Chroniques d’un impie - Deuxième partie

Miles Christi - 15/08/2015

« Ne vous y trompez pas: on ne se moque pas de Dieu » (Gal. 6, 7)

La bulle
Misericordiae Vultus : l’abolition du péché par la fausse miséricorde

Au mois d’avril François a décrété par la bulle Misericordiae Vultus[1] un Jubilé Extraordinaire de la Miséricorde, une Année Sainte qui s’ouvrira le 8 décembre, date à laquelle sera fêté le cinquantième anniversaire de la clôture du CVII, peu de temps après la fin du Synode des Evêques sur la famille, qui se terminera le 19 octobre, le jour de la canonisation de Paul VI. Cette Année Sainte s’inscrit donc dans la commémoration du CVII car, selon François :

[…] l’Eglise ressent le besoin de garder vivant cet événement. C’est pour elle que commençait alors une nouvelle étape de son histoire. Les Pères du Concile avaient perçu vivement, tel un souffle de l’Esprit, qu’il fallait parler de Dieu aux hommes de leur temps de façon plus compréhensible. Les murailles qui avaient trop longtemps enfermé l’Eglise comme dans une citadelle ayant été abattues, le temps était venu d’annoncer l’Evangile de façon renouvelée.

Les « murailles » qui gardaient la foi ayant été « abattues » par ce concile se voulant « pastoral », François cherche à abattre celles qui protègent encore la morale par le Synode des Evêques d’octobre prochain, lui aussi convoqué dans une finalité seulement « pastorale », bien évidemment.

Rappelons quelques faits servant à illustrer la façon dont François entend la « miséricorde » :

1. Le fameux « qui suis-je pour juger » les personnes « gay ».

2. L’appel téléphonique « privé » à une femme « mariée » à un divorcé et à laquelle il a conseillé d’aller recevoir les sacrements dans une autre paroisse.

3. L’appel à la « femme » transsexuelle espagnole qui lui avait fait part de la « discrimination » dont « elle » était l’objet dans sa paroisse et que François a invité à venir le voir en audience « privée », en compagnie de sa « fiancée » -aux frais du Vatican, s’il vous plaît !-.

4. Le lavement des pieds d’une autre « femme » transsexuelle le dernier Jeudi Saint, et à « laquelle » on a de surcroit donné la Sainte Communion.

Par ailleurs, François ne cherche pas à cacher sa pensée concernant la morale chrétienne en affirmant que « nous ne pouvons pas insister seulement sur les questions liées à l’avortement, au mariage homosexuel et à l’utilisation de méthodes contraceptives. Ce n’est pas possible. […] Les enseignements, tant dogmatiques que moraux, ne sont pas tous équivalents. Une pastorale missionnaire n’est pas obsédée par la transmission désarticulée d’une multitude de doctrines à imposer avec insistance[2]. »

Pour montrer quel est l’esprit qui animera ce Jubilé de la Miséricorde François évoque dans sa bulle

les paroles riches de sens que saint Jean XXIII a prononcées à l’ouverture du Concile pour montrer le chemin à parcourir reviennent en mémoire : ‘‘Aujourd’hui, l’Épouse du Christ, l’Église, préfère recourir au remède de la miséricorde plutôt que de brandir les armes de la sévérité … L’Eglise catholique, en brandissant le flambeau de la vérité religieuse, veut se montrer la mère très aimante de tous, bienveillante, patiente, pleine d’indulgence et de bonté à l’égard de ses fils séparés.’’ Dans la même perspective, lors de la conclusion du Concile, le bienheureux Paul VI s’exprimait ainsi : ‘‘Nous voulons plutôt souligner que la règle de notre Concile a été avant tout la charité […] La vieille histoire du bon Samaritain a été le modèle et la règle de la spiritualité du Concile […] Un courant d’affection et d’admiration a débordé du Concile sur le monde humain moderne. Des erreurs ont été dénoncées. Oui, parce que c’est l’exigence de la charité comme de la vérité mais, à l’adresse des personnes, il n’y eut que rappel, respect et amour. Au lieu de diagnostics déprimants, des remèdes encourageants ; au lieu de présages funestes, des messages de confiance sont partis du Concile vers le monde contemporain : ses valeurs ont été non seulement respectées, mais honorées ; ses efforts soutenus, ses aspirations purifiées et bénies […] toute cette richesse doctrinale ne vise qu’à une chose : servir l’homme. Il s’agit, bien entendu, de tout homme, quels que soient sa condition, sa misère et ses besoins.’’

L’Eglise de François, « blessée » dans les « périphéries existentielles »

Et François de nous inviter par la suite à faire l’expérience des « périphéries existentielles » et à découvrir le goût pour la « nouveauté » :

Au cours de cette Année Sainte, nous pourrons faire l’expérience d’ouvrir le cœur à ceux qui vivent dans les périphéries existentielles les plus différentes, que le monde moderne a souvent créées de façon dramatique. […] Ne tombons pas dans l’indifférence qui humilie, dans l’habitude qui anesthésie l’âme et empêche de découvrir la nouveauté, dans le cynisme destructeur.

Mais il l’avait déjà expliqué lors de l’ouverture du Synode des Evêques de 2014, il faut que l’Eglise se laisse imprégner par « l’odeur des hommes » de notre époque :

Pour rechercher ce que le Seigneur demande aujourd'hui à son Eglise, nous devons percevoir ‘‘l'odeur’’ des hommes d'aujourd'hui, jusqu'à être imprégnés de leur joies et de leurs espérances, de leurs tristesses et de leurs angoisses : ainsi nous saurons proposer avec crédibilité la bonne nouvelle sur la famille[3].

L’Eglise rêvée par François se conforme au monde, se laisse modeler selon ses « valeurs » et ses « aspirations », au lieu de chercher à le convertir au Seigneur. Après avoir abattu les « murailles de la citadelle », il s’agit maintenant pour l’Eglise de sortir dans les rues respirer « l’odeur des hommes », quitte à être « blessée », mais en tout cas, plus jamais à « être malade » par « auto-référentialité », à s’enfermer dans ses propres « certitudes » et à se retrancher derrière ses dogmes du passé, à avoir la prétention que ses propres « idées » sont « uniques et absolues », mais juste une « opinion au service des personnes », plus jamais à faire du « prosélytisme » ni à « s’ingérer » dans la vie spirituelle des gens…

Je le répète souvent : entre une Église accidentée qui sort dans la rue, et une Église malade d’autoréférentialité, je n’ai pas de doutes : je préfère la première[4].

Le monde a changé et l’Église ne peut pas s’enfermer dans des interprétations présumées du dogme. Nous devons aborder les conflits sociaux, anciens et nouveaux, et essayer de donner la main pour rassurer, ne pas stigmatiser […][5].

La religion a le droit d’exprimer son opinion au service des personnes mais Dieu dans la création nous a rendu libres : l’ingérence spirituelle dans la vie des personnes n’est pas possible[6].

[…] dans ce chercher et trouver Dieu en toutes choses, il reste toujours une zone d’incertitude. Elle doit exister. Si quelqu’un dit qu’il a rencontré Dieu avec une totale certitude et qu’il n’y a aucune marge d’incertitude, c’est que quelque chose ne va pas[7].

Le prosélytisme est une pompeuse absurdité, cela n'a aucun sens. Il faut savoir se connaître, s'écouter les uns les autres et faire grandir la connaissance du monde qui nous entoure. […] C'est cela qui est important : se connaître, s'écouter, élargir le cercle des pensées[8].

Notre objectif n'est pas le prosélytisme mais l'écoute des besoins, des vœux, des illusions perdues, du désespoir, de l'espérance[9].


La fausse miséricorde de François au service de la religion mondialiste

Cette Année Sainte de la Miséricorde sera mise au service non seulement de la démolition de ce qui reste encore sur pied de la morale familiale et sacramentelle, mais aussi de la construction programmée de la religion mondiale syncrétiste, intégrant toutes les « nobles traditions religieuses », et dont les bases ont été jetées par le concile, notamment par les documents Nostra Aetate et Unitatis Redintegratio :

La valeur de la miséricorde dépasse les frontières de l’Eglise. Elle est le lien avec le Judaïsme et l’Islam qui la considèrent comme un des attributs les plus significatifs de Dieu. Israël a d’abord reçu cette révélation qui demeure dans l’histoire comme le point de départ d’une richesse incommensurable à offrir à toute l’humanité. […] L’Islam, de son côté, attribue au Créateur les qualificatifs de Miséricordieux et Clément. On retrouve souvent ces invocations sur les lèvres des musulmans qui se sentent accompagnés et soutenus par la miséricorde dans leur faiblesse quotidienne. Eux aussi croient que nul ne peut limiter la miséricorde divine car ses portes sont toujours ouvertes. Que cette Année Jubilaire, vécue dans la miséricorde, favorise la rencontre avec ces religions et les autres nobles traditions religieuses. Qu’elle nous rende plus ouverts au dialogue pour mieux nous connaître et nous comprendre. Qu’elle chasse toute forme de fermeture et de mépris. Qu’elle repousse toute forme de violence et de discrimination.

François aux vaudois : pardonnez l’Eglise pour son inhumanité

Lors de sa visite au temple vaudois de Turin en juin dernier François a encore une fois assimilé la légitime diversité des charismes à l’intérieur de l’Eglise à la « diversité » qui caractérise les innombrables sectes hérétiques, ne se privant pas au passage d’humilier à nouveau l’Eglise en demandant pardon aux vaudois pour le « traitement inhumain » dont ils auraient été l’objet de sa part. Décidément, pour François l’Eglise d’avant le CVII est coupable de toutes les forfaitures imaginables et il n’y a qu’une chose qu’Elle se doive de faire vis-à-vis du monde : s’humilier devant ses ennemis et se faire pardonner…

L’unité qui est le fruit de l’Esprit Saint ne signifie pas uniformité. En effet, les frères sont rassemblés par une même origine, mais ils ne sont pas identiques entre eux. Cela est bien clair dans le Nouveau Testament où tous ceux qui partageaient la même foi en Jésus Christ étant appelés frères, on a cependant l’intuition que toutes les communautés chrétiennes auxquelles ils appartenaient n’avaient pas le même style, ni une organisation interne identique. Au sein de la même petite communauté, on pouvait apercevoir différents charismes (cf. 1 Co 12-14) et même dans l’annonce de l’Évangile, l’on trouvait des différences et aussi des oppositions (cf. Ac 15, 36-40). Malheureusement, il est arrivé et il continue à arriver que les frères n’acceptent pas leur diversité et finissent par se faire la guerre l’un contre l’autre. En réfléchissant sur l’histoire de nos relations, nous ne pouvons que nous attrister face aux conflits et aux violences commises au nom de la propre foi, et je demande au Seigneur qu’il nous donne la grâce de nous reconnaître tous pécheurs et de savoir nous pardonner les uns les autres. Et à l’initiative de Dieu, qui ne se résigne jamais face au péché de l’homme, que s’ouvrent de nouvelles routes pour vivre notre fraternité ; nous ne pouvons pas nous soustraire à cela. Au nom de l’Église catholique, je vous demande pardon. Je vous demande pardon pour les attitudes et les comportements non chrétiens, même non humains que, au cours de l’histoire, nous avons eus contre vous. Au nom du Seigneur Jésus Christ, pardonnez-nous ! [10]

Aveu aux pasteurs évangéliques : je suis sans doute un hérétique

Le 24 mai dernier François a envoyé un message vidéo[11] pour la journée œcuménique organisée par le diocèse de Phoenix (USA) avec des évangéliques pentecôtistes. Il a affirmé que l’œcuménisme « du sang » est une manifestation de l’unité des chrétiens, au-delà de leur « appartenance ecclésiale ». Ceci n’est pas nouveau : c’est au moins la dixième fois qu’il le dit[12]. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est qu’il a reconnu qu’il s’agit probablement d’une « hérésie »…

Ce qui ne l’a pourtant pas dissuadé de l’affirmer publiquement, faisant de cette à ses yeux probable « hérésie » un argument en faveur de l’ecclésiologie novatrice des documents conciliaires Lumen Gentium et Unitatis Redintegratio, selon laquelle l’Eglise catholique ne s’identifierait pas avec l’Eglise qu’a fondée le Christ, et au sein de laquelle on retrouverait, quoiqu’à des degrés divers, une multitude d’autres « églises » et « communautés ecclésiales », même si elles refusent toutes de se soumettre à l’autorité du successeur de Pierre et qu’elles rejettent le magistère de l’Eglise catholique.

Le fait inédit que François reconnaisse que ses propos sont probablement hérétiques et que, en dépit de cela, il persiste à les revendiquer systématiquement et publiquement me semble indiquer que nous sommes confrontés à un cas d’hérésie formelle, puisqu’agissant ainsi il s’écarte de l’enseignement de l’Eglise en connaissance de cause, ne se souciant pas d’enseigner la véritable doctrine de l’Eglise en la matière…

Aujourd’hui rassemblés, moi depuis Rome et vous là-bas, nous prierons pour que le Père envoie l’Esprit de Jésus, l’Esprit-Saint, et nous donne la grâce de que tous soient un, ‘‘pour que le monde croit’’. Et il me vient à l’esprit dire quelque chose qui pourrait être une absurdité, ou peut-être une hérésie, je ne sais pas. Mais il y a quelqu’un qui sait que, malgré les différences, nous sommes un. Et c’est celui qui nous persécute. Celui qui persécute aujourd’hui les chrétiens, celui qui oint avec le martyr, sait que les chrétiens sont des disciples du Christ, qu’ils sont un, qu’ils sont frères ! Il n’a que faire du fait qu’ils soient évangéliques, orthodoxes, luthériens, catholiques, apostoliques… Cela ne l’intéresse pas ! Ils sont chrétiens. Et ce sang se rassemble. Aujourd’hui nous vivons, chers frères, l’ ‘‘œcuménisme du sang’’. Cela doit nous encourager à faire ce que nous faisons aujourd’hui : prier, nous parler, réduire les distances, devenir de plus en plus frères. […] Je suis persuadé que l’unité entre nous ne sera pas accomplie par les théologiens. Les théologiens nous aident, la science des théologiens va nous aider, mais si nous attendons que les théologiens se mettent d’accord, l’unité ne se fera qu’au lendemain du jour du Jugement Dernier[13].

Son indifférence envers la vérité est patente : François affiche un mépris souverain à l’égard des définitions magistérielles concernant l’appartenance à l’Eglise. Selon lui, l’unité de l’Eglise (qui pourtant existe déjà : c’est l’unité de la foi, note essentielle de l’Eglise catholique, seule Eglise fondée par Jésus-Christ) ne se fera que par le « dialogue » et la « culture de la rencontre », qui nous permettront de surmonter nos « querelles doctrinales » insolubles, l’Esprit-Saint faisant ainsi l’ « unité dans la diversité », harmonisant nos « différences »…

Cette notion complètement hérétique d’une « unité dans la diversité » doctrinale est un lieu commun du « magistère » bergoglien. Pour preuve, voyons ce que François disait au « pasteur » évangélique Giovanni Traettino[14] lorsqu’il lui a rendu visite dans son « temple » pentecôtiste à Caserta, dans le sud de l’Italie, en juillet 2014, et qui par ailleurs était présent lui aussi à la journée œcuménique organisée à Phoenix :

Que fait l’Esprit-Saint ? J’ai dit qu’il fait autre chose qui peut peut-être nous faire croire que c’est la division, mais ce n’est pas cela. L’Esprit-Saint fait la ‘‘diversité’’ dans l’Église (I Corinthiens 12). Lui, il crée la diversité ! Et vraiment, cette diversité est si riche, si belle. Mais ensuite, le même Esprit-Saint fait l’unité et c’est ainsi que l’Église est une dans la diversité. Et pour utiliser un belle parole d’un évangélique que j’aime beaucoup, une ‘‘diversité réconciliée’’ par l’Esprit-Saint. Il fait les deux : il crée la diversité des charismes et ensuite il fait l’harmonie des charismes[15].

« Unifier » l’Eglise par la mondialisation et le polyèdre

François utilisera des arguments pour le moins surprenants pour expliquer aux pentecôtistes que l’unité de l’Eglise ne consiste pas en l’unité de la foi, mais qu’elle doit s’inspirer de celle mise en œuvre par la « mondialisation » (!!!), ainsi que de la figure du polyèdre (???), dans lequel tous les points ne sont pas équidistants du centre, ce qui les rend « unis dans la diversité » :

Nous sommes à l’époque de la mondialisation, et nous pensons à ce qu’est la mondialisation et à ce que serait l’unité dans l’Eglise : peut-être une sphère, où tous les points sont équidistants du centre, tous égaux ? Non ! Ça, c’est l’uniformité. Et l’Esprit Saint ne fait pas l’uniformité ! Quelle forme pouvons-nous trouver ? Pensons au polyèdre : le polyèdre est une unité, mais avec toutes les parties différentes ; chacune a sa particularité, son charisme. Telle est l’unité dans la diversité. C’est sur cette route que nous, chrétiens, faisons ce que nous appelons du nom théologique d’œcuménisme : nous essayons de faire en sorte que cette diversité soit plus harmonisée par l’Esprit Saint et devienne unité ; nous essayons de marcher en présence de Dieu pour être irréprochables ; nous essayons d’aller trouver la nourriture dont nous avons besoin pour trouver notre frère. Tel est notre chemin, telle est notre beauté chrétienne ! Je me réfère à ce que mon frère bien-aimé a dit au début.

L’unité que François prône est le résultat d’une construction humaine, un consensus né du « dialogue » et de la « rencontre » entre des gens aux convictions religieuses différentes et aux divergences théologiques insurmontables. Bien sûr, pour donner le change, il assure que ceci n’est rien d’autre que l’œuvre du « Saint-Esprit », qui se charge d’ « harmoniser la diversité » pour qu’elle devienne « unité »… Il est évident qu’un tel projet n’est pas du tout catholique.

Et il est tout simplement inexplicable, à vue humaine, que cela ne soit pas immédiatement perçu par l’immense majorité du clergé, tellement la contradiction avec le magistère est flagrante, y compris sur le plan de la simple logique et du bon sens. Et que les très rares qui s’en aperçoivent n’expriment pas haut et fort leur désaccord et leur opposition irréductible face à ce qu’on ne peut que désigner comme étant une hérésie manifeste et une apostasie en règle de la foi catholique…

[1] www.vatican.va/…/papa-francesco_…
[2] newsletter.revue-etudes.com/TU_Septembre_2013/TU10-13.pdf
[3]http://fr.radiovaticana.va/news/2014/10/04/une_veill%C3%A9e_de_pri%C3%A8re_%C3%A9mouvante_en_pr%C3%A9ambule_au_synode/1107935
[4]www.vatican.va/…/papa-francesco_…
[5] http://medias-presse.info/synode-le-pape-francois-veut-reinterpreter-le-dogme/16245
[6] newsletter.revue-etudes.com/TU_Septembre_2013/TU10-13.pdf [7] newsletter.revue-etudes.com/TU_Septembre_2013/TU10-13.pdf
[8]www.repubblica.it/…/le_pape_a_scalf…
[9] Ibidem.
[10]www.vatican.va/…/papa-francesco_…
[11] visnews-fr.blogspot.com/…/prier-pour-luni… - denzingerbergoglio.com/…/el-papa-francis…
[12] denzingerbergoglio-en.com/ecumenism-of-bl…
[13] visnews-es.blogspot.com/…/francisco-reza-…
[14] yvesdaoudal.hautetfort.com/…/le-pape-francoi…
[15]www.vatican.va/…/papa-francesco_…
[16] www.vatican.va/…/papa-francesco_…
Gérard de Majella
Il me fait plus pitié qu'autre chose .
Miles - Christi
Pour plus d’informations sur le pontificat de François, on peut consulter les ouvrages suivants: Trois ans avec François: l’imposture bergoglienne et Qu’il soit anathème. Trois ans et demi avec François: la coupe est pleine, publiés par les Éditions Saint-Remi, en quatre langues (français, anglais italien et espagnol): saint-remi.fr/fr/35-livres - www.amazon.fr/Boutique-Kindle-Miles-Christi/s