une partie du reticulum mucosum d’un Nègre disséqué par le célèbre Ruysch. Tout le reste de cette membrane fut transporté par Pierre-le-Grand dans le cabinet des raretés, à Petersbourg. Cette membrane est noire, et c’est elle qui communique aux Nègres cette noirceur inhérente qu’ils ne perdent que dans les maladies qui peuvent déchirer ce tissu, et permettre à la graisse, échappée de ses cellules, de faire des tâches blanches sous la peau.
Leurs yeux ronds, leur nez épaté, leurs lèvres toujours grosses, leurs oreilles différemment figurées, la laine de leur tête, la mesure même de leur intelligence, mettent entre eux et les autres espèces d’hommes des différences prodigieuses.
Et ce qui démontre qu’ils ne doivent point cette différence à leur climat, c’est que des nègres et des négresses transportés dans les pays les plus froids y produisent toujours des animaux de leur espèce, et que les mulâtres ne sont qu’une race bâtarde d’un noir et d’une blanche, ou d’un blanc et d’une noire.

Les Albinos sont, à la vérité, une nation très petite et très rare ; ils habitent au milieu de l’Afrique : leur faiblesse ne leur permet guère de s’écarter des cavernes où ils demeurent ; Cependant les Nègres en attrapent quelquefois, et nous les achetons d’eux par curiosité. [Rappelons que Voltaire est le héros de « l’Humanisme des Lumières » ! ]
Prétendre que ce sont des Nègres nains, dont une espèce de lèpre a blanchi la peau, c’est comme si l’on disait que les noirs eux-mêmes sont des blancs que la lèpre a noircis.
Un Albinos ne ressemble pas plus à un Nègre de Guinée qu’à un Anglais ou à un Espagnol. Leur blancheur n’est pas la nôtre : rien d’incarnat, nul mélange de blanc et de brun ; c’est une couleur de linge ou plutôt de cire blanchie ; leurs cheveux, leurs sourcils, sont de la plus belle et de la plus douce soie ; leurs yeux ne ressemblent en rien à ceux des autres hommes, mais ils approchent beaucoup des yeux de perdrix.
Ils ressemblent aux Lappons par la taille, à aucune nation par la tête, puisqu’ils ont une autre chevelure, d’autres yeux, d’autres oreilles; et ils n’ont d’homme que la stature du corps, avec la faculté de la parole et de la pensée dans un degré très éloigné du nôtre. Tels sont ceux que j’ai vus et examinés.

Voltaire – Essai sur les moeurs – chapitre I – 1756 – Voir la version non expurgée
Ne nous laissez pas sucomber
Ha je comprend pourquoi les écoles parle encore du grand Voltaire ?grace a lui ils peuvent exciter le peuple avec leur chère racisme ,et une loi une et un mémorial un ,et ils vont jusqu'à échauffé les esprits dans les petites iles .Merci Saint NILUS pour m'avoir ouvert l'esprit sur ce que nous vivons .
Tonino
@JosephSarto
La criminalité occidentale est beaucoup plus agressive et violente que ne l'est celle des africains.
Regardez ce qu'il ce passe en Italie ou en Irlande sans parler des Russes.
le seul pays africains ou il y a une criminalité organisé c'est le Nigeria ailleurs il n'y a grosso modo que de la délinquance de rue.Plus
@JosephSarto

La criminalité occidentale est beaucoup plus agressive et violente que ne l'est celle des africains.
Regardez ce qu'il ce passe en Italie ou en Irlande sans parler des Russes.
le seul pays africains ou il y a une criminalité organisé c'est le Nigeria ailleurs il n'y a grosso modo que de la délinquance de rue.
Catholique et Français
Il y a des ordures racistes chez les blancs, chez les noirs, chez les juifs (voir une récente "vidéo" sur Gloria.tv), chez les arabes, chez les asiatiques etc.. etc... Il me semble tout de même que les premiers apôtres catholiques avaient aboli ces distinctions qui faisaient honte à nos ancêtres catholiques, depuis les croisés (les "poulains" qui ont fait souche en terre sainte) jusqu'aux …Plus
Il y a des ordures racistes chez les blancs, chez les noirs, chez les juifs (voir une récente "vidéo" sur Gloria.tv), chez les arabes, chez les asiatiques etc.. etc... Il me semble tout de même que les premiers apôtres catholiques avaient aboli ces distinctions qui faisaient honte à nos ancêtres catholiques, depuis les croisés (les "poulains" qui ont fait souche en terre sainte) jusqu'aux missionnaires catholiques de l'Amérique (qui traitaient les indiens comme des frères). A part le cas de l'infâme Luther, il a fallu attendre le XVIII° siècle et l'immonde Voltaire (lire ses textes absolument répugnants sur les noirs) pour que le racisme fasse son apparition et grandisse autant aux XIX° et XX°s. Par ailleurs, il est bien évident que si toutes les religions sont également bonnes (selon le bla-bla maçonnico-conciliaire moderne) et qu'un groupe ethnico-religieux est objectivement monstrueux dans ses agissements sans l'être, pour cause d'oecuménisme, à cause de sa religion, il l'est pour beaucoup à cause de sa race : en cela l'oecuménisme moderne et dévoyé est un très puissant moteur ou "exacerbateur" de la haine raciale ! Personnellement, j'ai assisté dimanche dernier à la Messe Rue du Bac à Paris (Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse), me trouvant par hasard à côté d'un monsieur tout noir d'une exquise délicatesse, arborant un merveilleux sourire et d'une admirable piété extérieure (componction, communion à genoux, agenouillement prolongé au moment de la consécration, tenue digne et parfaite etc... : un exemple pour moi). Le Catholicisme, c'est cela !
Roy-XXIII
Cher Andrés. Tu dis ... : Sarah est une esclave qui donnera un fils Ismaël dont le peuple arabe est la descendance.....
- Tu ne vas quand même pas nous faire de l'islam le deuxième témoins à la sauce Dumouch ?! Si ?
De plus : Les musulmans croient qu'Ishmael est l'ancêtre des Arabes. Mais cela est faux qui est réfuté par les traditions Musulmane pour deux raisons :
La Généalogie d'Ishmael …Plus
Cher Andrés. Tu dis ... : Sarah est une esclave qui donnera un fils Ismaël dont le peuple arabe est la descendance.....

- Tu ne vas quand même pas nous faire de l'islam le deuxième témoins à la sauce Dumouch ?! Si ?

De plus : Les musulmans croient qu'Ishmael est l'ancêtre des Arabes. Mais cela est faux qui est réfuté par les traditions Musulmane pour deux raisons :

La Généalogie d'Ishmael nous indique qu'il y a d'autres Arabes

Voici la biographie d'Ibn Ishaq de Muhammed : Ishmael est le fils du SAM d'Aybar b. Shalikh b. Arfakhshadh b. de ` d'Ibrahim (Abraham) b. Tarih (Azar) b. Nahur b. Sarugh b. Rau`u b. Falikh b. (Shem) b. Nuh (Noé) (Ibn Ishaq, la vie de Muhammad, TR Guillaume, p.3).

Aus, Iram, Sam, Nuh et Thamud et Jadis les deux fils de Abir. Iram, sam, nuh, Tasm et Imlaq, Umayan les fils de Lawidh, sam b Nuh sont tous Arabes. Nabit b Isma a engendré Yashjub et la ligné continue. Ta'rub Tayrah-Bahur-Muqawwan-Udnan. (Ibn Ishaq, La vie de Muhammad, tr.Guillaume, p. 4)

En d'autres mots les grand-grand-grand-grands... grands oncles d'Ishmael étaient déjà des Arabes.

L'arabe n'est pas la langue maternelle d'Ishmael, mais il a appris cette langue ailleurs.


Cela vient de (Sahih Bukhari 4.583,) « nous avons appris qu'ishmael a appris l'arabe de la tribu (ou d'une famille de) de Jurhum qui se sont installé à la Mecque ». Alors puisque la langue Arabe n'était pas la langue maternelle d'Ishmael et que la langue Arabe existait avant Ishmael, nous savons alors qu'Ishmael ne peut pas être l'ancêtre des Arabes. La notion que certains ont qu'Ishmael est l'ancêtre des Arabes est fausse. Tout au plus Ishmael ne peut qu'être qu'un immigrant qui a été Arabisé. Et par le fait même que les Arabes d'aujourd'hui ne sont pas tous les descendants d'Ishmael.
Ericminurne
Roy-XXIII l==> L'esclavagisme a toujours existé. Si l'on veut on peut même remonter jusqu'à la création d'Adam... Abraham avait des esclaves Sarah est une esclave qui donnera un fils Ismaël dont le peuple arabe est la descendance..... Pharaon libèrera le peuple de Jacob par l'intervention de Moïse...... Les romains polythéistes en conquête firent des esclaves de toutes sortes...... Avec Jésus …Plus
Roy-XXIII l==> L'esclavagisme a toujours existé. Si l'on veut on peut même remonter jusqu'à la création d'Adam... Abraham avait des esclaves Sarah est une esclave qui donnera un fils Ismaël dont le peuple arabe est la descendance..... Pharaon libèrera le peuple de Jacob par l'intervention de Moïse...... Les romains polythéistes en conquête firent des esclaves de toutes sortes...... Avec Jésus l'esclavagisme aurait dû s'éteindre, mais à priori que chacun reste chez soi.... Voilà des années que je pioche sur cette histoire.... Kalergi part avec de bons sentiments mais ensuite d'autres ont repris ce plan mal interprété et ça donne des dérapages..... Tout comme Hitler, part avec de bonnes intentions mais ensuite on a vu avec sa création d'une race supérieure... ( entre nous Hitler est entré en guerre par provocation et ceux qui tirent les ficelles sont toujours les mêmes et en utlisant cette fois l'islam, ils arriveront à provoquer la troisième guerre mondiale, maintenant c'est inévitable)... Il est un peu dommage que nous nous sommes pas rencontrés il y a des années pour échanger toutes ces idées et en créant des centres d'éducation.. Maintenant c'est un peu tard, car je sais que les événements sont s'accélérer à la vitesse grand"V"... Tout cela me fut caché, d'abord parce que je n'ai jamais connu l'école et ensuite je suis plus particulièrement autodidacte en sciences et mathématiques..... D'ailleurs mon dada n'a fait que des émules et des arabes en plus, bardés de diplômes en math ( bien plus que moi dorénavant) Si il n'y a pas d'inconvénient, et que l'on communique souvent on peut se dire "TU" Tous mes anciens élèves qui ont maintenant plus de 60 ans je leur dis arrête de m'appeler maître ou Monsieur, appelle-moi André et même des jeunes aussi d'ailleurs.... Pour me connaître, j'avais une version enrichie sur ma chaîne André mais Google me l'a enlevée pour antisionisme.../ .. youtu.be/TuUaBFQmtGU
Roy-XXIII
« Ils étaient blancs et esclaves, ils étaient juifs et négriers. » (2/2)
Au XVIIe siècle, les troupes de Cromwell ont conquis l’Irlande et pris Drogheda le 11 septembre 1649. Dix mille habitants ont été massacrés. Plus de cent mille hommes, femmes et enfants ont été déportés. Leur crime : être de confession catholique. Une infime minorité survivra aux douze semaines que nécessite la traversée …Plus
« Ils étaient blancs et esclaves, ils étaient juifs et négriers. » (2/2)

Au XVIIe siècle, les troupes de Cromwell ont conquis l’Irlande et pris Drogheda le 11 septembre 1649. Dix mille habitants ont été massacrés. Plus de cent mille hommes, femmes et enfants ont été déportés. Leur crime : être de confession catholique. Une infime minorité survivra aux douze semaines que nécessite la traversée de l’Atlantique. En septembre 1655, Cromwell exige que mille cinq cent jeunes Irlandais de douze à quatorze ans soient envoyés en Jamaïque et dans les Antilles anglaises pour compenser la mortalité des esclaves blancs. Ce plan est adopté par le Conseil d’Etat. Malheureusement, les enfants ne sont pas les seules victimes de ces déportations. Selon The Curse of Cromwell : A History of the Ironside Conquest of Ireland, les prêtres irlandais sont systématiquement déportés en Amérique avec des vieillards de plus de quatre-vingts ans. Le 25 mars 1659, la mise en esclavage de prisonniers politiques blancs est débattue au parlement anglais. Sa pratique s’intensifie après le 16 avril 1746, quand les fantassins du Scottish Highland, Français et Irlandais combattant de l’armée jacobite, perdent la bataille de Culloden. Ils sont déportés à la Barbade à partir des ports de Londres, Plymouth, Southampton, Douvres, Aberdeen. En Angleterre, les protestants les plus démunis sont également victimes de Cromwell qui en février 1656 a ordonné de déporter mille deux cent Anglaises. Deux mille autres les rejoindront le mois suivant. La même année Cromwell fait déporter en Jamaïque tous les Ecossais sans habitation.

Le rôle actif et déterminant de Cromwell dans l’esclavage va de pair avec son appartenance à la franc-maçonnerie primitive, celle qui commence avant Anderson et Desaguliers. Niée par les historiens officiels, cette origine de la franc-maçonnerie n’est jamais relatée. A juste titre, nous pouvons soupçonner la franc-maçonnerie d’être une organisation criminelle, instigatrice de l’esclavage du XVIIe siècle qui fut un véritable holocauste. Et comment ne pas voir en Cromwell un ennemi acharné du catholicisme quand on sait qu’à sa seule exception, il décréta la liberté de tous les cultes. La tolérance maçonnique pour toutes les religions va toujours de pair avec la haine de la seule véritable ! Est-ce un hasard si Cromwell, financé par les juifs, permet leur retour en Angleterre, d’où ils furent chassés en 1290 par Edouard Ier ?

Demandons-nous alors si la franc-maçonnerie fut la seule à maîtriser les tenants et les aboutissants de ce commerce ?
Le Ku Klux Klan, groupe particulièrement raciste, anticatholique et violent envers les esclaves noirs, est fondé par Albert Pike, général de l’armée confédérée, ainsi que par les dirigeants maçons de haut grade du Sud. Jean Kotska (ancien maçon converti au catholicisme) le présente de manière approfondie au XIXe siècle dans Lucifer démasqué comme un franc-maçon du 33e degré, le grand commandeur du rite écossais ancien et accepté, l’auteur de Morals and Dogma (la bible maçonnique), le rénovateur du culte luciférien des temps modernes (Palladisme). Parmi ses dirigeants, le KKK recense beaucoup de juifs. Dans Jewish Participants in the Civil War, Harry Simonhoff cite notamment le Dr Simon Baruch, chirurgien et capitaine dans l’armée confédérée, qui en secret fréquente le KKK. Tous ces points démontrent que l’esclavage ou sa soi-disant abolition a toujours suivi la logique d’intérêts plus pragmatiques et plus convaincants que la fable opportuniste des droits de l’homme, véritable machine à abrutir les peuples. Sont-ce les raisons pour lesquelles, comme l’écrit Emmanuel Ratier dans Mystères et secrets du B’naï B’rith, le KKK ne fait pas l’objet dans les années 1920 des critiques de l’Anti-Defamation League ou du B’naï B’rith ?

L’excellente brochure Le peuple juif tout entier est-il coupable de traite d’esclaves ? éditée par VHO (Vision Historique Objective) mentionne qu’en 1492, l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique marque le début de l’esclavage sur le Nouveau Continent. Sur la Santamaria, cinq juifs baptisés l’accompagnent. Ce sont Luis de Torres, Marco Bernai, Alonso de la Calle et Gabriel Sanchez. Ce dernier, soutenu par les autres juifs, convainc Christophe Colomb de capturer cinq cents Indiens et de les vendre comme esclaves à Séville. Isabelle la Catholique punit ces agissements. Chassé d’Espagne et du Portugal en 1492 et 1497, le peuple juif s’établit aux Pays-Bas, où est fondée la Compagnie hollandaise des Indes occidentales. En 1654, Jacob Barimson est le premier juif à émigrer de Hollande vers la New Amsterdam (plus tard New York). Il sera bientôt rejoint par ses semblables. Le commerce des esclaves avec les autochtones commence ainsi. Newport devient un des centres principaux du trafic d’esclaves. On l’appelle le Newport juif. Jusqu’alors, l’esclavage était strictement interdit dans le Nord des Etats-Unis. Les juifs interviennent pour changer cet Etat de fait. A Philadelphie, ce rôle incombera à Sandiford Lay, Woolman, Solomon et Benezet. Il n’est donc pas étonnant que derrière la version officielle de l’esclavage se trouve une grande majorité de juifs. C’est ce que démontre Farrakhan. L’île de La Barbade, découverte par un Anglais en 1605, est habitée vingt ans après par des Juifs devenus propriétaires des plantations de canne à sucre. Le rabbin Haham Lopez possède aussi deux esclaves. Un autre passage explique qu’en 1830, parmi les 36 % des 625 000 familles des Etats du Sud (des Etats-Unis) ayant des esclaves, 75 % sont juives. Dans la région des Caraïbes, les Juifs sont les plus grands commerçants maritimes. Ils possèdent les entrepôts avec du matériel d’équipement et de réparation. A cette époque, les commerçants de Curaçao disent qu’une très grande part de la navigation est détenue par les juifs. Le chapitre Jewish Owned Slave Ships (Bateaux de transport d’esclaves appartenant à des juifs) en fournit une liste exhaustive.

Les plus importants noms liés à cet holocauste sont Moses Cohen Mordecai et Abraham Qradis. La famille Qradis possède vingt-six bateaux servant à la déportation d’esclaves africains vers les Caraïbes. En 1800, la famille Jessurin détient une centaine de bateaux sillonnant à cet effet toutes les mers et tous les océans. Les esclaves capturés et transportés par la compagnie de David et Jacob Senior ont l’immense plaisir de voyager à bord du De Vrijheid (La Liberté, en néerlandais). Quant aux bénéfices, signalons que le voilier La Fortuna atteint l’Amérique avec 217 Noirs. Achetés 4 300 dollars, ils sont vendus 41 438 dollars. Ceci n’est pas sans rappeler l’origine de la fortune de Mendès-France, président du Conseil en 1945-1955. Un des plus gros marchands d’esclaves avec les Antilles est un certain Mendès, qui se fait appeler Mendès-France pour se différencier de la branche portugaise de sa tribu. Cet ancêtre du calamiteux salopard qui trahit la France au profit des communistes du Viet-Minh en 1954, est au centre d’un procès retentissant sous Louis XVI. Séfarade de Bordeaux (où les Juifs portugais sont établis de longue date), Isaac Mendès-France s’était installé aux Antilles. Il revient en France en 1775 avec, dans ses bagages, deux esclaves congolais : le nègre Gabriel Pampy, 24 ans, et la négresse Amynte Julienne, 18 ans. A peine a-t-il mis pied à terre que des braves gens emmènent ses deux nègres et leur apprennent que le Code Noir qui régit l’esclavage à la Colonie n’a pas cours sur la terre de France et que, par édit royal, tout esclave posant un pied sur le sol du royaume est ipso facto affranchi. Mendès, frustré de ces beaux sujets sur lesquels il compte pour son élevage, intente à la Couronne un procès - par lequel il entend récupérer sa « propriété » - qui durera des années. Finalement Mendès perd la cause et une partie de sa fortune.

En outre, certains propriétaires tombent amoureux de leurs esclaves. C’est le cas de Jacob Monsanto, le fils d’Isaac Rodrigues Monsanto, établi à La Nouvelle-Orléans et qui épouse Maimi William. De cette union naît une fille, Sophia (aujourd’hui, Monsanto est l’une des quatre principales multinationales de l’’agrochimie génétique travaillant sur la recherche des OGM). La réalité n’est pas toujours aussi idyllique. Les viols sont si fréquents qu’un historien juif, A. Hilfman, dans Further Notes on the Jews in Surinam, écrit qu’en 1791 le Surinam compte 834 Juifs portugais, 477 Juifs allemands et une centaine de Juifs mulâtres. Dans Jews and Negro Slavery, Korn mentionne pour la même période à La Nouvelle-Orléans, que Daniel Warburg, ancêtre du banquier de Staline et Hitler, a deux enfants mulâtres, Eugène et Daniel, nés du viol d’une Cubaine noire, Marie-Rosé. C’est la raison pour laquelle le pirate Jean Laffite, écumeur de mer aux Caraïbes, transporte des Sénégalaises, particulièrement appréciées pour la prostitution. Leur prix est très élevé.

Aujourd’hui, l’enseignement de l’esclavage est totalement détourné de sa réalité. Le responsable communiste anglais Israël Cohen semble en donner la raison. Dans un fascicule intitulé Un programme racial pour le XXe siècle, il déclare : « Nous devons réaliser que l’arme la plus dévastatrice que possède notre Parti (communiste) est la tension raciale. En matraquant l’inconscient collectif des races de couleur avec l’affirmation que pendant des siècles elles ont été opprimées par les Blancs… Les termes colonialisme et impérialisme doivent figurer en bonne place dans notre propagande… Tandis que nous enflammerons la minorité noire en la dressant contre les Blancs, nous nous efforçons d’opposer les races entre elles. Nous voulons instiller dans chaque Blanc un complexe de culpabilité lié à cette exploitation des Noirs… Ce qui mettra en marche un processus par lequel l’Amérique sera gagnée à notre cause ».

Le système de l’esclavage n’est toujours pas aboli, ni dans les faits, ni dans ses origines, ni dans son organisation secrète. La prostitution, par exemple, constitue plus que jamais un fléau qui ronge nos sociétés.

Laurent Glauzy
Article tiré de Atlas de géopolitique révisée, tome I
Roy-XXIII
« Ils étaient blancs et esclaves, ils étaient juifs et négriers. » (1/2)
[En exclusivité pour Contre-info] Par Laurent Glauzy.
Peut-on réduire l’histoire de l’esclavage à l’homme noir ? Des esclaves blancs ont existé. Ont-ils moins souffert que les esclaves noirs ? Qui furent les véritables mercantis de l’esclavage ?
Rien n’interdit encore d’aborder la question de l’esclavage dans un esprit …Plus
« Ils étaient blancs et esclaves, ils étaient juifs et négriers. » (1/2)

[En exclusivité pour Contre-info] Par Laurent Glauzy.

Peut-on réduire l’histoire de l’esclavage à l’homme noir ? Des esclaves blancs ont existé. Ont-ils moins souffert que les esclaves noirs ? Qui furent les véritables mercantis de l’esclavage ?

Rien n’interdit encore d’aborder la question de l’esclavage dans un esprit révisionniste et libre. L’IHR (Institute for Historical Review) propose deux ouvrages qui démontent le mythe de La Case de l’Oncle Tom : They Were White and They were Slaves (Ils étaient blancs et ils étaient esclaves) de Michael A. Hoffman et The Secret Relationship Between Blacks and Jews (Les relations secrètes entre les Noirs et les juifs) de Farrakhan. Dans Les différenciations raciales entre les Noirs et les Blancs, Thomas Jefferson relève que sous l’Empire romain au siècle d’Auguste, la condition des esclaves est bien pire que celle des Noirs dans le continent américain. Malgré cela, Epictète, Térence et Phèdre, esclaves de race blanche, furent les précepteurs des enfants de leurs maîtres. Au IXe siècle, des dizaines de milliers d’esclaves sont vendus sur les terres occupées par l’Islam, comme dans le Royaume de Cordoue. Les Vikings participent à ce commerce juteux. Les captifs sont blancs. Ils viennent d’Islande, d’Ecosse et d’Irlande. Les enfants, non rentables, n’ont pas été embarqués mais tués sur place et les drakkars s’en sont retournés chargés de denrées et de bijoux.

Du Xe au XVe siècle, la majorité des esclaves est issue des peuples slaves, d’où le mot tire son étymologie. Les femmes sont vouées à la prostitution, les hommes aux galères. La castration est courante. Peu y survivent. Avec la disparition des sociétés traditionnelles et le recul du catholicisme sous la poussée des protestantismes, des populations entières sombrent dans une profonde misère.

L’Angleterre concentre tous ces signes. Sa monarchie, très tôt liée aux desseins de la franc-maçonnerie, contribue à accentuer les souffrances d’un peuple contraint à un esclavage aujourd’hui cadenassé dans les amnésies du politiquement correct. Pourtant, cet esclavage, non répertorié comme tel et se développant en Angleterre, est bien plus cruel que celui qu’ont subi les pauvres Noirs d’Amérique. En 1765, sur vingt-trois enfants employés par l’entreprise St Clément Dane’s, dix-huit sont mortellement blessés. Soixante-quatre des soixante-dix huit enfants ouvriers d’une entreprise d’Holborn connaissent le même sort.
A St Qeorge’s Middlesex, seize enfants sur dix-huit meurent d’accidents du travail. En Angleterre, le taux de mortalité de cette main-d’œuvre enfantine est estimé à 90 %. Les rythmes imposés sont insoutenables. Les journées de travail durent en moyenne seize heures. Les enfants sont employés à nettoyer les conduits de cheminées dont, par souci d’économie, les foyers ne sont pas éteints. Les accidents sont nombreux. Mal ou pas rémunérés, les petits ramoneurs qui doivent mendier leur nourriture sont décimés par la tuberculose et le cancer des bronches. Dans The White Slaves of England, John C. Cobden décrit la cruauté des patrons.
En 1833, dans une usine de Manchester, un garçon de moins de dix ans est en retard. Il est contraint de porter autour du cou des poids de dix kilos. D’autres, meurent roués de coups. Dans les mines des dizaines de milliers d’enfants servent de bêtes de somme, attelés à des chariots. Dans les cimetières, les épitaphes témoignent de l’âge de ces esclaves : « William Smith, huit ans, mineur, mort le 3 janvier 1871 ». A l’entour, des enfants de quatre ans reposent dans les autres petites tombes. Dans The Factory System Illustrated William Dodd note qu’en 1846 plus de dix mille ouvriers anglais (en majorité des enfants), ont été blessés, mutilés ou déchiquetés par des machines.

En 1840, un médecin de Stockport voit mourir une jeune fille la chevelure happée par le roulement à billes d’une machine. John Randolph, Virginien de Roanoke, voyage en Irlande et en Angleterre, accompagné de son serviteur. Il écrit : « Je ne pensais pas être autant choqué par la misère des paysans du Limmerick et de Dublin. Johnny est même fier d’être un esclave noir de Virginie. Il était horrifié de voir des taudis, des blancs mourant de faim ». La vie des paysans du Sud de l’Angleterre, témoigne l’historien anglais William Cobbet, est pire que celles des esclaves noirs américains. En 1834, des fermiers du Dorset tentent de former un syndicat pour préserver de la famine les veuves et les orphelins. Ils sont déportés en Australie. Outre-Atlantique, le sort des esclaves blancs, premiers déportés dans le nouveau monde où l’appât du gain a aboli toute morale, est tout aussi inhumain.

En 1645, dans un courrier adressé au gouverneur du Massachusetts, John Winthrop, un certain George Downing conseille aux propriétaires qui veulent faire fortune dans les Antilles d’acheter des esclaves provenant d’Angleterre. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade (actuellement haut lieu de la Jet Society), 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des blancs arrivent en Amérique comme esclaves. Ils constituent la grande majorité de cette main-d’œuvre : il est moins difficile d’obtenir des esclaves blancs que des Nègres. Les chefs des tribus africaines doivent être saoulés par les marchands de « bois d’ébène ». Les Noirs ne sont capturés qu’après des traques qui durent de longues semaines dans des conditions excessivement périlleuses à travers les forêts et les savanes africaines. Le « rendement » est très mauvais. La plupart des captifs meurent, à bout de force, avant d’atteindre les bateaux. Les pistes sont jonchées d’ossements. Une bonne partie des survivants succombera pendant la traversée. En revanche dans les villes et la campagne irlandaise ou écossaises, les kidnappers - que l’édition 1796 du Dictionary of vulgar longue définit comme : « Personne volant des enfants pour les envoyer dans les colonies ou les plantations des Antilles » - fournissent à moindre frais des esclaves moins coûteux à livrer. Selon History of the United States, d’Edward Channing, dix mille enfants kidnappésont été déportés aux Etats-Unis en 1670. Michael A. Hoffman évoque le négoce du capitaine Henry Brayne : « En novembre 1670, son bateau quitte la Caroline. Il est alors chargé de charpentes qui doivent être livrées aux Antilles anglaises en échange d’une cargaison de sucre pour Londres. Ici, le Capitaine prend à bord deux cents à cinq cents esclaves blancs à destination de la Caroline ». Toutes ces raisons conjuguées au fait qu’un esclave blanc a moins de valeur qu’un noir habitué au climat tropical de la Virginie ou de la Floride, expliquent le prix très bas des esclaves blancs.

Par conséquent, les esclavagistes ne les ménagent pas : il les affectent aux tâches les plus dures et les plus répugnantes, les soumettent à des actes de maltraitance et de sadisme. Des enfants seront pendus par les mains à une corde, amputés et tués. Le trésorier de l’Etat de Virginie, George Sandys, atteste du peu de valeur d’un esclave blanc : il en échange 7 contre 150 livres de tabac. Dans A True and Exact History, Richard Ligon mentionne en 1657 le troc d’une esclave blanche contre un cochon. Dans les Antilles anglaises, les quatre cinquièmes des esclaves blancs meurent l’année de leur arrivée. Dans Sugar and Slaves : The Rise of the Planter Class in the English West Indies, l’historien Richard Dunn démontre que les plantations de canne à sucre des Antilles anglaises étaient le tombeau des esclaves blancs. Ecœuré par ces pratiques, le colonel William Brayne écrit en 1656 aux autorités anglaises pour demander l’importation d’esclaves noirs. Mais l’esclavage des blancs est encouragé par les hautes instances politiques et la Couronne. En 1615, le parlement anglais, soutenu par Charles Ier, donne tout pouvoir aux magistrats pour permettre la déportation des Anglais les plus pauvres. Sous le règne de Charles II (1630-1685), même le petit Pays de Galles n’est pas épargné.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, des économistes insistent sur le « bien-fondé » de l’esclavage des blancs, main-d’œuvre qui permet le développement des colonies anglaises et favorise l’expansion de l’Empire britannique. En 1618, des aristocrates adressent une pétition au Conseil de Londres exigeant que les enfants qui errent dans les rues soient déportés en Virginie. En janvier 1620, des enfants tentent de s’enfuir de la prison de Briedewell. Une mutinerie éclate. On craint que le mouvement se généralise. Un courrier est envoyé au secrétaire du Roi, Sir Robert Naunton. Le 31 janvier, le Privy Council autorise à titre d’exemple le recours aux sentences capitales. Cela durera jusqu’au XIXe siècle, époque à laquelle les propriétaires d’usines de Nouvelle-Angleterre militent pour l’abolition de l’esclavage noir tout en exploitant sans vergogne les enfants blancs. Ce n’est pas une attitude nouvelle. Dès février 1652, les propriétaires des plantations ont obtenu la légalisation et l’extension du kidnapping des blancs. Les villes du Commonwealth voient les plus pauvres, accusés de mendicité partir chaînes aux pieds pour l’Amérique. Les juges perçoivent les pots-de-vin liés à ce trafic. La part de Sa Majesté n’est pas la moindre.

Laurent Glauzy
Article tiré de Atlas de géopolitique révisée, tome I
1 autre commentaire de Roy-XXIII
Roy-XXIII
Encore pardon Andrés mais j'ose espérer que vous avez compris que cette vidéo est justement une caricature d'un racisme anti-blancs. Et il faudra peut -être que quelqu'un (mais qui ?) raconte à cette brave jeune femme que les premiers esclaves embarqués aux Amériques étaient blancs ...
Ericminurne
Sur le même sujet elle vous explique que le racisme anti-blanc est bien réel: .. youtu.be/fTw33h42R7Y