Un clin d'oeil pour le Pape qui en tant qu'Evêque vient du Pérou !
Un fragment du Livre du Ciel > "Alors que j'étais dans mon état habituel, je me trouvai subitement hors de mon corps
et il me sembla que je circulais partout sur la terre.
Oh! Comme elle était inondée d'iniquités. C'était horrible à voir!
À un endroit, je trouvai un prêtre menant une vie sainte.
A un autre, une vierge dont la vie était sainte et sans faute.
Tous les trois avons échangé sur les nombreux châtiments
que le Seigneur inflige et sur les nombreux autres qu'il s'apprête à infliger. Je leur dis: «Que faites-vous? Êtes-vous ajustés à la Justice divine?»
Ils me répondirent:
«Nous sommes conscients
-de toute la gravité de ces tristes temps et
-de ce que l'homme ne se rendra pas,
même si un apôtre était suscité ou si le Seigneur envoyait un autre saint Vincent Ferrier
qui, par des miracles et de grands signes, essayait de l'amener à la conversion.
L'homme a atteint
-une telle obstination et
-un tel degré d'insanité
que même des miracles ne le feraient pas bouger de son incrédulité.
Ainsi, par stricte nécessité,
pour le bien de l'homme,
pour endiguer cette mer pourrie qui inonde la terre, et
pour la gloire de notre Dieu si outragé, l'humanité est confrontée à la Justice.
Nous ne pouvons que prier et nous offrir comme victimes pour que ces châtiments amènent la conversion des peuples.»
Et ils ajoutèrent:
«Et toi, que fais-tu? N'es-tu pas ajustée à la Justice divine comme nous?»
Ce à quoi je répondis:
«Ah non! Je ne le peux pas.
L'obéissance m'en empêche, bien que Jésus l'aimerait bien.
Et comme l'obéissance doit prévaloir par-dessus tout, il est nécessaire pour moi d'être en opposition avec Jésus béni, ce qui m'afflige beaucoup.»
Ils reprirent: «Il faut se conformer à l'obéissance.»
Après cela, je revins en mon corps alors même que je n'avais pas encore vu mon très cher Jésus. Je voulus savoir de quelle partie du monde ce prêtre et cette vierge étaient.
Jésus me dit qu'ils étaient du Pérou.
Ce matin, mon aimable Jésus vint et me transporta hors de mon corps.
Et j'ai vu quelque chose qui allait être déplacé du ciel pour toucher la terre. J'étais si effrayée que j'ai crié en disant: «Ah! Que fais-tu Seigneur?
Quelle destruction surviendra si cela arrive! Tu dis que tu m'aimes et tu veux m'effrayer?
Ne fais pas cela! Non, non! Tu ne peux pas faire cela! Je ne le veux pas!» Compatissant, Jésus me dit:
«Ma fille,
n'aie pas peur! Quand donc accepteras-tu que Je fasse quelque chose? Faudrait-il que Je ne te laisse rien voir quand Je châtie les gens?
Je vais fortifier ton cœur comme un tronc d'arbre
afin que tu sois capable de supporter ce que tu vois.»
À ce moment, il sortit de mon cœur comme un tronc d'arbre.
Au sommet, il y avait deux branches qui formaient comme une fourche. L'une des branches s'éleva dans les airs et s'empara de ce qui se déplaçait. Ainsi, la chose fut arrêtée. L'autre branche semblait toucher le sol.
Ensuite, je revins en mon corps. J'ai prié Jésus de s'apaiser. Il me sembla s'être si bien rendu à ma demande qu'il me partagea les douleurs de la Croix.
Puis Il disparut.
PICCARRETA

Lecture des Actes des Apôtres (Ac 20, 17-18a. 28-32. 36) L'Esprit Saint a établi des évêques pour gouverner l'Église de Dieu. free.fr/Luisa.htm
Paul, ayant envoyé de Milet à Éphèse, convoqua les anciens de l'Église. Lorsqu'ils arrivèrent à lui, il leur dit : « Prenez garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis évêques pour gouverner l'Église de Dieu, qu'il s'est acquise par son propre sang. Je sais qu'après mon départ, des loups cruels s'introduiront parmi vous, qui n'épargneront pas le troupeau. Et du milieu de vous s'élèveront des hommes qui enseigneront des doctrines perverses, pour entraîner les disciples à leur suite. Veillez donc, vous souvenant que, pendant trois ans, je n'ai cessé de vous avertir nuit et jour avec larmes. Et maintenant, je vous recommande à Dieu et à la parole de sa grâce, à celui qui peut édifier votre Église et vous donner l'héritage avec tous les saints. » Après ces paroles, il tomba à genoux et pria avec tous. Ceci est la parole de Dieu free.fr/Piccarreta1.htm
PSAUME RESPONSORIAL - Ps 100,1-2.3.4b-5ab
Nous sommes le peuple du Seigneur et ses brebis.
Criez à l'Éternel, vous tous, habitants de la terre !
Servez le Seigneur avec joie.
Venez devant le Seigneur
avec des cris de joie.
Nous sommes le peuple du Seigneur et ses brebis.
Sachez que le Seigneur est Dieu,
Lui-même nous a créés,
nous sommes Sa propriété,
Son peuple, les brebis de Son pâturage.
Nous sommes le peuple du Seigneur et ses brebis.
Entrez dans ses portes avec des actions de grâces,
dans ses parvis avec des hymnes.
Car l'Éternel est bon,
sa miséricorde dure à toujours.
Lecture de la lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (Rm 8, 31b-39) Rien ne nous séparera de l'amour du Christ.
Frères : Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Lui qui n’a pas épargné son propre Fils, mais l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ? Qui peut accuser ceux que Dieu a choisis ? Est-ce Dieu qui justifie ? Qui peut prononcer une sentence de condamnation ? Jésus-Christ, qui est mort pour nous, et même plus, qui est ressuscité des morts, est maintenant à la droite de Dieu et intercède pour nous. Qui peut nous séparer de l’amour du Christ ? Tribulation, ou détresse, ou persécution, ou famine, ou nudité, ou danger, ou épée ? Comme il est écrit : « À cause de toi, ils nous tuent tout le jour, Nous sommes regardés comme des brebis destinées à la boucherie. » Mais dans toutes ces choses nous avons une pleine victoire par celui qui nous a aimés. Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. Ceci est la parole de Dieu
Alléluia, alléluia, alléluia
Je suis le bon berger
et je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent. (Jn 10, 14)
Alléluia, alléluia, alléluia
Les paroles de l'Évangile selon saint Jean (Jn 10, 11-16) Un bon berger donne sa vie pour ses brebis. free.fr
Jésus dit aux pharisiens : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger et à qui les brebis ne appartiennent pas, voit venir le loup, abandonne les brebis et s'enfuit. Le loup les enlève et les disperse. Le mercenaire s'enfuit, car il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis. Je suis le bon berger, je connais mes brebis et les miennes me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père. Je donne ma vie pour mes brebis. J'ai d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos. Il faut que je les amène aussi ; elles entendront ma voix, et il y aura un seul enclos et un seul berger. » C'est la parole du Seigneur.
P. Jan Twardowski : « Le plus beau témoignage : montrer que non seulement nous aimons les gens, mais que Dieu nous aime et que lorsque nous lui faisons confiance, il n'y a pas de limites à faire le bien. »
Commentaire : http;//casimir.kuczaj.free.fr/Orange/Gospel/index.htm
Vous aviez besoin d’un tel pasteur, quelqu’un qui donnerait sa vie pour ses brebis, pour la défense de la foi et des coutumes chrétiennes, afin que son sang fertilise la semence de l’Évangile semée parmi vous. Cet évêque de Cracovie, appelé par la Divine Providence, nous a laissé un excellent exemple de courage chrétien. Saint Stanislas a vécu uniquement pour Dieu, entièrement dévoué aux hommes et au soin du troupeau qui lui était confié, suivant l'exemple du Divin Pasteur, qui fut son modèle jusqu'aux derniers jours de sa vie. Il n'a épargné aucun effort, ne s'est laissé décourager par aucun obstacle, tant que les coutumes de la société et des individus étaient fondées sur les principes de l'Évangile. Il ne recula pas même lorsqu'il s'attira les foudres du roi Boleslas, à qui il reprocha son comportement désastreux. Ce tyran impie pouvait se déchaîner contre l’évêque et tenter de lui ôter la vie, mais il ne pouvait pas briser son esprit. Car ce berger persévérant a volontairement offert sa vie en sacrifice pour ne pas trahir les commandements de son devoir, et il a laissé à ses fidèles un exemple de constance inébranlable, qu'il a couronné de la palme du martyre. Ce crime ignoble choqua la conscience des fidèles, et l'indignation du peuple fut si grande que, selon la tradition, son auteur fut contraint de quitter le royaume et de partir en exil. C’est là une preuve significative du grand amour et de la vénération que vos pères avaient pour leur évêque. Ces sentiments n’ont pas diminué au fil des années ; Aujourd’hui encore, Nous constatons avec une grande joie combien ils sont vivants, et Nous sommes remplis d’un doux espoir qu’ils deviendront désormais plus forts et se développeront. Le Christ et sa puissance victorieuse sont avec vous, alors persévérez sans crainte et avec audace dans le combat pour le Seigneur. Que votre foi soit comme un rocher que rien ne peut briser, qu’aucune méchanceté humaine n’obscurcisse votre amour et que votre espérance brille même lorsque tout autour de vous semble s’effondrer et tomber. Qu’elle vous soutienne et vous permette d’envisager l’avenir avec une confiance inébranlable. Qu'as-tu à craindre ? « La Sainte Église sait grandir au milieu des souffrances, et ne pas s'écarter du droit chemin au milieu des insultes ; les adversités ne l'accablent pas, le succès ne l'enivre pas ; elle sait rester humble dans la prospérité, et dans les difficultés regarder le ciel avec espérance. » / saint Grégoire VII /. Souvenez-vous que le Dieu vivant vous appelle dans ses rangs ; le péché et la mort sont livrés à la destruction, et les bannières victorieuses de la vérité et de l’amour seront plantées. C’est pourquoi nous nous adressons à chacun de vous avec les paroles du Saint. Ignace d'Antioche s'adressait à Polycarpe : « Sois résistant comme une enclume frappée. » Car les grands efforts que vous avez entrepris porteront de grands fruits. / Pie XII († 1958)/. Il ne laissa pas l’orgueil régner dans son cœur... Bien qu’il fût exalté au-dessus de tout... il essaya d’être un serviteur du Christ. Il n’a pas fermé ses oreilles aux gémissements des pauvres ; il a sauvé les opprimés, qui n’avaient reçu aucune aide de nulle part, des mains des violents ; il soutenait par des aumônes les veuves, les mineurs et les orphelins... Il gouvernait avec soin l'Église qui lui était confiée... En tant que partisan de la réforme de l'Église... il désirait ardemment la pureté parmi les prêtres et les encourageait par son exemple à vivre une vie sainte. Il prêchait que la fonction d’évêque ne concerne pas la richesse, mais la pratique de la vertu. / Vincent de Kielce (XIIIe siècle)/. Le premier des Polonais, un martyr du Christ bien plus célèbre, et votre patron et défenseur, noble nation polonaise, vous appelle à lire cette vie, qui a en elle-même de plus grands bienfaits que toute autre... Car de même qu'un rejeton planté sur sa propre terre naturelle prend racine plus vite, croît plus abondamment et donne des fruits féconds - ainsi cette vie du grand Stanislas, greffée sur vous, qui êtes sa propre terre, peut produire plus rapidement et plus de bienfaits de fruits salutaires. / P. Piotr Skarga († 1612)/.
http;//casimir.kuczaj.free.fr/Catholique/mission/Luisa.html