François donne son avis sur tout, de la Palestine au football
En ce qui concerne les unions homosexuelles, il a déclaré que l'Église accueillait "tout le monde", sans toutefois expliquer ce que signifie "accueillir".
Quand je dis "tout le monde, tout le monde, tout le monde", je parle des gens" - un concept abstrait qui signifie tout et rien. "L'Église accueille les gens, tout le monde [les pédophiles ?], et ne leur demande pas qui ils sont " - seulement tant que la personne a le soutien des médias oligarchiques.
Contre les faits historiques, François a prétendu que le célibat, qui remonte à l'époque apostolique, "remonte au 12ème siècle", le qualifiant de "loi qui peut être changée", alors qu'il s'agit en fait d'une imitation du Christ.
"Je ne pense pas qu'il soit utile de le changer, car le problème [du manque de vocations] est différent. Cela ne servirait à rien", a-t-il déclaré, ne voyant le célibat qu'en termes utilitaires.
François voit un "problème théologique" dans un diaconat [invalide] pour les femmes. Les femmes peuvent assumer des rôles de "direction", mais pas le ministère ordonné.
Cet homme coincé dans les années 1960 s'insurge une fois de plus contre le "retard" :
"Ils n'acceptent pas que l'Église avance, qu'elle soit en marche. Une Église qui se coupe de ses racines recule et perd cette sève de saine tradition, qui n'est pas du conservatisme, non. La tradition grandit. Et elle doit aller de l'avant".
François, fin géopoliticien, sait que la solution du conflit israélo-palestinien est "deux États limités et un statut spécial pour Jérusalem".
Il a annoncé qu'il participerait au sommet des mondialistes sur le climat à Dubaï, tandis que son Église brûle joyeusement.
À la question finale, infantile, de savoir lequel des deux footballeurs argentins, Maradona ou Messi, il préférait, il a répondu : "Je vais en dire un troisième : Pelé". Et si sa vraie vocation avait été de commenter le football ?
#newsBpiryulhky
