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shazam
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Điện Biên Phủ (1992) 13 mars 1954, à 17 heures. Aux abords du camp retranché établi dans la vallée de Diên Biên Phu, au nord du Vietnam, un groupe de soldats autochtones attend l'attaque, que chacun …Plus
Điện Biên Phủ (1992)

13 mars 1954
, à 17 heures. Aux abords du camp retranché établi dans la vallée de Diên Biên Phu, au nord du Vietnam, un groupe de soldats autochtones attend l'attaque, que chacun sait imminente, des forces vietminh.
Pendant ce temps, à Hanoi, où la vie continue, Howard Simpson, journaliste et romancier américain, se met en quête d'informations pour son article quotidien. Il rencontre son ami le capitaine de Kervéguen, qui lui présente sa cousine, Béatrice, talentueuse violoniste…

13 mars 1954, 17h15 : le camp retranché Điện Biên Phủ est attaqué par l’armée vietminh. Le reporter américain Howard Simpson envoyé à Hanoï pour couvrir la guerre d'Indochine assiste impuissant au début de la sanglante bataille.

Le 17 mai 1954 à 17h, les derniers combattants du camp reçoivent l’ordre de cesser le feu. Des milliers de soldats vietminh dévalent des collines et prennent triomphalement Điện Biên Phủ. 10 000 soldats français : tirailleurs, légionnaires, artilleurs, sont capturés.
Les trois quarts décèderont en captivité en quelques mois…

Le film est une évocation de cette bataille et de la prise du camp à travers le destin de plusieurs hommes.
Maranatha Maranatha partage ceci
1548
Il faut être un grand poète pour parler de ces guerres perdues, car la cause était perdue depuis longtemps.
C'est cela l'histoire de "Dien Bien Phu".
Certaines scènes sont historiquement vrai comme le bataillon parachutiste vietnamien qui charge le viet minh en chantant la marseillaise (c'était le seul chant qu'ils connaissaient).
Ce n'est pas un film de guerre à proprement parler, c'est plutôt …Plus
Il faut être un grand poète pour parler de ces guerres perdues, car la cause était perdue depuis longtemps.
C'est cela l'histoire de "Dien Bien Phu".

Certaines scènes sont historiquement vrai comme le bataillon parachutiste vietnamien qui charge le viet minh en chantant la marseillaise (c'était le seul chant qu'ils connaissaient).

Ce n'est pas un film de guerre à proprement parler, c'est plutôt une évocation de cette bataille et de la prise du camp à travers le destin de plusieurs hommes.
Maranatha Maranatha
Turenne
Turenne
Geneviève de Galard , l'ange de Diên Biên Phu .
patrick cohen partage ceci
31
Le 13 mars 1954. Le film est une évocation de cette bataille et de la prise du camp à travers le destin de plusieurs hommes.
shazam
shazam partage ceci
782
Le 13 mars 1954. Le film est une évocation de cette bataille et de la prise du camp à travers le destin de plusieurs hommes.
Guiharan partage ceci
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Péninsule d'Indochine.
En souvenir de nos frères d'Indo.Plus
Péninsule d'Indochine.

En souvenir de nos frères d'Indo.
Chiren
Ne nous laissez pas sucomber
Merci ,mais j'ais toujours vu les choses de la vie sous l'angle de Notre Seigneur et j'exprime depuis l'enfance toujours ce que je ressent (sa ma donnez parfois bien des problèmes )
shazam
✍️ L'homme n'est qu'un minuscule naufragé dans une coquille de noix sur un océan de menteurs ,au loin la bas une petite ile avec une croix en son centre .Courage souqué .
Ne nous laissez pas sucomber
Vous êtes un poète :) ?!... 😇
Ne nous laissez pas sucomber
C'est la démonstration de la puissance du communisme don notre Sainte Maman nous avais mis en garde a Fatima ,mais nos grandes Elites Fin 1945 non rien dit ,le malin les a bien eu avec le revirement de Hitler contre son semblable Saline .Le prêtre disait au possédé (combien êtes vous ,et le malin de répondre des milliers .Les Pays "Libres " avait mis le doigt dans l'engrenage .L'homme n'est qu'un …Plus
C'est la démonstration de la puissance du communisme don notre Sainte Maman nous avais mis en garde a Fatima ,mais nos grandes Elites Fin 1945 non rien dit ,le malin les a bien eu avec le revirement de Hitler contre son semblable Saline .Le prêtre disait au possédé (combien êtes vous ,et le malin de répondre des milliers .Les Pays "Libres " avait mis le doigt dans l'engrenage .L'homme n'est qu'un minuscule naufragé dans une coquille de noix sur un océan de menteurs ,au loin la bas une petite ile avec une croix en son centre .Courage souqué .
shazam
Il faut être un grand poète pour parler de ces guerres perdues qui n'ont été que l'exemple même du sacrifice pour un drapeau, car la cause était perdue depuis longtemps. C'est cela l'histoire de "Dien Bien Phu" et du film de Pierre Schoendoerffer, photographe de guerre qui a vécu sur le terrain la bataille mais aussi ensuite la captivité.
Schoendoerffer ne voulait pas désigner un grand coupable …Plus
Il faut être un grand poète pour parler de ces guerres perdues qui n'ont été que l'exemple même du sacrifice pour un drapeau, car la cause était perdue depuis longtemps. C'est cela l'histoire de "Dien Bien Phu" et du film de Pierre Schoendoerffer, photographe de guerre qui a vécu sur le terrain la bataille mais aussi ensuite la captivité.

Schoendoerffer ne voulait pas désigner un grand coupable. Mais il semble nous dire que les coupables ont toujours tort. Ainsi, les politiques et les généraux sont aux abonnés absents.
Ce combat perdu et oublié, se sacrifice héroïque de nos soldats, nous oblige à nous souvenir que l'Indochine a été française, mais que de nombreux morts auraient sans doute pu être évités, si les politiciens avaient voulu négocier, au lieu de vouloir garder une Indochine française, alors que le combat était presque perdu d'avance, devant la puissance des armées Viet Minh.


Au regard d'une France d'aujourd'hui qui recule et abandonne tous les jours un peu plus ses principes, "Dien Bien Phu" semble être le premier écho de ce renoncement et de l'agonie, d'un pays qui n'en finit pas de mourir, et d'une armée abandonnée par les siens.
(HollywoodClassic)

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Schoendoerffer, c'est un peu le Oliver Stone français. Comme ce dernier, il a servi dans l'armée et a connu l'expérience de la guerre. D'autant plus qu'il s'agit de la même région du globe.
Et le réalisateur de l'Hexagone semble avoir été profondément marqué par ce qu'il a vécu au point que cela se ressent fortement dans sa filmographie (La 317ème section par exemple).
Que dire sur ce film, si ce n'est qu'il s'agit de l'une des plus grosses productions françaises dans le genre des films de guerre. Ajoutons aussi que Pierre Schoendoerffer tourne de manière réaliste les scènes de combat. Mais il préfère surtout s'attarder sur les conditions très difficiles que les soldats français (ou d'autres nationalités) ont vécu durant la guerre. Pluie battante, tranchées inondées, manque de vivres, de munitions, de médicaments et ajoutez à cela un commandement hésitant (reprise d'une colline aux Viets et pour finir abandon de cette dernière par manque d'effectifs pour la défendre. A quoi cela servait-il de la reprendre?) et vous obtenez les raisons de l'une des plus grandes défaites de l'armée française au cours du 21ème siècle. Sans oublier un ennemi supérieur en nombre et probablement beaucoup plus motivé.
En réalité, il n'y a pas de grandes scènes de combat à proprement parler, une nouvelle fois, le réalisateur préfère le réalisme aux explosions en tout genre. Impressionnant également de voir le nombre de figurants qui ont participé à ce film. Il suffit de voir les dernières scènes du film pour le constater. Et il est très surprenant de voir que les gens pariaient à l'époque sur la date de la défaite des Français.
Enfin, Diên Biên Phu semble vouloir être le Apocalypse Now (1979) français et il se traduit clairement par la première image du film, montrant un soleil rouge et qui rappelle bien évidemment le chef-d'oeuvre de Coppola.
Le plus ennuyant vient en fait du côté des acteurs. Aucun n'est vraiment connu (ce n'est pas forcément un tort) et le rendement de certains est assez inégal par rapport à d'autres. C'est dommage car ils ne sont pas tous très doués et cela réduit donc la qualité de l'oeuvre de Schoendoerffer.

Un film différent. C'est certain. Tout d'abord par le fait qu'il est français. Les grosses productions de film de guerre en France sont rares. Ensuite, parce qu'il se veut réaliste et bien plus penché sur la psychologie que les combats.
(SensCritique)

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Certaines scènes sont historiquement vrai comme le bataillon parachutiste vietnamien qui charge le viet minh en chantant la marseillaise (c'était le seul chant qu'ils connaissaient).
Ce n'est pas un film de guerre à proprement parlé, c'est plutôt un film qui retrace le plus fidèlement possible l'horreur dans la cuvette.
NB: Les figurants parachutistes sont des gars du 6 RPIMA, réalisme quand tu nous tiens.
(SencsCritique)