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Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme. VINCENT PEILLON est ministre de l'Education nationale ! 00:29 : "Il faut s'enfanter soi-même et donc faire le propre récit de sa naissance"; 02:19 : "On …More
Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme.
VINCENT PEILLON est ministre de l'Education nationale !
00:29 : "Il faut s'enfanter soi-même et donc faire le propre récit de sa naissance"; 02:19 : "On ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l'Eglise catholique. Donc il faut remplacer ça. [...] On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Comme on ne peut pas non plus acclimater le protestantisme en France comme on l'a fait dans d'autres démocraties, il faut inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine, qui doit accompagner la révolution matérielle, mais qui est la révolution spirituelle, c'est la laïcité. Et c'est pour ça d'ailleurs qu'au début du XXe siècle, on a pu parler de foi laïque, de religion laïque, et que la laïcité voulait …More
Sisyphe
« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » Honoré de Balzac
Dans son « Essai sur les Mœurs », Voltaire a défini sans ambiguïté sa vision d'un pays bien comme il faut : c'est celui où « le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne». Il importe donc à l'État d'avoir à …More
« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » Honoré de Balzac
Dans son « Essai sur les Mœurs », Voltaire a défini sans ambiguïté sa vision d'un pays bien comme il faut : c'est celui où « le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne». Il importe donc à l'État d'avoir à sa disposition une masse docile de « gueux ignorants », autrement dit de prolétaires analphabètes « n'ayant que leurs bras pour vivre et constituant cette vile multitude » dont Thiers, ce voltairien, parlera en 1850 à son tour, « prévue par la nature pour assurer l'aisance de l'élite ». Auteur de « Représentants », dans l'Encyclopédie, Diderot précisera lui sans détours que les possédants seuls sont qualifiés pour un rôle national.
Je vous présente « Les Lumières » !
L’idée d’en finir avec la religion catholique n’est pas nouvelle…
Voltaire veut en finir avec le christianisme et ne s'en cache pas. « Là où douze faquins ont réussi (les apôtres, ces marins-pêcheurs, ces méprisables, ces gens de la tourbe) pourquoi six hommes de mérite (unissant leurs efforts) ne réussiraient-ils pas ? » La bande à Jésus a su lancer le christianisme ; d'Alembert, Diderot, d'Holbach, Grimm, Helvétius et lui-même, Voltaire, s'ils savent s'y prendre, sont tout à fait capables de détruire cette fable.
Réelle est l'influence des « Lumières » sur la Révolution et l'irréligion affirmée, offensive, militante, à la fin du XVIIIe siècle…
Le bien commun est remplacé par le profit… C’est la naissance de la République… : la société fondée sur le bien commun est remplacée par une société fondée sur le profit « pour tous »… ( le plus fort l'emporte ! ). La Révolution française et par suite la République est donc l’arrivée au pouvoir de ces traîtres à la Nation.

( Réfs : M. Henri GUILLEMIN )