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chrystusowiec

L'esprit de sagesse est le premier don de l'Esprit Saint.
Les sept dons de l'Esprit Saint sont les grâces de la Personne Divine qui est l'Amour Commun des deux autres Personnes Divines: Dieu le Père et Dieu le Fils engendré par Lui. Aimez Dieu, car Il est bon et grande est Sa miséricorde: évitez l'orgueil!
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Les fragments du Livre du Ciel sans commentaire! free.fr/Luisa.htm
Dans l’ordre divin le donateur est toujours Dieu Il est le premier à faire ses dons à la créature. Mais si elle ne fait rien pour rendre à son Créateur, ne serait-ce qu’un peu d’amour, de gratitude, un petit sacrifice. Nous n’envoyons plus rien. Car en ne nous donnant rien, elle interrompt le contact et rompt la merveilleuse amitié que nos dons réciproques allaient faire éclore.. Ma fille, donner et recevoir sont les premiers actes indispensables qui montrent clairement -que nous aimons la créature et -qu’elle nous aime. Mais cela ne suffit pas. Elle doit savoir comment recevoir -en convertissant en nature le bien reçu, -en le mangeant et -en le mastiquant parfaitement de façon à convertir le don en sang pour l’âme. Et c’est la raison de nos dons : voir converti en nature le don que nous avons fait. Car nos dons ne sont plus alors en danger et ils nous disposent à en faire de plus grands. Et la créature ayant converti notre don en nature, -elle le met en sécurité, -elle en reste propriétaire et -elle sentira en elle le bien, la source, de ce don reçu converti en nature. Et comme nos dons sont porteurs de paix, de bonheur, de force invincible et d’air céleste, elle ressentira en elle la nature -de la paix, du bonheur et -de la force divine qui formeront en elle l’air du ciel. Voilà par conséquent la raison pour laquelle je garde le silence après t’avoir fait le grand don de ma parole C’est parce que j’attends que tu manges et mastiques bien ma parole, de façon à voir que ce que je t’ai dit s’est changé en toi en nature . Lorsque je vois cela, je ressens alors le besoin irrésistible de te parler à nouveau Car un don que je fais en appelle un autre. Mes dons ne peuvent pas rester seuls. Je suis toujours porté à donner, à parler et à agir avec celui qui convertit mes dons en nature. Après quoi je pensais à la Divine Volonté et combien il me semblait difficile que son règne puisse venir. Mon bien-aimé Jésus répondit : Ma fille, -tout comme la levure possède la vertu de faire lever le pain, ma Volonté est le levain des actes de la créature. En appelant ma Divine Volonté dans ses actes, ils en reçoivent le ferment et forment le pain du Royaume de mon Vouloir. La levure à elle seule ne suffit pas pour faire beaucoup de pain. Il faut beaucoup de farine et quelqu’un qui mélange la levure avec la farine. Il faut de l’eau pour les unir et permettre de pétrir la farine avec la levure pour lui communiquer sa vertu. Puis il faut le feu pour les changer en pain que l’on peut manger et digérer. Ne faut-il pas plus de temps et plus d’actes pour former le pain que pour le manger ? Le sacrifice, c’est de le former. Le manger se fait immédiatement et on peut goûter le sacrifice. Par conséquent, ma fille, il ne suffit pas que mon divin Fiat ait la vertu de fermenter tes actes et de les vider de volonté humaine pour les changer en pain de Divine Volonté Il faut la continuation des actes et des sacrifices, et pendant très longtemps -pour que mon Vouloir fasse lever tous ces actes et former beaucoup de pain et le tenir en réserve pour les enfants de son Royaume. Lorsque tout sera formé, il restera à disposer les événements Cela est plus facile et peut se faire immédiatement parce qu’il est en notre pouvoir de faire bouger les choses selon ce que nous voulons. N’est-ce pas ce que J’ai fait pour la Rédemption ? Mes trente longues années de vie cachée étaient comme un levain où tous mes actes ont fait se lever le grand bien de la Rédemption, la brève partie de ma vie publique et ma Passion. C’est mon pain que la Divine Volonté a formé et fait se lever dans mes actes pour que par la fraction du pain chacun puisse -recevoir le pain des rachetés et -recevoir les forces nécessaires pour se mettre en sûreté. Par conséquent, ne pense plus à cela. Pense plutôt à faire ton devoir et ne laisse aucun acte s’échapper dans lequel il n’y a pas le levain de ma Divine Volonté afin qu’elle fasse se lever ton être. Je penserai à tout le reste. Je pensais ensuite : « Mais qu’est-ce que mon Jésus a gagné à ce que je sois dans ce triste état et pourquoi tient-il tant à ce que je tombe dans mes souffrances habituelles avec tous les problèmes qu’il me fait donner aux autres, ce que je pourrais appeler mon martyre ? Oh, comme il est dur d’avoir affaire aux créatures, de sentir que l’on a de toute nécessité besoin d’elles ! Cela m’humilie tellement que j’en suis anéantie dans mon propre néant. » Je pensais à cela et à d’autres choses lorsque mon doux Jésus me dit : Ma fille, veux-tu savoir ce que j’y ai gagné ? Ma Divine Volonté accomplie, et cela est tout pour moi. Un seul acte accompli de ma Divine Volonté comprend tout le ciel, la terre, et tout moi-même. Il n’y a pas -d’amour que je ne trouve en lui, -de bien qu’il ne possède, -de gloire qu’il ne me rende. Tout le reste demeure centralisé dans un acte accompli de ma Volonté. L’heureuse créature qui l’accomplit peut me dire : « Je t’ai tout donné, même toi-même, je ne peux te donner rien de plus. » Parce que ma Divine Volonté contient tout, il n’y a aucune chose ni aucun bien qui lui échappe.En accomplissant ce que Je veux, la créature découvre que c’est ma Volonté qui est en elle. Et je peux dire : « En te faisant la grâce de te laisser faire un acte accompli de ma Volonté, Je t’ai tout donné. » En vérité, en accomplissant cet acte, -mes souffrances surgissent, -mes pas, mes paroles et mes œuvres redoublent et se mettent en marche pour se donner aux créatures. Parce que ma Divine Volonté œuvrant aussi dans les créatures met en marche toutes nos œuvres afin de faire se lever la vie nouvelle. Et tu me demandes ce que j’ai pu y gagner ? Ma fille, pense à faire que ta vie puisse être un acte continu de ma Volonté. Ma fille, tous les actes accomplis par la créature dans la Divine Volonté sont confirmés par Dieu comme actes divins. Cette confirmation forme la vie de ces actes. Ils sont marqués du sceau divin comme actes impérissables toujours nouveaux et d’une beauté enchanteresse. Je pourrais appeler les actes faits dans ma Divine Volonté une création nouvelle de la créature. Lorsqu’elle accomplit ses actes dans ma Volonté, mon Fiat vient y imposer sa Force créatrice et son Acte les confirme. Cela se passe comme dans la Création : la force créatrice de ma Volonté se hâtait de créer toutes choses qui demeuraient immuables et sans jamais changer. Le ciel, le soleil, les étoiles ont-ils changé ? Ils sont tels qu’ils furent créés. Car partout où mon Vouloir place sa force créatrice, -la vie éternelle de cet acte demeure et, -confirmée, elle ne peut jamais changer. Tu vois ainsi ce que signifie agir et vivre dans ma Divine Volonté : -c’est vivre sous l’empire d’une force créatrice qui confirme et met en sécurité tous les actes de la créature en les rendant immuables. Si bien qu’en vivant dans mon Vouloir, la créature demeure confirmée -dans le bien qu’elle fait, -dans la sainteté qu’elle veut, -dans la connaissance qu’elle possède, -dans le triomphe du sacrifice. La divinité de notre Volonté faite spontanément demeure sous l’empire de l’amour -qui court irrésistiblement, -qui veut donner à la créature. Si bien que dans l’enthousiasme de notre amour l’homme a été créé par touches de nos divines qualités. Notre Être divin étant très pur Esprit, il n’avait ni mains ni pieds. Nos divines qualités nous servaient de mains pour former l’homme . Nous déversant sur lui tel un torrent impétueux, nous l’avons façonné et en le touchant nous avons infusé en lui les effets de nos suprêmes qualités. Ces touches sont restées dans l’homme On voit par conséquent en lui certaines merveilleuses qualités de bonté, de talent, d’intelligence et autres Elles sont la vertu de nos touches divines qui, -en continuant de façonner l’homme, produisent leurs effets. Elles sont nos gages d’amour avec lesquels nous l’avons pétri et qui, bien qu’il ne s’en souvienne pas et peut-être même ne nous connaisse pas, poursuivent leur office divin d’aimer notre Être divin. Or si quelqu’un touche un objet ou une personne, celui qui touche ressent l’impression de la personne touchée. Comme nos touches de divines qualités sont restées dans l’homme, l’impression de l’avoir touché est restée dans nos suprêmes qualités, si bien que nous le sentons en nous-mêmes. Alors comment ne pas l’aimer ? Par conséquent, dans la mesure où l’homme agit dans notre Volonté, nous allons à sa rencontre avec de nouvelles inventions d’amour et notre heureux refrain de l’aimer toujours. Fille bien-aimée, ma joie est immense lorsque la créature se souvient de mon Amour dans la création de l’homme. Notre amour ressemblait à celui d’une mère qui donne le jour à son enfant. Notre amour se hâtait d’enclore en lui la créature afin que partout, -à l’extérieur comme à l’intérieur d’elle-même, elle puisse entendre la voix de notre amour lui disant : « Je t’aime, je t’aime. » Le doux son de notre amour -lui murmure à l’oreille, -bat dans son cœur, et -l’embrasse ardemment et -résonne fortement sur ses lèvres, -l’étreint dans nos bras paternels comme pour lui dire en triomphe que notre amour, quel qu’en soit le prix, veut aimer la créature. Si bien qu’il n’existe rien de plus doux, rien de plus agréable, que de nous rappeler avec quel amour nous avons créé l’homme et toutes choses. Et notre plaisir est si grand que, pour l’heureuse créature qui vient devant notre adorable Majesté pour nous rappeler un si grand amour, -nous redoublons nos liens d’amour pour elle, -nous lui donnons de nouvelles grâces, une nouvelle lumière, et -nous l’appelons celle qui renouvelle notre fête. Car dans la Création tout n’était que fête pour nous et pour tous. Et la créature qui rappelle ce que nous avons fait dans la Création met en fête -notre amour, notre puissance, notre sagesse créatrice qui a créé tout l’univers avec une inimitable maîtrise, laquelle s’est surpassée dans la création de l’homme. C’est pourquoi toutes nos divines qualités sont en fête. La créature regarde ce qu’elle a mis en fête par son souvenir et son petit échange d’amour. Nos qualités divines rivalisent entre elles pour redoubler -tantôt l’amour, tantôt la bonté et tantôt la sainteté. Bref, chacune de nos divines qualités veut donner de ce qu’elle a afin de répéter dans la créature ce que nous avons fait dans la Création. Par conséquent, répète souvent le doux souvenir de l’amour insurpassable que nous avons eu 75 dans la Création. C’est une créature sortie de nous, une de nos images, un de nos enfants que nous avons mis au jour et à qui avons témoigné tant d’amour. En éveillant ce souvenir, nous l’aimons encore plus. Si bien que la Création tout entière n’est rien d’autre qu’une manifestation de notre Volonté amoureuse envers la créature. Et dans ce témoignage d’amour elle répète : « Fiat, Fiat » afin d’orner toute la Création de son parade d’amour. D’autant plus que chaque acte, parole, pensée accomplis dans notre divin Vouloir forment la nourriture de l’âme -qui conserve la vie, -qui la fait grandir et lui donne la force nécessaire pour former suffisamment d’aliments et ne pas devoir rester à jeun. En fait, les actes continus ne sont donc rien d’autre que la nourriture préparée d’un jour à l’autre afin d’avoir toujours quelque chose à manger. Sans ces actes, la pauvre créature n’aura rien pour calmer sa faim et ces actes bons, saints et divins mourront en elle. Si les actes ne sont pas continuels, la nourriture deviendra rare. Lorsqu’elle est insuffisante, la vie du bien s’affaiblit. Cette faiblesse fait perdre le goût et l’appétit de se nourrir. Par contre, lorsque les actes sont continuels, chacun d’eux apporte sa contribution : -celui-ci fabrique les aliments, -celui-là apporte l’eau, -l’autre le feu pour les faire cuire. -d’autres encore procurent les condiments qui donneront du goût afin de satisfaire l’appétit. En somme, les actes répétés ne sont rien d’autre que la cuisine divine dressant la table céleste pour la créature. Comme il est beau de voir la créature -préparer les aliments divins par la continuation de ses actes dans notre Fiat, et -se nourrir des mets de notre céleste pays ! Car tu dois savoir -qu’une sainte pensée en appelle une autre, -un mot, une bonne action invite l’autre à s’alimenter, Et la nourriture forme la vie. Ma bonne fille, le grand bien de la Vie dans le divin Vouloir est -étonnant et -presque incompréhensible à la créature humaine. Tu dois savoir que tout ce que l’on fait de bien et de saint dans ma Divine Volonté n’est rien d’autre qu’une semence qui germe dans le champ de l’âme -pour donner une lumière divine et -pour former un commencement qui n’aura pas de fin Parce que tout ce qui est fait dans ma Divine Volonté est semé, -germe et grandit de façon admirable sur la terre pendant qu’elle y vit, -et trouvera son achèvement dans le ciel. Le développement ultime, la variété de beautés, -les tons, les teintes les plus belles lui seront donnés dans la Patrie céleste. Cela veut dire que chaque acte que la créature fait sur terre lui donnera droit à une place plus grande dans la céleste demeure, en la possédant d’avance, pour chaque acte supplémentaire la créature amènera avec elle de nouvelles béatitudes, de nouvelles joies que mon Vouloir lui aura communiquées. Mon divin Fiat ne cesse jamais de donner à la créature. Il veut qu’elle grandisse en sainteté, en grâce, en beauté jusqu’à son dernier souffle de sa vie ici-bas. Et il se réserve d’apporter le dernier coup de pinceau pour l’accomplissement de son triomphe dans les célestes régions. Dans ma Volonté il n’y a pas d’arrêts. Les circonstances de la vie tantôt les souffrances, tantôt les humiliations et tantôt la gloire forment les chemins pour pouvoir toujours courir en Elle. et -lui donner libre champ pour semer dans la créature de nouvelles semences divines que le divin Fiat s’engage à cultiver et à faire grandir de façon admirable, jusqu’à leur achèvement dans la céleste gloire. Dans la Divine Volonté, ce que l’on accomplit en elle est indélébile Dieu lui-même ne peut annuler un seul acte accompli par la créature dans le Fiat suprême. Sortant de ma Volonté, Adam, le premier homme créé, -était en conséquence la racine, le tronc de toutes les générations humaines afin qu’elles puissent hériter, -presque comme les branches qui sortent des racines et du tronc de l’arbre de l’homme. Comme toutes les créatures qui dans la nature ont hérité du germe et de la semence du péché originel, ils ont hérité de ses premiers actes accomplis dans notre Vouloir et qui constituent le commencement et le droit du Royaume de notre divin Vouloir pour les créatures. C’est pour confirmer cela que la Vierge immaculée est venue œuvrer et suivre les actes d’Adam de façon à compléter le Royaume tout entier de la Divine Volonté et être la première héritière d’un Royaume si saint, et à donner le droit à ses chers enfants d’en prendre possession. Et pour compléter tout cela, m on Humanité est venue possédant par nature ma Divine Volonté qu’Adam et la Reine souveraine possédaient par grâce afin de confirmer par le sceau de ses actes ce Royaume de la Divine Volonté. De sorte que ce Royaume existe en réalité parce qu’une Humanité vivante a formé ses actes en lui, des actes qui sont les matériaux nécessaires à la formation de ce Royaume afin de donner le droit au reste de l’humanité de le posséder. Et pour le confirmer encore plus, j’ai enseigné le Notre Père afin que par cette prière la créature puisse -s’y disposer, -acquérir les droits de le recevoir, et que Dieu se sente le devoir de le lui accorder. En enseignant le Pater Noster, j’ai moi-même mis entre leurs mains le droit de le recevoir . J’ai entrepris de donner un Royaume si saint. Et chaque fois que la créature récite le Notre Père, elle acquiert une sorte de droit d’entrée dans ce Royaume : -premièrement parce que c’est une prière enseignée par moi et qui contient la valeur de ma prière . -deuxièmement parce que l’amour de notre Divinité envers les créatures est si grand que nous faisons attention à tout, que nous remarquons tout, même les plus petits actes, les saints désirs, les petites prières, afin d’y répondre par de grandes grâces. On peut dire que ce sont des occasions, des prétextes que nous recherchons pour pouvoir lui dire : « Tu as fait cela et nous te donnons cela . Tu as fait ce qui est petit et nous te donnons ce qui est grand. » Ainsi le Royaume existe. Et si je t’ai si souvent parlé de ma Divine Volonté, ce n’était que les préparations de bien des siècles de mon Église : les prières, les sacrifices et les récitations continuelles des Pater Noster qui ont porté notre bonté -à choisir une créature -pour lui manifester les nombreuses connaissances de notre Volonté et ses grands prodiges. J’ai lié ainsi ma Volonté aux créatures en lui donnant de nouveaux gages de son Royaume. Et lorsque tu écoutais et cherchais à te conformer aux enseignements que je te donnais, tu formais de nouveaux liens afin de lier les créatures dans ma Volonté. Tu dois savoir que je suis le Dieu de tous Lorsque je fais un bien, je ne le fais jamais isolément Je le fais pour tous, excepté ceux qui n’en veulent pas et ne veulent pas le prendre. Et lorsqu’une créature me correspond, Je ne la vois pas comme si elle était seule, mais comme appartenant à toute la famille humaine, de sorte que le bien de l’une est communiqué aux autres. Or si le Royaume existe, -que mon Humanité vivante l’a possédé et a vécu en lui, -que ma Volonté veut régner parmi les créatures mes connaissances elles-mêmes le disent de façon claire. Comment peux-tu alors penser qu’il est impossible que ce Royaume vienne ? Tout est possible pour Moi. Je me servirai des tempêtes elles-mêmes et des événements nouveaux -pour me préparer ceux qui doivent s’employer à faire connaître ma Volonté Les tempêtes serviront à purifier l’air mauvais et à évacuer ce qui est nuisible. C’est pourquoi je disposerai toute chose. Je sais ce qu’il faut faire et j’ai les temps à ma disposition. Par conséquent, laisse faire ton Jésus Tu verras comment ma Volonté sera connue et accomplie. page.fr