Symphytum

Prières de Saint Jean Eudes

Salutation à la Très Sainte Vierge
Composée par Saint Jean Eudes
Je vous salue, Marie, Fille de Dieu le Père;
Je vous salue, Marie, Mère de Dieu le Fils;
Je vous salue, Marie, Epouse du Saint-Esprit;
Je vous salue, Marie, Temple de toute la Divinité;
Je vous salue, Marie, Lis blanc de la resplendissante et toujours immuable Trinité;
Je vous salue, Marie, Rose d'un éclat merveilleux, qui répandez un parfum tout céleste;
Je vous salue, Marie, Vierge des vierges, Vierge fidèle, de laquelle le Roi des cieux a voulu naître, et du lait de laquelle il a daigné se nourrir;
Je vous salue, Marie, Reine des Martyrs, dont un glaive de douleur a transpercé l'âme;
Je vous salue, Marie, Souveraine de l'univers, à qui toute puissance à été donné au ciel et sur la terre;
Je vous salue, Marie, Reine de mon cœur, ma Mère, ma vie, ma consolation et mon espérance la plus douce;
Je vous salue, Marie, Mère tout aimable;
Je vous salue, Marie, Mère admirable;
Je vous salue, Marie, Mère de miséricorde; …Plus

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natale07

Le révérend Père Paul de Moll (1824 - 1896)
disait à un ami que ceux qui récitent cette SALUTATION À MARIE peuvent se figurer que la Sainte Vierge leur donne en réalité sa bénédiction.
Donnant un exemplaire de cette SALUTATION à une demoiselle, Père Paul lui dit textuellement :
« Cette SALUTATION est si belle ! Récitez-la chaque matin. Du haut du Ciel, la Sainte Vierge vous donnera sa bénédiction et vous ferez le signe de la croix. Oui, oui, que ne vous est-il donné de voir ! La Sainte Vierge vous bénit alors, je le sais très bien. »
Il disait aussi qu'en récitant cette SALUTATION À MARIE pour la conversion d'un pécheur, il est impossible de n'être pas exaucé.
Prière composée par St Jean Eudes, et retrouvée dans un livre de Sainte Marguerite Marie à sa mort. Cette salutation était vivement recommandée par le saint Père Paul qui, comme Saint Jean Eudes, promettaient de la part de la Très Sainte Vierge des grâces spéciales à ceux qui réciteraient cette Salutation avec piété, et à ceux en faveur desquels on la réciterait.
Moine bénédictin flamand qui a passé sa vie à faire des miracles et qui continue à en faire si on lui demande.
Voici comment il explique ce don:
« Au commencement de ma vie religieuse, étant malade au point de me voir condamné par la science, Notre Seigneur m'apparut, accompagné de la sainte Vierge, de saint Joseph, de saint Benoît.
Tandis que Marie me tenait la main, le Sauveur, posant sa droite sur ma tête, me dit : « Sois guéri ; désormais tu vivras pour la consolation d'un grand nombre de personnes. Je t'accorde tout ce que tu Me demanderas pour les autres ». — Et aussitôt, je fus guéri ».
(Paul de Moll, Edouard Van Speybrouck)
Le révérend père Paul de Moll, semait littéralement les prodiges sous ses pas.
On évalue à plus d’un million les personnes qui reçurent de lui des bienfaits d’ordre spirituel ou matériel, naturel et surnaturel.
On eût dit que des pouvoirs surhumains lui étaient dévolus à discrétion et qu’il en usait sans mesure et à tout propos.
Jamais on n’a constaté des faits aussi stupéfiants et aussi continuels.
Même après sa mort, sa tombe demeure féconde comme sa vie, et on peut dire que ce fils de saint Benoît continue du haut du Ciel sa mission de consolateur, de guérisseur des corps et des âmes au nom du Seigneur Jésus–Christ.