« Le grand tort des temps post-révolutionnaires a été de vouloir demander aux prélats et au Pape en particulier de combler le déficit politique. En France, cela s’est exprimé par l’ultramontanisme. Celui-ci fut un temps salutaire, mais ses excès eurent pour conséquence le Ralliement, la condamnation de l’Action Française et, pire encore, une certaine papolâtrie, qui mena finalement à l’expansion de la crise post-conciliaire. On a en effet confondu la parole de Dieu et la parole du Pape dans un cléricalisme outrancier et destructeur…