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Irapuato
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14.4 Ss. Liduvina & Bénézet Sp./Eng./Fr. by irapuato on 14.4.2013More
14.4 Ss. Liduvina & Bénézet Sp./Eng./Fr.

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Santa Lidvina, virgen - 14 de abril
fecha de inscripción en el santoral: 14 de abril
n.: 1380 - †: 1433 - país: Países Bajos
otras formas del nombre: Lidwiga, Lidia, Liduina
canonización: Conf. Culto: León XIII 14 mar 1890
hagiografía: «Vidas de los santos de A. Butler», Herbert Thurston, SI
Elogio:
En Schiedam, en Gueldres, santa Lidvina o Liduina, virgen, que, por la conversión de los …More
Santa Lidvina, virgen - 14 de abril

fecha de inscripción en el santoral: 14 de abril
n.: 1380 - †: 1433 - país: Países Bajos
otras formas del nombre: Lidwiga, Lidia, Liduina
canonización: Conf. Culto: León XIII 14 mar 1890
hagiografía: «Vidas de los santos de A. Butler», Herbert Thurston, SI

Elogio:
En Schiedam, en Gueldres, santa Lidvina o Liduina, virgen, que, por la conversión de los pecadores y la liberación de las almas, soportó durante toda la vida enfermedades del cuerpo, confiada sólo en Dios.

Patronazgos: patrona de los enfermos y de la atención pastoral a los enfermos.
Irapuato
Sur le Pont d’Avignon
L'on y danse, l'on y danse
Sur le Pont d’Avignon
L'on y danse tous en rond

On the bridge of Avignon
We all dance there, we all dance there
On the bridge of Avignon
We all dance there in a ring
First Verse
Les beaux messieurs font comme ça
Et puis encore comme ça.

Gentlemen go like this (bow)
And then again like this
Second Verse
Les belles dames font comme ça
Et puis encore …
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Sur le Pont d’Avignon
L'on y danse, l'on y danse
Sur le Pont d’Avignon
L'on y danse tous en rond

On the bridge of Avignon
We all dance there, we all dance there
On the bridge of Avignon
We all dance there in a ring
First Verse
Les beaux messieurs font comme ça
Et puis encore comme ça.

Gentlemen go like this (bow)
And then again like this
Second Verse
Les belles dames font comme ça
Et puis encore comme ça.

The beautiful young ladies go like this (curtsy)
And then like that
Third Verse
Les militaires font comme ça
Et puis encore comme ça

The brave soldiers go like this (salute)
And then like that
Fourth Verse
Les musiciens font comme ça
Et puis encore comme ça.

The musicians go like this (play violin)
And then like that
en.wikipedia.org/wiki/Sur_le_Pont_d'Avignon
Irapuato
14 Avril Saint Bénézet ou Benoît Berger (1165-1184)
Saint Bénézet vint au monde en Savoie. Il fut élevé sous le toit de chaume de ses parents, qui lui apprirent de bonne heure à aimer Dieu.
Quand il eut douze ans, sa mère, devenue veuve, l'employa à la garde des troupeaux. Or, un jour, dans la campagne, Bénézet entendit trois fois cette parole:
"Bénézet, Mon fils, écoute la voix de Jésus-…More
14 Avril Saint Bénézet ou Benoît Berger (1165-1184)
Saint Bénézet vint au monde en Savoie. Il fut élevé sous le toit de chaume de ses parents, qui lui apprirent de bonne heure à aimer Dieu.
Quand il eut douze ans, sa mère, devenue veuve, l'employa à la garde des troupeaux. Or, un jour, dans la campagne, Bénézet entendit trois fois cette parole:
"Bénézet, Mon fils, écoute la voix de Jésus-Christ. Je veux que tu laisses ton troupeau et que tu ailles Me bâtir un pont sur le Rhône.
-- Mais, Seigneur, je ne sais où est le Rhône, et je n'ose abandonner les brebis de ma mère.
-- Va, Je serai avec toi; tes brebis retourneront à l'étable, et Je vais te donner un compagnon qui te conduira.
-- Mais, Seigneur, je n'ai que trois oboles; comment pourrai-je construire un pont sur le Rhône?
-- Va, Mon fils, Je te donnerai les moyens."
Et l'enfant laissa sa mère et son troupeau, pour obéir à la voix du Ciel. Un ange, sous la forme d'un pèlerin, vint tout à coup s'offrir pour le conduire. Quand ils arrivèrent au bord du Rhône, Bénézet, saisi de frayeur à la vue de la largeur du fleuve, s'écria:
"Il est impossible de faire un pont ici.
-- Ne crains rien, dit le guide, Dieu sera avec toi: va vers ce batelier, qui te fera passer le fleuve, et tu iras te présenter à l'évêque d'Avignon et à son peuple." En disant cela, l'ange disparut.
L'enfant se rendit à la cathédrale. L'évêque y parlait à son peuple; mais Bénézet l'interrompit en disant: "Écoutez-moi; Jésus-Christ m'a envoyé vers vous pour construire un pont sur le Rhône."
L'évêque, indigné, le mit entre les mains de l'autorité civile, devant laquelle il renouvela sa demande avec tant de fermeté, qu'il lui fut dit: "Voici une pierre énorme; si tu peux la remuer et la porter, nous croirons que tu peux faire le pont."
Et bientôt le petit berger, à la vue de l'évêque et de toute la ville portait une pierre de trente pieds de longueur sur dix-sept de largeur, que trente hommes n'auraient pu soulever. On devine l'enthousiasme universel. Cet enthousiasme augmenta encore quand on vit Bénézet, dès ce jour, rendre la vue aux aveugles, l'ouïe et la parole aux sourds-muets, et la facilité de marcher aux boiteux.
L'envoyé de Dieu commença par fonder une corporation d'ouvriers faiseurs de ponts. Après sept ans de travaux, le pont, d'une longueur immense, n'était pas encore achevé. Bénézet mourut à dix-neuf ans. Sa mémoire est restée en benediction.
magnificat.ca/…/saint_benezet_o…
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Sainte Lydwine de Schiedam
Vierge
(1380-1433)
Sainte Lydwine de Schiedam
Issus d'ancêtres nobles, mais tombés dans la pauvreté, les parents de Lydwine n'avaient pas pour cela hésité à élever neuf enfants, huit garçons et une fille. Celle-ci, venue au monde la cinquième, le 18 mars 1380, était une enfant gracieuse et forte, d'une avenante beauté.
Quand, à quinze ans, ses charmes et ses qualités …More
Sainte Lydwine de Schiedam
Vierge
(1380-1433)
Sainte Lydwine de Schiedam
Issus d'ancêtres nobles, mais tombés dans la pauvreté, les parents de Lydwine n'avaient pas pour cela hésité à élever neuf enfants, huit garçons et une fille. Celle-ci, venue au monde la cinquième, le 18 mars 1380, était une enfant gracieuse et forte, d'une avenante beauté.
Quand, à quinze ans, ses charmes et ses qualités lui attirèrent de nombreuses demandes de mariage, elle dit à ses parents: "Je demanderais plutôt à Dieu de me rendre laide pour repousser les regards des hommes." Dieu la prit au mot.
À la suite d'une chute où elle eut une côte brisée, on la transporta sur son lit; elle ne le quitta plus jusqu'à sa mort. Malgré tous les soins prodigués, le mal ne fit qu'empirer. Un abcès se forma qui ne lui permettait plus de rester ni couchée, ni assise, ni levée; perdant l'usage de ses jambes, elle se traînait sur les genoux, sur les coudes, se cramponnant aux meubles.
Ses pleurs, ses cris, ses gémissements effrayaient et éloignaient tout le monde, sauf ses admirables parents, qui ne cessèrent de la soigner avec amour. Peu à peu il lui devint même impossible de ramper ainsi. Trois plaies profondes s'ouvrirent dans son pauvre corps, dont l'une se remplit de vers, qui y grouillaient en telle quantité qu'on en retirait jusqu'à deux cents en vingt-quatre heures. Comme on soulageait les ulcères, une tumeur lui vint à l'épaule, à laquelle s'ajouta bientôt le "mal des ardents" qui dévora ses chairs jusqu'aux os.
À cette nomenclature incomplète de ses maux, il faut ajouter la torture des remèdes inventés par l'ignorante bonne volonté des médecins, qui ne réussirent guère qu'à remplacer une maladie par une autre.
Ainsi Lydwine était couchée sur le dos, impuissante à se remuer, n'ayant que l'usage de la tête et du bras gauche, torturée sans cesse, perdant son sang, dévorée des vers, et pourtant vivant et gardant assez de forces pour ne pas mourir. Et au milieu de tout cela elle était heureuse, et se disait prête à souffrir ainsi pendant de longues années.
À partir de 1414, jusqu'à sa mort, c'est à dire pendant dix-neuf ans, elle ne se nourrit que de la Sainte Eucharistie. Jusqu'à la fin, ses maux s'aggravèrent; mais ses plaies, ses vomissements n'exhalaient plus que des odeurs suaves et parfumées. Aussi on venait plus volontiers la voir, entretenir et écouter ses pieuses exhortations. Rien de plus ardent que sa charité, toujours au service des malheureux qu'elle secourait malgré son indigente pauvreté, et des affligés qui trouvaient auprès d'elle consolation.
Ce fut le mardi de Pâques 1433 que Lydwine acheva la montée de son Calvaire, qui avait duré trente-sept ans. Aussitôt son pauvre corps exténué, défiguré, reprit ses couleurs, son embonpoint et sa beauté; il exhalait un parfum plus suave que jamais.
magnificat.ca/…/sainte_lydwine_…
Irapuato
April 14 Saint Benezet Confessor (1165-1184)
country, and while still a young child was devoted to practices of piety. In his day many persons were being drowned when crossing the Rhone, and Benezet was instructed by God to build a bridge over that rapid river at Avignon. He obtained the approbation of the bishop, proving his mission by miracles, and in 1177 began the work, which he directed during …More
April 14 Saint Benezet Confessor (1165-1184)
country, and while still a young child was devoted to practices of piety. In his day many persons were being drowned when crossing the Rhone, and Benezet was instructed by God to build a bridge over that rapid river at Avignon. He obtained the approbation of the bishop, proving his mission by miracles, and in 1177 began the work, which he directed during seven years. He died when the major difficulties of the undertaking were over, in 1184.
This remarkable feat of a young boy is attested by public monuments drawn up at that time and still preserved at Avignon, where the story is still known to all. His body was buried upon the bridge itself, which was not finished until four years after his decease. Its construction was attended with miracles from the first laying of the foundations until it was completed in 1188. Other miracles wrought afterwards at his tomb induced the city to build, on the bridge itself, a chapel, and there his body lay for nearly five hundred years. But in 1669, after the greater part of the bridge had fallen through the impetuosity of the waters, the coffin was taken up and opened in 1670, in the presence of the Church's authorities. The body was found entire, without the least sign of corruption; all was perfectly sound, and the color of the eyes still bright, even though, through the dampness of the surroundings, the iron bars around the coffin were much damaged with rust.
Saint Benezet's body was found in the same condition again in 1674, by the Archbishop of Avignon at the time when, accompanied by the Bishop of Orange and a great concourse of nobility, he carried out its translation with great pomp into the Church of the Celestines. That Order had obtained from Louis XIV the honor of being entrusted with the custody of his relics, until such time as the bridge and chapel should be rebuilt.
Reflection. Let us pray for perseverance in good works, trusting in God despite all obstacles.
magnificat.ca/…/saint_benezet.h…
Irapuato
Saint Lydwina of Schiedam
Virgin
(1380-1433)
Saint Lydwina of Schiedam
Saint Lydwina was born in Holland of virtuous but poor parents, the only daughter among nine children. Her name means suffer in plenitude, and indeed her entire life was nothing but a continuous suffering. Even in the cradle a grievous illness afflicted her.
At twelve years of age her beauty was admired by all; her father wanted …More
Saint Lydwina of Schiedam
Virgin
(1380-1433)
Saint Lydwina of Schiedam
Saint Lydwina was born in Holland of virtuous but poor parents, the only daughter among nine children. Her name means suffer in plenitude, and indeed her entire life was nothing but a continuous suffering. Even in the cradle a grievous illness afflicted her.
At twelve years of age her beauty was admired by all; her father wanted her to marry, but she told him she had already given herself to the divine Spouse of virgins. When at the age of fifteen she fell on the ice, she suffered a broken rib; and this injury, spreading, it would seem, to other parts of her body, reduced her to the state of an invalid for the last thirty-eight years of her life. For seventeen years, she could move no part of her body except, very slightly, her head and left arm. For a long time she could scarcely take any nourishment, and finally could no longer support any food at all. In this state she remained for nineteen years.
After her mother's death, she sold the furnishings she had inherited to give the price to the poor; and all the alms she received were also given to them. A purse containing money which she had placed there to pay the debts of one of her brothers who had died with many orphaned children and many unpaid obligations, was never afterwards found without at least forty francs, regardless of the amount distributed.
All the most dreaded illnesses seemed to have joined together to persecute Saint Lydwina, that she might endure in every one of the conjoined parts of her body, all that it could possibly bear. Despite her wounds, she was surrounded by an agreeable fragrance. Our Lord kept Lydwina company in her sufferings, and at times transported her in spirit elsewhere; she saw the pains of the damned and those of the souls in purgatory. For the latter she prayed much and delivered many, having suffered their torments for them. Our Saviour granted her His stigmata, but she prayed that they might remain invisible, in order not to derive any attention from them.
He taught us all a lesson through His Saint, when she became too afflicted by the death of a dear brother. He sent to her a holy hermit to tell her that the servants of Christ must be purified from the too tender affections of human nature, even though these are not unreasonable and are not condemned by Holy Scripture.
She was permitted to receive Holy Communion every two weeks, as it was observed that this gave her strength; and when she was nearing her end, four or five times a week that consolation was granted her. After the death of this servant of God on April 14, 1433 her body which had been covered with ulcers and deformed became straight and very beautiful. She was buried in the parish church of Saint John the Baptist in Schiedam. Her relics were later taken to Brussels and placed in the collegial church of Saint Gudule. Her life was written by three persons who knew her personally, and an abridged life was prepared by Thomas a Kempis.
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Irapuato
Benito de Aviñón, más conocido como San Bénézet o san Benedicto (Benito), nació en 1165 en Ardèche y murió en 1184, es un joven pastor quien, según la leyenda, construyó el puente de la ciudad de Avignon, Francia, después de cargar una gran roca hasta la orilla del río como prueba del poder de Dios.
es.wikipedia.org/wiki/Benito_de_Aviñón
Irapuato
Santa Liduvina de Schiedam
www.oremosjuntos.com/Santoral/SantaLiduvinaSc…

Patrona de los enfermos crónicos que quieren aprovechar su larga enfermedad para pagar sus pecados, convertir pecadores y conseguir un gran premio en el cielo. El decreto de Roma al declararla santa dice de ella que fue "un prodigio de sufrimiento humano y de paciencia heroica".
Martirologio Romano: En Schiedam, en Gueldres …
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Santa Liduvina de Schiedam
www.oremosjuntos.com/Santoral/SantaLiduvinaSc…

Patrona de los enfermos crónicos que quieren aprovechar su larga enfermedad para pagar sus pecados, convertir pecadores y conseguir un gran premio en el cielo. El decreto de Roma al declararla santa dice de ella que fue "un prodigio de sufrimiento humano y de paciencia heroica".

Martirologio Romano: En Schiedam, en Gueldres, Paises Bajos, santa Liduvina o Liduina, virgen, que, por la conversión de los pecadores y la liberación de las almas, soportó durante toda la vida enfermedades del cuerpo, confiada sólo en Dios. († 1433)

Etimologicamente: Liduvina = Aquella que ama a su pueblo, es de origen germánico.

Fecha de canonización: Culto confirmado el 14 de marzo de 1890 por el Papa León XIII

De patinadora a oradora incansable; tuvo éxtasis de Jesús y María
Santa Liduvina nace 1380 Schiedam, Holanda, en una casa pobre y honrada, cerca de La Haya. Es la hija de Pedro, el sereno.


La llaman: Liduvina, Ludiwina, Lidvina, Ludivina, Lydvid o Lidia.

Con quince años comienza su historia de dolor cuando cae en el hielo del lago Schie donde patinaba con sus amigas, al producirse un choque con una de ellas. Se rompió una costilla y entró en cama para no levantarse más. A partir de este momento ya se suceden todos los males y los intentos de curación conocidos en el pueblo. Apostema pertinaz en el lugar de la herida, salen llagas, úlceras, por fin gangrena con gusanos y mucho dolor. Se pasan el día cambiándola de una a otra cama, pero cada traslado es un espantoso tormento; sus piernas ya no la sostienen un día y ya es preciso arrastrarla por el suelo. Enfermedad del fuego sagrado, como lo llamaban en ese tiempo, en un brazo que se consume. También tiene neuralgias. Por si fuera poco, el ojo derecho se extingue y le sangra el izquierdo. Se le producen equimosis lívidas en el pecho que se convierten en pústulas cobrizas. Empieza el mal al hígado y a los pulmones. El cáncer le hace agujero profundo en el pecho. Y para colmo de males, la peste bubónica que asolaba Europa llegó a Holanda y se estableció en Liduvina regalándole dos bubones terribles junto a su corazón. Ella dijo: "dos no está mal, pero tres sería mejor, en honor de la Santísima Trinidad"... y el tercero le brotó en la cara. Sólo la lepra no visitó su cuerpo.

Cualquiera de estos males era de muerte. Pero aquella vida era un milagro continuo. Ahora es un montón de pellejos rotos y huesos; lejos queda la niña crecida y guapa que fue, cuando su buen padre le buscaba pretendientes con los que ajustar una boda que le sacara de apuros y a la que ella se negaba rotundamente.

¿Y los olores? Los chorros de pus, a rosas; los emplastos retirados llenos de insectos, embalsaman la casa, y de aquel cuerpo que todo se pudre, jamás salió olor de muerto.

¿Y el alimento? Una rodaja de manzana asada para un día. El estómago se rebela por una tostada de pan mojado en leche o en cerveza. Después hubo de contentarse con unas gotas de agua azucarada o con un poco de vino matado con agua.

¿Y el descanso? Desaparecido el sueño, noches en vela, de espaldas con la piel que salía como la corteza del árbol. Sus biógrafos dicen que en treinta y ocho años no durmió veinte horas.

¿Y el ánimo? El sufrimiento la llenó al principio de espanto. En cama, estuvo con frecuencia a punto de desesperación. Por cuatro años pensó que estaba condenada; Dios no se interesa por ella, no aparece, o mejor, ha desaparecido por indiferente; casi se diría es un enemigo implacable y cruel. Es incapaz de rezar en ese estado de sufrimiento y postración donde no hay ni una ayuda del cielo, ni un consuelo de la tierra.

El cura del pueblo no se interesa por la enferma mientras tenga que ocuparse de cebar sus capones y de mantener bien repleta la despensa.

Algún alma buena le puso en pista, aunque al principio, ella no entendió nada. "La Pasión de Cristo la has meditado poco hasta ahora". Ni siquiera eso daba resultado; sus dolores le dolían más que los del Señor; pero lo intentaba. La Comunión que le llevaron un día fue el remedio. Iluminada por una gracia repentina descubrió su misión en la tierra: acompañar a Jesús en el Calvario, reparar, clavarse voluntariamente en la cruz, ayudar al Mártir divino a llevar los pecados del mundo.

Las cosas cambiaron. Es la hora de la longanimidad. Empieza a ver lo positivo de su vida. Ahora, ayudada por el pensamiento de la generosidad de los mártires, agradece sus dolores al Señor. Comienza a preocuparse de los otros y de sus necesidades. Mantiene su día en la presencia de Dios aunque se produzcan demencias, apoplejías, neuralgias, dolores de muelas, mal de piedras y contracciones de nervios. De su boca salen a un tiempo sonrisas, bondades, alaridos y sollozos y ella misma decía que se olvidaba de su penoso estado cuando veía el rostro del Ángel de su guarda, que le hacía intuir cuál no sería la hermosura del rostro de Dios. Aparecen estigmas junto a los bubones y en los pies y en las manos.

Entiende de la dulzura de mezclar su dolor con el dolor de Dios porque su mundo es el de Pedro que llaman el Cruel, el de Carlos IV y Enrique de Lancaster con pantanos de sangre y de guerra de bulas entre los antipapas, de violencia de los magnates y ambiciones de los clérigos; era la época en que la cabeza tiarada de Cristo es arrojada de Aviñón a Roma y de Roma a Aviñón. Siente de lejos el pecado y repara. Detecta el mal de quienes la visitan y lo desenmascara para poner remedio. Su habitación es un hospital de almas.

Esta glosa del libro de Job pasó al cielo el día 14 de abril de 1433 Schiedam

Sus reliquias están en santa Gúdula de Bruselas.