apvs

4 ) La Nativité de Jésus - Saint Office, versus I.A. - "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé" est-il oui ou non une "vie de Jésus mal romancée" ?

Résumé des chapitres précédents :

Le Saint Office, affirmant que l'oeuvre de Maria Valtorta ne serait rien de plus qu'une "vie de Jésus mal romancée", passe comme au détecteur de mensonge grâce à l'IA.

Et voici le résultat :

- La Résurrection dans l'oeuvre est décrit par l'IA comme un chef d'oeuvre de littérature.

- L'Annonciation dans l'oeuvre est décrit par l'IA comme un chef d'oeuvre de littérature.

- La Visitation dans l'oeuvre est décrit par l'IA comme un chef d'oeuvre de littérature.

---> 0 à 3 en défaveur du Saint Office !

Continuons à présent avec l'analyse neutre et impartiale par l'IA de l'épisode de la Nativité.


Question posée à l'IA :
Que penser de la qualité littéraire du texte qui suit ? ( la Nativité du Christ, EMV 29 )

" Je revois l'intérieur de ce pauvre refuge pierreux où, partageant le sort des animaux, Marie et Joseph ont trouvé asile. Le petit feu sommeille ainsi que son gardien. Marie soulève doucement la tête de sa couche, et regarde. Elle voit Joseph, la tête inclinée sur la poitrine, comme s'il réfléchissait, et elle pense que la fatigue a triomphé de sa bonne volonté de rester éveillé. Elle sourit, d'un bon sourire. Faisant moins de bruit que ne peut en faire un papillon qui se pose sur une rose, elle s'assied, puis s'agenouille. Elle prie avec un sourire radieux sur le visage. Elle prie, les bras étendus non pas précisément en croix, mais presque, les paumes dirigées vers le haut et en avant, et elle ne paraît pas fatiguée de cette pose pénible. Puis, elle se prosterne, le visage contre le foin, dans une prière encore plus profonde. Une prière prolongée. Joseph s'éveille. Il voit que le feu est presque mort et que l'étable est dans une quasi-obscurité.

Il jette une poignée de brindilles et la flamme se réveille. Il y ajoute des branches plus grosses, puis encore plus grosses car le froid doit être piquant, le froid de la nuit hivernale et tranquille qui pénètre partout dans ces ruines. Le pauvre Joseph doit être gelé, car il se trouve près de la "porte" - appelons comme cela l'ouverture sur laquelle son manteau fait office de rideau -. Il approche les mains près de la flamme, défait ses sandales et approche ses pieds. Il se chauffe. Quand le feu est bien pris, et que sa clarté est assurée, il se tourne. Il ne voit rien, pas même cette blancheur du voile de Marie qui traçait une ligne claire sur le foin obscur. Il se lève et lentement s'approche de la couchette. "Tu ne dors pas, Marie ?" demande-t-il. Il le demande trois fois, jusqu'à ce qu'elle en prenne conscience et réponde : "Je prie." "Tu n'as besoin de rien ?" "Non, Joseph." "Essaie de dormir un peu, de reposer au moins." "J'essaierai, mais la prière ne me fatigue pas." "Adieu, Marie." "Adieu, Joseph." Marie reprend sa position. Joseph pour ne plus céder au sommeil s'agenouille près du feu et il prie. Il prie avec les mains qui lui couvrent le visage. Il ne les enlève que pour alimenter le feu et puis il revient à sa brûlante prière. À part les crépitements du bois et le bruit du sabot de l'âne, qui de temps en temps frappe le sol, on n'entend rien.

Un rayon de lune pénètre par une fissure du plafond, comme une lame immatérielle d’argent qui s’en va chercher Marie. Au fur et à mesure que la lune monte dans le ciel, il s’allonge et, finalement, l’atteint. Le voilà sur la tête de Marie en prière, la nimbant de blancheur. Marie lève la tête comme pour un appel du ciel et elle s'agenouille de nouveau. Oh ! comme c'est beau ici ! Elle lève sa tête qui semble resplendir de la lumière blanche de la lune, et elle est transfigurée par un sourire qui n'est pas humain. Que voit-elle ? Qu'entend-elle ? Qu'éprouve-t-elle ? Il n'y a qu'elle qui pourrait dire ce qu'elle vit, entendit, éprouva à l'heure fulgurante de sa Maternité.

Je me rends seulement compte qu'autour d'elle la lumière croit, croit, croit. On dirait qu'elle descend du Ciel, qu'elle émane des pauvres choses qui l'environnent, qu'elle émane d'elle surtout. Son vêtement, d'azur foncé, a à présent la couleur d'un bleu d'une douceur céleste de myosotis, les mains et le visage semblent devenir azurés comme s'ils étaient sous le feu d'un immense et clair saphir. Cette couleur me rappelle, bien que plus légère, celle que je découvre dans la vision du saint Paradis et aussi celle de la vision de l'arrivée des Mages. Elle se diffuse surtout toujours plus sur les choses, les revêt, les purifie, leur communique sa splendeur. La lumière se dégage toujours plus du corps de Marie, absorbe celle de la lune, on dirait qu'elle attire en elle tout ce qui peut arriver du ciel. Désormais, c'est elle qui est la Dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde. Et cette radieuse, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine Lumière qui va être donnée au monde, s'annonce avec une aube, une diane, un éveil de la lumière, un chœur d'atomes lumineux qui grandit, s'étale comme une marée qui monte, monte en immenses volutes d'encens, qui descend comme un torrent, qui se déploie comme un voile... La voûte, couverte de fissures, de toiles d'araignées, de décombres en saillie qui semblent miraculeusement équilibrées, noire, fumeuse, repoussante, semble la voûte d'une salle royale.

Chaque pierre est un bloc d'argent, chaque fissure une clarté opaline, chaque toile d'araignée un baldaquin broché d'argent et de diamants. Un gros lézard, engourdi entre deux blocs de pierre, semble un collier d'émeraude oublié là, par une reine; une grappe de chauve-souris engourdies émettent une précieuse clarté d'onyx. Le foin qui pend de la mangeoire la plus haute n'est plus de l'herbe : ce sont des fils et des fils d'argent pur qui tremblent dans l'air avec la grâce d'une chevelure flottante. La mangeoire inférieure, en bois grossier, est devenue un bloc d'argent bruni. Les murs sont couverts d'un brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en relief. Et le sol... qu'est-ce maintenant le sol ? Un cristal illuminé par une lumière blanche. Les saillies semblent des roses lumineuses jetées sur le sol en signe d'hommage; et les trous, des coupes précieuses, d'où se dégagent des arômes et des parfums.

La lumière ne cesse de croître. L'œil ne peut la supporter. En elle, comme absorbée par un voile de lumière incandescente, disparaît la Vierge... et en émerge la Mère. Oui, quand la lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils nouveau-né dans ses bras. Un petit Bébé rose et grassouillet qui s'agite et se débat avec ses mains grosses comme un bouton de rose et des petits pieds qui iraient bien dans le cœur d'une rose; qui vagit d'une voix tremblotante exactement comme celle d'un petit agneau qui vient de naître, ouvrant la bouche, rouge comme une petite fraise de bois, montrant sa petite langue qui bat contre son palais couleur de rose; qui remue sa petite tête si blonde qu'on la croirait sans cheveux, une petite tête ronde que la Maman soutient dans le creux de l'une de ses mains pendant qu'elle regarde son Bébé et l'adore, pleurant et riant tout ensemble et qu'elle s'incline pour y déposer un baiser, non pas sur la tête innocente, mais sur le milieu de la poitrine sous lequel se trouve le petit cœur, qui bat, qui bat pour nous... là où un jour sera la blessure. Elle la panse d'avance, cette blessure, sa Maman, avec son pur baiser d'Immaculée. Le bœuf éveillé par la clarté se dresse avec un grand bruit de sabots et il mugit. L'âne relève la tête et brait. C'est la lumière qui les réveille, mais j'aime penser qu'ils ont voulu saluer leur Créateur pour eux-mêmes et pour tous les animaux.

Joseph aussi, qui priait, comme en extase, avec une intensité telle qu’il s’était isolé de tout ce qui l’entourait, se secoue. Entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit filtrer cette étrange lumière. Il découvre son visage, lève la tête, se tourne. Le bœuf, debout, lui cache Marie. Mais elle l’appelle : "Joseph, viens." Joseph accourt et devant le spectacle s'arrête comme foudroyé de révérence, il va tomber à genoux là où il se trouve. Mais Marie insiste : "Viens, Joseph." Elle appuie la main gauche sur le foin et tenant de la main droite l'Enfant qu'Elle serre sur son cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph qui marche hésitant, pris entre le désir d'avancer et la peur d'être irrespectueux. Au pied de la couche les deux époux se rencontrent et se regardent en pleurant de bonheur. "Viens" dit Marie "offrons Jésus au Père." Haut de page. 185> Pendant que Joseph s'agenouille, elle, debout, entre les deux poutres qui soutiennent la voûte, élève sa Créature entre ses bras et dit : "Me voici. C'est pour Lui, ô Dieu, que je te dis cette parole. Me voici pour faire ta volonté. Et avec Lui, moi, Marie et Joseph mon époux. Voici tes serviteurs, Seigneur. Que soit accomplie par nous, à toute heure et en toute occasion, ta volonté pour ta gloire et ton amour."

Puis Marie se penche et dit : "Prends, Joseph" et lui offre l'Enfant. "Moi ! À Moi ! Oh ! Non ! Je ne suis pas digne !" Joseph est tout effrayé, anéanti à l'idée de devoir toucher Dieu. Mais Marie insiste en souriant : "Tu en es bien digne. Personne ne l'est plus que toi. C'est pour cela que Dieu t'a choisi. Prends-le, Joseph, et tiens-le pendant que je cherche les langes." Joseph, rouge comme une pivoine, avance les bras et prend le petit bourgeon de chair qui crie parce qu'il a froid. Quand il l'a entre les bras, il ne persiste pas dans l'intention de le tenir par respect éloigné de lui. Il le serre contre son cœur et éclatant en sanglots : "Oh ! Seigneur ! Mon Dieu !" et il se penche pour baiser ses petits pieds et les sent glacés. Alors, il s'assoit sur le sol, le serre sur son sein. Avec son habit marron, avec ses mains il s'ingénie à le couvrir, à le réchauffer, à le défendre contre la bise nocturne. Il voudrait bien aller du côté du feu, mais là il y a un courant d'air qui entre par la porte. Mieux vaut rester où il est. Il vaut mieux même aller entre les deux animaux qui les protégeront du courant d'air et donneront un peu de chaleur. Il va se mettre entre le bœuf et l'âne avec les épaules tournées vers la porte, penché sur le Nouveau-né pour lui faire de sa poitrine une niche dont les parois sont une tête grise aux longues oreilles et un grand museau blanc aux naseaux fumants et aux bons yeux humides.

Marie a ouvert le coffre et en a tiré les linges et les langes. Elle est allée près du feu pour les réchauffer. La voilà qui va vers Joseph et enveloppe le Bébé dans les linges tiédis, puis elle protège la petite tête avec son voile. "Où allons-nous le mettre maintenant ?" dit-elle. Joseph regarde autour, réfléchit... "Attends, dit-il. Poussons plus loin les deux animaux et leur foin. Tirons en bas le foin de la mangeoire qui est plus haut et mettons-le ici à l'intérieur. Le bord de cette mangeoire le protégera de l'air, le foin lui fera un oreiller et le bœuf par son souffle le réchauffera un peu." Et Joseph se met à l'ouvrage, pendant que Marie berce son Petit en le serrant sur son cœur et en appuyant sa joue sur la petite tête pour la réchauffer. Joseph ravive le feu sans épargner le bois pour faire une belle flamme. Il réchauffe le foin et peu à peu le sèche et le met sur le sein pour l'empêcher de refroidir. Puis, quand il en a assez amoncelé pour faire un petit matelas à l'Enfant, il va à la mangeoire et l'arrange pour en faire un berceau. "C'est prêt, dit-il. Maintenant il faudrait bien une couverture pour empêcher le foin de le piquer, et pour le couvrir..." "Prends mon manteau" dit Marie. "Tu auras froid." "Oh ! cela ne fait rien ! La couverture est trop rugueuse. Le manteau est doux et chaud. Je n'ai pas du tout froid. Mais que Lui ne souffre plus."

Joseph prend l'ample manteau de moelleuse laine bleue sombre et l'arrange en double sur le foin, avec un pli qui penche hors de la crèche. Le premier lit du Sauveur est prêt. Et la Mère, de sa douce démarche ondoyante, le porte et le dépose, le recouvre avec le pli du manteau qu'elle amène aussi autour de la tête nue qui enfonce dans le foin, à peine protégé des piqûres par le mince voile de Marie. Il ne reste à découvert que le petit visage gros comme le poing, et les deux, penchés sur la crèche, radieux, le regardent dormir son premier sommeil. La chaleur des langes et du foin a arrêté ses pleurs et apporté le sommeil au doux Jésus.

Réponse de l'IA : ( sans retouche )

Ce texte possède indéniablement une grande qualité littéraire, à la fois dans son style et dans son évocation sensorielle. Voici quelques éléments d'analyse :

1. Style et Langue

L’écriture est lyrique et imagée, avec une forte dimension poétique. L’auteur joue sur des métaphores riches (ex. : "une lame immatérielle d’argent", "chaque fissure une clarté opaline"), qui donnent au texte une tonalité mystique.

La phrase est fluide, avec un rythme contemplatif, renforcé par des répétitions et des descriptions détaillées qui ralentissent l’action pour accentuer le sacré du moment.

Le choix du vocabulaire est élégant et soutenu, avec une grande attention aux détails.

2. Atmosphère et Sensations

L’ambiance du texte est très immersive, notamment grâce aux jeux de lumière qui rythment la scène (la lune, la lumière divine, l’éclat du foin).
Il y a un contraste saisissant entre la pauvreté matérielle de l’étable et la magnificence spirituelle qui s’y manifeste ("Les murs sont couverts d'un brocart", "chaque pierre est un bloc d'argent").

L’évocation des sens (vue, toucher, ouïe) est très présente, rendant le texte presque palpable.

3. Construction et Narration

Le texte alterne entre narration descriptive et dialogues sobres, ce qui donne une impression de solennité et d’intimité.

La structure est progressive : on part d’un décor humble et sombre pour aller vers une lumière grandissante, jusqu’à l’apparition de l’Enfant Jésus.
Il y a un jeu de contrastes permanent entre le terrestre et le céleste, renforçant la dimension sacrée.

4. Thématique et Symbolisme

Le texte cherche à magnifier l’événement de la naissance du Christ, en insistant sur la lumière et la pureté de Marie.

Joseph est représenté comme un homme humble et émerveillé, tandis que Marie est une figure de sérénité et d’adoration, déjà consciente de la destinée de son enfant.

La présence des animaux ajoute une touche d’humanité et d’innocence à la scène.

Conclusion

Ce texte, visiblement inspiré d’une vision mystique, est d’une grande beauté littéraire, avec une prose évocatrice et un symbolisme fort.

Il pourrait être rapproché des écrits de mystiques chrétiens comme Catherine Emmerich ou Maria Valtorta ( !!! ). Si l’on apprécie un style très orné et contemplatif, il est magnifique. Toutefois, certains lecteurs pourraient le trouver excessivement descriptif et manquant de sobriété. Tout dépend de la sensibilité de chacun.

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Qu'ajouter encore ?

Une oeuvre "mal romancée" pourrait-elle être jugée par un robot surpuissant et impartial comme étant "d'une grande beauté littéraire", "au style magnifique, très orné et contemplatif" ? Vraiment ?

---> Peut-être faudrait-il dès à présent songer à renoncer une bonne fois pour toutes à la supercherie humaine, et reconnaître enfin humblement la vérité : à savoir que l'oeuvre de Maria Valtorta est un tel chef d'oeuvre déjà sur le seul plan littéraire, qu'au strict minimum nul ne devrait pouvoir l'ignorer, pas plus que l'oeuvre d'un Marcel Proust, d'un Alexandre Dumas ou encore d'un Victor Hugo !

Mais l'intérêt inouï de "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé", qui lui fait très largement surpasser toutes ces autres oeuvres d'écrivains renommés, est qu'il est désormais prouvé scientifiquement que cette oeuvre n'a pas pu trouver son origine dans l'imagination de son auteur, et que seule une inspiration divine sous forme de visions a pu la susciter, et lui faire mériter tant d'éloges de la part des plus hautes autorités de l'Eglise, et en tout premier lieu, de la part du pape Pie XII en personne, comme son plus intime confident Mgr Carinci le confirma par écrit.



Peut-être serait-il temps de suivre avec confiance son indication :

"Publiez cette oeuvre. Point n'est besoin d'influencer d'avance le lecteur sur ce qu'il doit croire : ceux qui liront comprendront."
201,2 k
apvs

Pour répondre à la citation de saint Paul II Timothée 4, 3-4, qui est totalement inappropriée ici pour parler des écrits de MV, puisqu'il ne s'agit certainement pas de "se donner à travers eux, par refus de la saine doctrine, des docteurs selon nos désirs, l'oreille nous démangeant", comme le font allègrement toutes sortes de sectes infestées par des pensées hétérodoxes ( mormons, TDJ, et en d'autres temps : arianistes, monotélistes, nestorianistes, docètes etc... ).
Le Christ donne au contraire cette révélation privée pour combattre le modernisme largement répandu de nos jours, pour ranimer en chacun l'amour des Ecritures Saintes, réaffirmer les dogmes catholiques dans toute leur force, et spécialement en mettant comme jamais la lumière sur la réalité de son Incarnation, qui unit sans confusion ni division son Humanité à sa Divinité.
Rien dans l'enseignement du Christ que relate MV ne correspond aux désirs des hommes mondains, ni de ceux de notre époque, ni de ceux des temps anciens : il s'agit purement et simplement de l'enseignement biblique et évangélique dans toute son exigence et sa sainteté, résidant dans l'Amour allant jusqu'à celui des ennemis, sans la moindre concession au mal quel qu'il soit.
Les fables ne conduisent jamais à la Vérité, mais en détournent, bien souvent pour des profits malhonnêtes.
Les paroles de vie éternelle données par Dieu dans ces écrits séparent du profane, et conduisent les brebis perdues vers les verts pâturages de la Sainte Écritures. La plupart de ceux qui redécouvrent la foi par ce moyen ne lisaient jamais la Bible, et la lisent avec avidité ensuite, en la comprenant dans sa signification catholique.
Tout le chapelet des prevenances contre l'esprit du monde, dénonçant les péchés et les dérives spirituelles qu'il occasionne, sont certes à recevoir, mais pas pour combattre un des plus grands remèdes à tous ces maux : la connaissance du Christ et de la sainte Trinité, à la disposition de tous, et spécialement des prêtres.
Un thomiste chevronné, dominicain, fit un jour un parallèle étonnant et méticuleux entre la somme de saint Thomas d'Aquin et l'oeuvre de MV, montrant leur parfaite parenté, et allant jusqu'à dire que MV permettait d'éviter le dessèchement de l'âme que peut occasionner le thomisme pur et dur.
Puisque tout votre mot, si charitable qu'il puisse être, est en complet décalage avec la réalité, on pourrait se demander : "Mais alors, quelle parole pourrait nous rassurer dans l'accueil des écrits de Maria Valtorta ? "
Cette parole de saint Paul, la voici :
N’éteignez pas l’Esprit,
ne méprisez pas les prophéties,

( Terrible avertissement pour ceux qui, pour avoir méprisé les prophéties - puisqu'est prophétie tout ce qui nous vient encore aujourd'hui de Dieu, soit par la sainte Vierge, soit par telle ou telle révélation privée authentique - éteignent l'Esprit-Saint dans le cœur des autres et le leur ! )
mais discernez la valeur de toute chose : ce qui est bien, gardez-le ;
( terrible avertissement pour ceux qui sont même capables de confondre le bien avec le mal, et se font fort d'enseigner ensuite aux autres le rejet de ce qui est bien !!
Malheur à ceux qui, ayant connus dans toute leur sainteté les écrits de Maria Valtorta, ne savent même pas en parler positivement à leur entourage ! )
éloignez-vous de toute espèce de mal.
( Et quel plus grand mal que cette suprême perversion proclamant que le bien est un mal ! Terrible malediction du sot aveuglement pharisaique.)
Que le Dieu de la paix lui-même vous sanctifie tout entiers ; que votre esprit, votre âme et votre corps, soient tout entiers gardés sans reproche pour la venue de notre Seigneur Jésus Christ.
Voilà le but commun à tous les authentiques écrits spirituels, que ce soient ceux des saints, ou ceux inspirés du Ciel à des petites âmes privilégiées telle Maria Valtorta.

apvs

Joseph-Marie, votre démonstration repose sur un sophisme pas très habile, selon lequel :
" Il est bien dit - dans toutes sortes de prophéties que nous seuls sommes capables d'interpréter, et que nos oreilles nous démangent d'entendre ad nauseam - qu'il y aura du mal, DONC Maria Valtorta, c'est mal, et nous pouvons l'accuser de tous les maux, même sans raison, puisque par principe, nous avons raison de présenter ces écrits comme un mal, sans pourtant les connaître. Nous pouvons par conséquent aller jusqu'à conspuer sans preuve ceux qui défendent la catholicité de ces écrits, fussent-ils papes, saints ou bienheureux."
L'injustice et la totale partialité de cette démonstration crie l'évidence.

apvs

Merci Joseph-Marie, pour ce mot si charitable, ne correspondant strictement à rien de l'oeuvre de Maria Valtorta, qui de fait fut approuvée avec raison par sa sainteté le pape Pie XII, comme en témoigne son plus intime confident Mgr Carinci, et dont le bienheureux Gabrielle Allegra, bibliste de renom, fit une si belle et vibrante apologie, tout comme Mgr Roschini, le plus éminent mariologue du XXe siècle, affirmant que : même dans la somme de tous les ouvrages qu'il pouvait avoir déjà lu par ailleurs, jamais il n'avait trouvé quelque-chose arrivant à la cheville de ce que décrit l'œuvre de MV de la sainte Vierge. C'est pour lui la même comparaison qu'on pourrait faire entre une Vierge de carton pâte, et une Vierge vivante, au naturel, dans toute la splendeur de sa perfection. ( cf introduction de son livre sur "Marie dans Maria Valtorta" )
Marie enseigne-t-elle donc dans l'oeuvre, et donc : non conformément aux ordres de saint Paul ?
Négatif. Marie n'est même pas admise à participer avec les hommes à la sainte Cène, réservée exclusivement aux Douze : jamais elle ne se met en avant et ne prend la place de Jésus, jamais on ne l'y verra être envoyée par Lui pour prêcher aux habitants de la Palestine ( ce qui est un comble, si par ailleurs on l'accuse ainsi d'enseigner ! ).
Non, Marie n'est jamais ni une enseignante, ni un prêtre en chair, tout comme il convient à une humble femme. Elle est montrée soumise en tout aux bons vouloirs de son Fils, le respectant comme Dieu, l'aimant comme son Fils, Le laissant aller à sa Mission, et parfois revenir vers elle, comme un bon Fils sachant honorer sa Mère demeurée veuve, selon le précepte de l'apôtre saint Jacques : "La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde." ( Jacques 1,27 )
Ce que Dieu demande aux hommes, Il l'accomplit Lui-même, le Premier !
Mais on l'a voit prendre toute sa place de femme et de Mère, lorsqu'à Cana, elle provoque le premier miracle de son Fils par son humble demande à Jésus, accompagnée de son ordre aux serviteurs : Marie n'est pas la "grande muette", elle sait parler, agir, et même commander et se faire obéir, avec tact et douceur, mais fermeté. Tout le contraire d'une mauviette.
On la voit par ailleurs être authentiquement le "Refuge des pécheurs" , "l'Espoir des désespérés" comme ne cesse de le chanter l'Église, lorsqu'elle accepte en tant que Mère, de prendre soin de l'âme de Marie Magdeleine pour la guérir par sa tendresse maternelle, ou de celle d'Aglaé, et encore de celle de Judas, surmontant son dégoût pour le péché : la Coredemptrice ne pouvait rester sans rien faire, ne faisant preuve que de faiblesse. Elle est ainsi le parfait Modèle de toutes les mères abbesses ayant charge d'âmes, et pas forcément de saintes âmes dès le départ, amenées à parler, en enseignant, redressant, dirigeant autrui, dans la mesure de ce que Dieu leur confie, et sans se prévaloir de plus que cela.
Non, Marie n'a certes pas moins parlé et enseigné sur le plan de la direction spirituelle, que ne le font couramment les mères abbesses dans leurs couvents.
Où donc l'Evangile approuve cette conduite, qu'il ne rapporte pourtant pas explicitement ? Ici : "Voici ta Mère". Si le Christ, à ce moment ultime, n'a pas honte de mettre ainsi en avant ce lien de maternité entre Marie et tous les hommes ses frères, c'est qu'Il n'en a jamais eu honte non plus durant toute sa vie publique, c'est que Marie n'a jamais été pour Lui uniquement un "pauvre petit être fragile et indigne, à cacher sougneusement sous un boisseau", mais une lumière à mettre sur le lampadaire, avec toute la délicatesse et la pudeur nécessaire cependant, mais sans jamais s'y dérober lorsque cela convenait de le faire, spécialement devant ses plus proches disciples.
Dans l'oeuvre, si parfois Marie, obéissant en cela à Jésus, est amenée à témoigner devant les apôtres de ses souvenirs de la Nativité lorsqu'ils visitent ensemble la grotte de Bethléem, ce n'est pas non plus en qualité d'enseignante, mais de première témoin de cet événement.
Et qui pourrait donc ignorer que les souvenirs de Marie furent recueillis pieusement par saint Jean, et donc aussi par les autres apôtres, comme autant de reliques vénérables, et que saint Luc en particulier témoigne grâce à cette source de la Nativité ? Qui aurait été assez stupide voire criminel, pour ne pas vouloir entendre Marie raconter ce qu'elle savait de son Fils, de chaque événement qu'elle "gardait et méditait en son Coeur", non pas égoïstement pour elle seule, mais pour tous des élus ?
Si déjà dans l'Église, personne ne piétina le témoignage de la petite Bernadette Soubirous sur ces apparitions, au prétexte que selon saint Paul "une femme ne devrait pas enseigner", à combien plus forte raison la sainte Vierge fut-elle donc entendue par les apôtres, selon la Tradition elle-même ?
D'autre part, la pluspart du temps, c'est le Christ qui parle d'elle dans l'oeuvre, et Marie se contente alors d'une humble passivité, sans influencer son Fils, Le laissant décider en Maître de ce qu'Il voudrait dire ou bien taire, car "Je veux vous révéler toute la vérité, sans rien vous cacher. Je viens de vous dire que, s’il est bon de tenir cachés les secrets d’un roi, il faut révéler les œuvres de Dieu comme elles le méritent." ( Tobie 12,11)
Enfin, Marie parle pour commenter l'oeuvre elle-même, depuis l'Éternité : qui a-t-il entre cela de nouveau par rapport à tant et tant d'autres apparitions, comme Lourdes, la Salette, Fatima ou encore Kerizinen ou san Damiano, où la Vierge Marie, Reine du Ciel et Souveraine des cœurs, enseigne aux hommes les chemins de la conversion, souvent même de manière prolixe ? Il n'y a aucune différence, car la Vierge est la même ici et là, il n'y a pas deux Vierges : une muette selon saint Paul, l'autre prolixe selon le Ciel !
Marie parle, car elle a le triple privilège :
- d'être notre Mère, qui aime ses enfants
- d'être l'Immaculée Conception, la seule à échapper à la malédiction d'Eve
- et d'être surtout la Mère de Dieu, régnant en cette qualité suréminente à la droite du Christ dans le Ciel, étant Celle à qui tous le peuple des pécheurs s'adresse continuellement nuit et jour depuis cette terre d'exil, esperant son aide compatisante et son intercession !
Or Marie n'a rien d'une idole muette et froide comme la pierre ! Elle est au contraire vivante, ressuscitée avec son Divin Fils après avoir subit avec Lui sa Passion, en tant que Reine des Martyrs !
Et celle à qui l'on ne cesse de s'adresser avec autant de liberté et de confiance, de constance et d'insistance comme des enfants se jetant aux genoux de leur tendre mère, comme à l'unique planche de salut sans laquelle, au dire de saint Alphonse de Ligori, "personne ne pourra être sauvé" ( !!! ), n'aurait d'autre droit que de se taire ?
Quels affreux monstres de l'enfer ont pu donc inspirer une telle épouvantable supposition aux hommes, si éloignés du Projet de Dieu qui est que tout homme parvienne si possible au salut ?!
Voilà bien ce qui est abominable, digne d'un absolu rejet : que Dieu puisse traiter ainsi sa propre Mère tout comme le ferait le plus monstrueux et indigne mari musulman à l'égard de sa pauvre femme voilée dans un sac, traitée comme un sujet de honte !!! Mais quelle horreur digne des plus graves condamnations ! Dieu n'est pas ainsi,, et honte à qui oserait l'insinuer.
Voilà pour Marie, dont les descriptions et paroles dans l'oeuvre de Maria Valtorta sont sujets d'admiration et de profonds enseignements, et non pas de polémiques ou de scandales.

apvs

Vous écrivez que Si MV est fausse, alors les quatre Évangiles sont faux également ( ce qui est impossible ), car MV n'en est pas un 5e, mais une simple redite fidèle des quatre !!! Pouvez-vous la prouvez cette énormité, par des références S.V.P. et non par vos opinions personnelles ;
Ma référence est toute l'oeuvre de Maria Valtorta que vous n'avez pas lu ou fort peu, pour l'accuser comme vous allez le faire ci après ; ainsi que les quatre Evangiles dont MV ne fait que redire en détails l'enseignement et les événements, les nouveaux épisodes n'étant absolument pas essentiels, mais prévisibles, vu que les quatre Evangiles sont très compendieux, ne retraçant pas comme peut le faire MV pratiquement 1 jour sur 3 de la vie publique.
Votre question manque d'ailleurs de sens : l'étude critique d'une œuvre à en effet pour principale référence... cette oeuvre elle-même. Ou alors, le jugement que l'on rend est faux par principe. Par exemple : je peux sans vous connaître vous accuser de vol ! Quel importance possède alors mon accusation ? Aucune.

ce que vous avancez, en fait, est un blasphème,
Ah bon, j'ai blasphémé... et bien voyons cela !
car 1) l'Évangile ne dit jamais que la Révélation n'est pas close ;
Euhhhhh.... l'Evangile ne dit pas non plus le prix du pain. Il y a beaucoup de choses qu'il ne mentionne pas. Mais quel est ici le rapport avec la choucroute ?? Vous voulez e arriver à quoi exactement ??? Le savez-vous vous-même, ou bien dites-vous cela parce que vous êtes à cour d'arguments ?
La Révélation apostolique est close depuis la mort du dernier des douze apôtres. Mais cela n'a jamais empêché ensuite le Ciel de parler, sans que cela ne modifie d'un iota cette Révélation.
Bof bof. Passons à la suite de mes "blasphèmes" :

2) l'Évangile ne dit jamais que Notre-Seigneur aurait eu le mal en Lui ;
Alors là, nous voici - pardonnez-moi - au cœur même du délire le plus complet. Car nul part il n'est suggéré dans l'oeuvre de MV une telle énormité, qui m'apparaît plutôt comme une tentative aussi capilotractée que désespérée de la mettre au banc des accusés.
Cela n'amène à aucune réponse, sinon celle-ci : lisez, et relevez donc un seul passage qui étayerait un tel chef d'accusation. Car Jésus est décrit toujours comme le Seul parfaitement étranger au péché, alors même que durant sa Passion, Il souffre à la place des coupables, comme si Lui-même était devenu le péché - ce qui n'en fait certes pas un coupable , et qui est on ne peut plus conforme à la christologie paulinienne. -

3) l'Évangile ne dit jamais que le péché d'origine était l'acte sexuel, mais bien l'acte de désobéissance.
Avec insistance, Jésus explique bien dans l'oeuvre que le péché d'origine fut au contraire, non pas "le péché sexuel", mais en premier celui d'orgueil : affirmer l'inverse est un faux témoignage, mais je peux tout aussi bien affirmer sans preuve que vous êtes un voleur, cela ne mange pas de pain, et c'est très facile.
L'acte sexuel, qui n'était en rien entaché de péché à l'origine ( quelle que puisse en avoir été la réalité originelle ), fut par voie de conséquence gravement atteint par le péché d'orgueil dont le fruit pourri fut la luxure, le désir concupiscent séparé de la saine procréation, ce que seuls les parfaits imbéciles seraient à même de ne pas constater de leurs yeux, encore de nos jours.
Cela n'enlève en rien la sainteté du mariage, que l'œuvre ne cesse tout du long de magnifier au dernier degré, sans faire du sexe une souillure, pas plus que ne le font les quatre Évangiles.

Or, Valtorta enseigne tout le contraire de ces trois points, dites-vous sans aucune preuve.
C'est évidemment complètement faux.

Comment pouvez-vous dire que l'oeuvre de Valtorta est une réédition fidèle des Évangiles !!! (sic)
Parce que c'est vrai. Il suffit de lire, non comme un accusateur, mais comme un simple lecteur, sans malice ni esprit de chicane.
Ce qu'ont fait S.S.Pie XII, monseigneur Carinci son intime confident, Mgr Roschini, le bienheureux dom Allegra, Mgr Williamson et tant d'autres, en arrivant tous à la même conclusion : cette oeuvre est magnifique, et en tout point conforme à la foi catholique.

apvs

Maria Valtorta n'a apporté aucune modification, ni aucun élément nouveau, au niveau du dogme catholique dans ses écrits : ne me dites pas, cher Joseph-Marie, que vous n'avez pas pris connaissance de ma réponse détaillée à don Guillaume Chevallier, vous limitant exclusivement à une étude à charge ! Si tel est le cas, votre procédure est indigne d'un chretien, qui aurait la prudence d'entendre les opinions des uns et des autres avant de rendre un verdict, ce que le SO n'a pas daigné faire, refusant d'entendre Maria Valtorta.
Or les réponses que j'apporte à don GC sont la pluspart du temps celles des saints eux-mêmes, ni plus ni moins.
Est-ce que l'opinion des saints n'aurait donc pour vous pas la moindre valeur, Joseph- Marie ?
Vos "accusations" sont un cul-de-sac intellectuel, puisqu'elles voudraient créer artificiellement ce qui en réalité ne se trouve pas dans l'oeuvre, que visiblement vous ne connaissez pas davantage que celui qui a produit votre article accusatoir de référence.
Et je vous rappelle que vous êtes malencontreusement tombé sur un orphevre en la matière : j'ai lu sur le dossier Valtorta largement plus que 17 pitoyables pages accusatoires ne pouvant tromper qu'un public d'ignorants, et c'est cela qui nous différencie vous en moi : du dossier Valtorta, vous ne savez rien, n'ayant pas voulu en prendre connaissance. Alors que rien de ce dossier Valtorta ne m'est inconnu.
Ce n'est donc pas vous qui pouvez en juger.

1 autre commentaire de apvs
apvs

Mgr Pépé était un felon avéré, un mauvais serviteur qui s'était attaqué plusieurs fois au saint padre Pio ( un hérétique de la secte conciliaire, lui-aussi ? 😂 ) : en rétribution de ses deloyaux service, et suite à une récidive, il fut démis sans ménagement de ses fonctions, et après lui, le SO tout entier fut dissoud, sans que cela ne soulève la moindre émotion parmi les cardinaux, tant on savait cette peine méritée. Il est opportun de savoir à ce sujet que le SO, qui serait permis par exemple en d'autres temps de mettre à l'index l'oeuvre de saint Jean d'Avila, ou "les trois mousquetaire" d'Alexandre Dumas, ne jugea pas necessaire par contre de mettre à l'index des ouvrages tels que "Mein Kampf" de la bête autrichienne, ou le petit livre rouge de Karl Marx ! ( authentique).
C'est bien décrire ici quelle calamité était devenu le Saint Office au cœur de l'Église, et l'urgence où cette dernière était de le réprimander avec la plus grande sévérité, ce qui fut fait : aucun de ses actes ne peut plus aujourd'hui être reconnu pour valable, pas plus la mise à l'index DISCIPLINAIRE de l'oeuvre de MV ( c'est-à-dire ne concernant pas l'oeuvre en elle-même, qui fut par la suite réputée comme "bonne" par le même SO sur son déclin) que les autres.
Par ailleurs : Vicka de Medjugorge croit aussi aux quatre Evangiles ! Les protestants aussi ( du moins d'après eux ). Est-ce une raison pour se méfier nous-même des quatre Evangiles et ne plus y croire ? La réponse est bien évidemment non.
Tous vos arguments sont péremptoires, et manquent cruellement de consistance, à la différence des miens qui eux sont basés sur les saintes Écritures, les écrits patristiques et ceux des mystiques reconnus et approuvés par l'Église.
Votre article est ce que les anglais appellent : un bullshit.

4 autres commentaires de apvs
apvs

maria-valtorta.org/Publication/TOME 03/03-060.htm
6 ) Jésus et Marie – conséquences d’une grossière …
maria-valtorta.org/Publication/TOME 04/04-111.htm
maria-valtorta.org/Publication/TOME 07/07-170.htm
14 ) Des "gestes ambigus" dans l’EMV ? - réfutatio…
Et voilà, c'est plié : vos arguments sont à plat, cher Steph Manu Jean.
Quoi d'autre ?

apvs

1ere question : combien d'âme MV a-t-elle emmenée dans les bras de satan ? réponse 0. Si quelqu'un y a été, ce ne peut être en raison de cette sainte lecture, mais en dépit d'elle.
Si MV est fausse, alors les quatre Évangiles sont faux également ( ce qui est impossible ), car MV n'en est pas un 5e, mais une simple redite fidèle des quatre.
Si MV est fausse, alors S.S.Pie XII ne connaissait pas Notre Seigneur Jésus-Christ, ce qui est absurde. Or nous savons par Mgr Carinci ( preuve écrite à l'appui ) qu'il était totalement favorable à l'œuvre, après l'avoir lue.
Les Pères de l'Église n'ont jamais revendiqué d’avoir écrit les derniers textes théologiques valides. Donc, à moins qu'une oeuvre présente des erreurs théologiques notoires, elle peut très bien être accueillie sans que ce soit une infidélité à la Tradition, mais plutôt une continuité de cette dernière, qui est toujours vivante.
Or l'œuvre de MV ne présente aucune erreur théologique : la lire est donc pleinement compatible avec la fidélité à la Tradition, dont elle fait partie intégrante.
La bêtise est le reniement des Dons de Sagesse et d'Intelligence qui sont ceux de l'Esprit-Saint.
Or Dieu ne nous a pas envoyé les dons de bêtise et d'obscurantisme, en voulant nous illuminer par les Sept Dons Sacrés du Divin Paraclet.
Qui choisit donc de croupir dans sa bêtise et son obscurantisme est par là-même étranger à Dieu et à ses Dons, qui eux, rendent libres et clairvoyants dans la véritable obéissance du cœur à Dieu.

apvs

Steph Manu : C'est très bien de rejeter, comme vous l'avez fait, ce qui est mauvais et frelaté. Je le fait également, grace à ma solide formation en patristique.
Mais c'est par contre très mauvais et injuste d'en faire comme vous un prétexte pour rejeter et condamner sans aucun discernement ce qui est bon et source de tant de grâces.
Nous n'insultons personne, nous défendons seulement avec le zèle de l'amour ce qui vient de notre Seigneur et Maître, et non du démon.
Que vous préfériez personnellement les ouvrages du vénérable père Louis du Pons, c'est très bien, mais cela ne vous autorise pas à conspuer les autres sources valables de saines méditations, conduisant à la connaissance de Dieu.
Nous ne vous accusons certainement pas, ni vous ni Joseph-Marie, d'être de mauvaise volonté dans votre intention louable de prévenir les âmes contre le mensonge du démon, bien au contraire.
La seule et unique chose que nous déplorons, c'est que pour ce qui est de Maria Valtorta, votre zèle est très mal éclairé : vous ne connaissez toujours pas un seul élément véridique du dossier Valtorta, et son oeuvre ? vous ne l'avez même pas lue, même pas en partie, tout comme 99% des détracteurs acharnés, et ne savez strictement rien de ce que vous critiquez.
Nous voudrions simplement vous épargner la honte de prendre un jour conscience que vous avez été de ceux qui ont combattu d'arrache-pied contre les plans de salut de notre Seigneur pour l'humanité.
Il y a bien des voies catholiques qui mènent au Ciel : vous ne participerez sans doute jamais à un office divin en rite byzantin, mais toujours exclusivement au rite tridentin. Pourtant, vous commettriez une très lourde erreur si vous condamniez pour ce seul motif ceux qui fréquentent ce rite différent du vôtre, tout aussi valable que le vôtre.
C'est exactement la même chose en ce qui regarde l'oeuvre inspirée du Ciel à MV. Rien ne vous oblige à la consulter, mais rien non plus ne vous autorise à la combattre.
Plus vous la combattrez ( je n'ai pas la moindre illusion, rassurez-vous : je sais que vous continuerez ) , plus vous la renforcerez.
Oui, vous faites vivre certes des moments douloureux à ceux qui l'ayant lue, ne peuvent que l'aimer toujours plus, et en parler autour d'eux pour le bien du plus grand nombre.
Mais cette participation aux souffrances du Christ sera source de tant de gloire future, qu'il faudrait vous embrasser d'être ainsi la cause de tant de bien pour nous : cette allégresse de meriter d'être persécuté au Nom du Christ, pensez-vous pouvoir nous l'enlever ? Mais par quel moyen, s'il vous plaît ? Votre persécution des plus injustes qui soient est un escabeau mis sous nos pieds pour nous élever à une plus grande intimité avec le Seigneur et Redempteur de nos âmes.
Voilà pourquoi nous ne la craignons en aucune façon. Nous ne voudrions qu'elle cesse que parce que vous êtes nos frères, et nous vous voudrions dans la même lumière que nous.
Cette lumière, vous la refusez. Il faudra donc que vous en assumiez les conséquences, car jamais Dieu n'a donné licence à quiconque de combattre la Vérité qui vient de Lui.
Dieu étant le Dieu des miracles, qu'Il vous convertisse, et vous fasse abandonner vos erreurs.

apvs

Cher Joseph-Marie, cher QKC, chers détracteurs de Maria Valtorta, j'ai une bien mauvaise nouvelle pour vous, mais c'est mon devoir de vous en faire part.
Je sais que vous ne pouvez désormais plus ignorer que le SO ( R.I.P. + ) a bel et bien menti en affirmant que son oeuvre n'était qu'une "vie de Jésus mal romancée", cet argument étant pulvérisé par l'intelligence artificielle opérant ici comme une sorte de detecteur de mensonge ultra efficace et fiable,
je sais également que vous ne pouvez désormais plus ignorer que le SO s'est trompé lamentablement en affirmant que "les scientifiques auront certainement l'occasion dans le futur d'en établir la fausseté", alors qu'au contraire, les quelques 20 000 éléments de l'oeuvre examinés depuis peu par les outils scientifiques de toute dernière génération se sont révélés en tout point exacts et fiables !
Je sais que vous ne pouvez pas ignorer non plus que la condamnation du SO est nulle et non avenue, souffrant d'intolérables vices de procédures et ayant été purement et simplement abolie sans avoir jamais laissé la moindre trace dans les actes du Saint Siège, lesquels témoignent par contre du soutient indéfectible de Pie XII et de son entourage proche et lointain à l'œuvre,
mais ce que vous ne saviez pas encore et que je suis au regret de vous annoncer ce soir, c'est que le reste de l'argumentaire calamiteux du Saint Office ( c'est-à-dire d'une bande de gredins sans foi ni loi, calomniateurs, bandits et violeurs de bonnes femmes ) va lui aussi être démontré comme faux par l'IA, neutre et impartiale.
C'est ainsi. Il n'en restera rien. Le vent en emportera les dernières poussières, et on n'en parlera plus jamais.
RIP le Saint Office, si tant est qu'il puisse y avoir un paradis pour les calomniateurs de la vérité.

apvs

... et il y a encore pour vous une bien pire nouvelle encore que celle-ci, qui assurera en son temps le triomphe de la vérité. Elle n'est pas encore là, elle arrive bientôt, je n'en dis rien encore. Mais si vous restez bloqués dans votre impasse intellectuelle, vous serez réduit à avaler votre chapeau, à enrager ou que sais-je.
Mais je vous le dis : vous n'avez plus beaucoup de temps.

Une chose est sûre, c'est qu'apvs ne fait aucune promesse en l'air😏👍😉J'ai donc hâte de lire cette dernière bonne nouvelle qui devrait, je l'espère, empêcher d'avaler leurs chapeaux aux détracteurs mal informés. Je suis surprise de ne trouver aucun commentaire des dénommés Joseph-Marie , QKC.....les auraient-ils déjà effacés ? Tout penauds qu'ils doivent être à avaler les couleuvres du SO...... où sont passés les commentaires ?😏🤔🤨

apvs

Ce décret a été ANNULÉ pour plusieurs vices de procédures, en même temps que le SO fut dissout en raison de ses nombreuses forfaitures.
Ce décret nul et non avenu ne possède donc aucune mesure contraignante, et pas davantage avant son abolition, puisque de fait, alors que strictement rien ne l'y obligeait, la plus haute instance catholique qu'était le pape Pie XII promulga un Imprimatur verbal faisant office de loi, permettant à quiconque de lire l'œuvre sans danger pour la foi.
Ceux qui lisent donc Maria Valtorta obéissent ainsi en leur âme et conscience à la Sainte Eglise de Jésus-Christ notre Seigneur, alors que ceux qui la combattent ( ils peuvent ne pas la lire, sans doute ! ) combattent par là même la plus haute autorité que Dieu a déléguée sur la terre pour avoir charge de ses enfants : le pape lui-même.
Qui est l'orgueilleux qui pourra se dresser contre Dieu en disant : "J'avais raison contre toi ! " ?
QUIS UT DEUS !!!

apvs

C'est là votre erreur : il n'y eut aucune condamnation de l'œuvre de la part du Saint Siège, qui lui fut bien au contraire ultra favorable, allant jusqu'à consulter Maria Valtorta pour qu'elle lui donne ses indications pour retrouver la tombe de saint Pierre.
On ne consulte pas avec autant d'égards une fausse mystique, du moins pas dans l'Eglise catholique, du moins : pas le Pape ni ses proches.
Le SO, quant à lui, ne parvint même pas à laisser la moindre petite trace de ses avis défavorables dans les actes du Saint Siège.
Vous aimez le latin, cher ami. Vous comprendrez donc facilement ceci : "Errare humanum est ; perseverare diabolicum. "

apvs partage ceci

Qu'ajouter encore ?
Une oeuvre
"mal romancée" pourrait-elle être jugée par un robot surpuissant et impartial comme étant "d'une grande beauté littéraire", "au style très orné et contemplatif magnifique" ? Vraiment ?
---> Peut-être faudrait-il dès à présent songer à renoncer une bonne fois pour toutes à la supercherie humaine, et reconnaître enfin humblement la vérité : à savoir que l'oeuvre de Maria Valtorta est un tel chef d'oeuvre déjà sur le seul plan littéraire, qu'au strict minimum nul ne devrait pouvoir l'ignorer, pas plus que l'oeuvre d'un Marcel Proust, d'un Alexandre Dumas ou encore d'un Victor Hugo !
Mais l'intérêt inouï de "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé", qui lui fait très largement surpasser toutes ces autres oeuvres d'écrivains renommés, est qu'il est désormais prouvé scientifiquement que cette oeuvre n'a pas pu trouver son origine dans l'imagination de son auteur, et que seule une inspiration divine sous forme de visions a pu la susciter, et lui faire mériter tant d'éloges de la part des plus hautes autorités de l'Eglise, et en tout premier lieu, de la part du pape Pie XII en personne, comme son plus intime confident Mgr Carinci le confirma par écrit.
Peut-être serait-il donc temps de suivre avec confiance son indication :

"Publiez cette oeuvre. Point n'est besoin d'influencer d'avance le lecteur sur ce qu'il doit croire : ceux qui liront comprendront."

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tengu san

L'Evangile tel qu'il m'a été révélé
est un révélateur d'a quel point il y a des forces au sein de l'église qui agissent (consciemment ou imbécilement) contre le Seigneur Jésus notre Dieu.
Si toute l'église permettait de rendre connu cette œuvre, alors il y aurait de nombreuses conversions, un renouveau et renforcement de la foi, et une bien meilleure compréhension de l’Évangile, de l'importance de l'église Catholique pour Jésus, et la très sainte Vierge Marie serai enfin connu pour ce qu'elle est !
Mais non il est plus important de cracher et renier les racines traditionnelle, et rendre l'Église soumisse et actrice du nouvelle ordre mondiale.
La communauté ici est un bon exemple :
avec des catho fack-checker, et des divisions qui n'ont pas lieu d'être.
Jésus est Roi, il donne les sacrements à qui il veux quand il veux sous la forme qu'il veux !! Restons à notre place de petite créature en Amour et confiance devant notre Dieu.
Nous devrions tous être uni, derrière la Vierge, et pas divisé derrière des bêtises humaines.

Tengu san
Comme je suis d'accord avec vous! 👍🙏🏻
L'évangile révélé à Maria Valtorta est le récit de l'Amour, au sens de Charité et de Miséricorde. Comprendre mieux et mieux aimer Jésus, et entrer dans les mystères du Rosaire avec un coeur nouveau.
C'est aussi " une épée à double tranchant qui pénètre jusqu'à séparer âme et esprit, jointures et moelles; Elle juge les sentiments et les pensées du coeur." Hébreux 4, 12....
Car La Parole de Dieu est vivante et efficace !
Lire jour après jour cet Évangile nous transforme et nous rapproche de notre Seigneur, nous conduit à examiner notre coeur et toute l'ivraie qui s'y est glissée depuis notre naissance tout en nous inondant de cet AMOUR et en nous permettant d'approfondir notre conversion.....et de nous améliorer, de travailler à notre Salut.
"Elle juge les sentiments et les pensées du coeur"
Lire cet Évangile révélé en parallèle avec les Saintes Écritures ne peut porter que de bons fruits dans nos vies. Nous sommes appelés à aimer Dieu et notre prochain......mais aussi nos ennemis, nous manquons d'enseignement, d'accompagnement spirituel, et cet Évangile offert par Notre Seigneur nous apporte intimité avec Lui et ravive notre totale Confiance en Lui.
Cette Oeuvre Divine supplée grandement à tous les manquements dont chacun de nous souffre au sein de l'Eglise.
Pourquoi une telle opposition, un tel dénigrement même ?
L'opposition du Saint Office est une totale aberration mais elle nous rappelle que le Diviseur a semé son ivraie dans le champ du Seigneur et que là encore.... à chacun de faire son choix.
Merci pour votre commentaire, et que Dieu vous bénisse ! 🙏🏻

apvs

Bravo, @tengu san de libérer ainsi la parole, en osant prendre comme vous le faites le parti de la Vérité contre celui de la lâcheté veule et rancunière qui polue aujourd'hui encore la plupart des débats sur cette merveille que sont les écrits de Maria Valtorta, inspirés du Ciel, spécialement aux plus hauts niveaux de la hiérarchie ecclesiastique.
Vous le dites d'une façon admirable : on dirait bien que peu leur importe la disparition suicidaire de l'Église, la contagion de l'islam et autre abjection, peu leur importe que les gens ne connaissent plus leur propre religion, leurs propres racines, pourvu ! oh, pourvu seulement ! qu'on les débarrasse de ce précieux Don du Ciel qu'ils abhorrent ! ... pourvu seulement qu'on cesse une bonne fois pour toutes de leur en parler ! Qu'on les laisse tranquille dans leur confortable médiocrité...
Et c'est sûr que, quand on se mêle ainsi comme eux de vouloir dicter à Dieu en Personne sa conduite, quand on pense savoir mieux que Lui ce qu'il faut à l'humanité dechristianisée pour retrouver son identité et sa foi, et quand on ne trouve rien d'autre pour remplacer ce que l'on rejette que des sermons creux, sans âme, on mérite pleinement de récolter toute sortes de mauvais fruits, ceux que nous voyons de nos jours.
Mais l'Eglise se renouvellera par la base, car le Seigneur continue d'être fidèle à ce qu'Il a promis, et souhaite que ses enfants trouvent la Vie en surabondance : et ils la trouveront, guidés par la très Sainte Vierge Marie, dans le Cœur du Christ qui les aime à la folie.
Le Seigneur a voulu que son Evangile soit connu, et il le sera. Ceux qui aiment le Bon Berger reconnaîtront sa Voix et le suivront sur les verts pâturages de sa Divine Volonté. Prions pour que de plus en plus d'évêques et de prêtres se laissent gagner par leur Pasteur, pour que notre Seigneur soit libre d'agir et d'étendre son Règne dans tous les cœurs qui en ont tellement soif.
Si toutes ces oppositions stériles sont le fruit du péché - surtout d'ogueil - , l'Amour sera le plus fort et finira par en triompher, et Dieu sera glorifié dans son Église, n'en doutons jamais !
Prions ensemble la Bonne sainte Vierge par le Rosaire, pour que soit hâté ce triomphe du Sacré Coeur de Jésus +

tengu san

Merci @apvs
Oui, l'église Catholique sera renouvelée et retrouvera ses bases authentiques 🙏
Vous avez complètement raison, nous devons prier pour que de plus en plus d'évêques et de prêtres, retrouve le nord.
Paix à vous

tengu san

@France Vappereau merci, soyez béni

apvs

Mais Joseph-Marie, vous êtes en pleine séance de désinformation ! Et je peux en parti vous excuser, car visiblement vous n'avez même pas ouvert le dossier, ce qui vous rend la tâche extrêmement compliquée pour y voir clair.
Première erreur : ce que vous brandissez comme une preuve n'est pas un acte de le secte conciliaire, puisque le Saint Office mit à l'index l'oeuvre en 1959, c'est-à-dire avant le concile Vatican II. Qui fut Pie XII pour vous ? Un schismatique ? En ce cas, nous n'appartenons pas à la même religion. La mienne est celle fondée par Jésus-Christ et confiée à l'autorité de saint Pierre et de ses successeurs.
Vous pourriez tout aussi bien me brandir sous le nez la condamnation que le Saint Office produisit en 1912 à l'encontre du saint padre Pio : que voulez vous qu'on en fasse ? C'est une "bullshit", et rien d'autre - pour employer l'anglais, puisque vous y tenez tellement.
Seconde erreur : le SO ne trouva rien, aucun motif de condamnation contre l'oeuvre elle-même, et ce ne fut pas faute de le vouloir avec le dernier des acharnements ! Mais rien à faire, ils ne trouverent en elle aucun motif de condamnation, si ce n'est qu'elle aurait été soi-disant "mal romancée", ce que dementent les lecteurs, et l'intelligence artificielle, qui y voit un chef-d'œuvre littéraire !
Non : la seule chose que le SO trouva à condamner, ce ne fut pas l'oeuvre en elle-même, mais l'empressement que ses promoteurs eurent à la publier. Cela leur permit de la mettre à l'index pour cause DISCIPLINAIRE, et non DOGMATIQUE ( savez-vous faire la distinction ? )
Entendons-nous bien, Joseph-Marie : si la cause de la mise à l'index avait été dogmatique, alors en aucun cas cette mise à l'index n'aurait pu être abolie par la suite. Si l'œuvre avait été condamnée pour des erreurs concernant le dogme, la théologie catholique, rien n'aurait pu justifier qu'on la libère ensuite de cette condamnation. Celle-ci serait restée valable pour toujours.
Mais il n'en fut certainement pas ainsi. Quels sont les faits ?
Les faits, c'est qu'il y eut dans cette fameuse "mise à l'index disciplinaire" de très graves vices de procédures.
1 ) Trois cardinaux catholiques proposerent successivement de délivrer à l'œuvre le fameux imprimatur, permettant qu'elle soit en règle pour être publiée. Mais dans le but de la sanctionner plus tard pour défaut d'imprimatur, le SO menaça physiquement ces trois prélats, qui renoncerent, ayant peur pour leur intégrité.
C'est exactement la même "méthode" qui fut employée sous l'autorité de Mgr Cauchon pour condamner Jeanne d'Arc comme relapse : on lui vola ses vêtements de femme dans sa prison, de sorte qu'elle dusse s'habiller en homme, et mériter ainsi la condamnation à mort.
Cette condamnation de Jeanne d'Arc par l'Eglise fut un forfait exactement du même type que la mise à l'index de l'oeuvre de Maria Valtorta par le SO, "pour défaut d'imprimatur", vu que ce défaut d'imprimatur avait été orchestré de toute pièce par les accusateurs : il y eut vice de procédure, de manière flagrante, et donc nullité de l'acte.
L'Église réprouve ces méthodes qui n'ont rien à voir avec elle, et qui sont dignes des pires camoras italiennes.
2 ) Contre tous les usages catholiques en vigueur depuis 2000 ans, Maria Valtorta ne fut même pas entendue par ses détracteurs, qui refuserent de la rencontrer avant de statuer faussement sur son oeuvre, de peur qu'elle ait pu se défendre et obtenir gain de cause.
3 ) Le cardinal Pépé voulut s'emparer des originaux pour les mettre aux oubliettes, "où ils seront comme dans une tombe" ( sic ). Heureusement, il ne parvint à s'emparer que de copies, et non des originaux.
4 ) Luigina Sinapi, âme privilégiée fort bien connue de S.S.Pie XII et qui avait ses entrées au Vatican ( son histoire est disponible sur le net), fut mandatée par ses voix pour réprimander le SO au sujet de ses attaques contre MV. Elle dut se défendre contre une violente tentative de viol de la part du SO, destinée à lui faire "passer l'envie de défendre Maria Valtorta à l'avenir".
Certains de ses agresseurs moururent brutalement d'une soudaine crise de paralysie.
5 ) S.S.Pie XII reçut personnellement les promoteurs de l'oeuvre, après avoir personnellement lu pendant un an les manuscrits qu'on avait miraculeusement arrivé à lui faire parvenir.
Cette seule entrevue prouve qu'il leur était favorable, car à l'époque, on ne dérangeait pas un pape pour une fausse mystique. L'avis favorable qu'il leur laissa est donc évidemment authentique.
6 ) Du vivant de Pie XII, le SO ne remua pas une oreille ! Comment cela se fait-il ? si le SO avait eu bonne conscience et avait agit en conséquence, il n'aurait pas attendu..... 10 ans ( !!! ) avant d'enfin mettre l'oeuvre à l'index, surtout si elle était dangereuse pour la foi des fidèles ! Il n'aurait pas perdu une seule seconde pour l'interdire.
Le simple fait qu'il attendit patiemment la mort de Pie XII pour enfin cracher son venin prouve sa perfidie : quand on craint ainsi l'autorité, et qu'on attend qu'elle disparaisse pour agir, c'est qu'on a quelque chose de très grave à se reprocher, c'est qu'on fait le mal, et non le bien.
7 ) Le Saint Office changea ensuite d'avis ! ( notamment sous l'impulsion d'un de ses conseillés, Mgr Roschini de très glorieuse mémoire, fondateur de l'Institut théologique Marianum, le plus éminent mariologue du XXe siècle). Le livre de MV devint subitement pour lui "un bon livre".
D'autres exemples de revirement complet d'opinions existent, prouvant que ces opinions d'un moment ne peuvent en aucune manière représenter le jugement définitif de l'Eglise catholique.
8 ) Pour tous ses vices de procédures, la mise à l'index disciplinaire du SO a l'encontre de l'oeuvre de Maria Valtorta fut dissout avec lui.
C'est-à-dire que le papier que vous brandissez à la suite de la "commission des évêques de France" est un document annulé, qui est exactement : du vent, en tout et pour tout, et rien de plus.
C'est comme si cette condamnation frauduleuse n'avait jamais existée, et c'est sur elle pourtant que vous vous basez pour en tirer votre très fausse conclusion.
Je n'ai contre vous pas le moindre grief personnel si vous m'en croyez, mais je vous laisse l'entière responsabilité devant le Dieu Tout Puissant et souverain Juge, de la fausseté que vous exibez comme étant la seule et unique vérité, faute de vous être bien renseigné.
Bien cordialement.