Ton visage, nous l'aimions !
On t'y voyait en entier,
il était la fenêtre qui ouvrait sur ta lumière,
il était la porte qui nous invitait chez toi !

Ton visage d'amour : le voir nous suffisait.
Nous étions sûrs de ta tendresse et de l'offrande
que tu faisais de toi, simplement, sans rien dire,
pour nous donner du bonheur chaque jour.

Ton visage de colère face à la bêtise
qui parfois semble l'emporter
dans les coeurs et le monde,

Ton visage de sourire éclairé d'une joie
qui nous entraînait dans son soleil,

Ton visage de tempête lorsqu'en toi, comme en tout être, s'affrontaient le désir de te dépasser
et l'envie de te laisser aller.

Ton visage de silence avec ses secrets
à chercher comme un trésor réservé à ceux qu'on aime.

Devant ton visage de maladie, nous étions démunis
comme devant tous les visages de souffrance
obstinément accrochés à l'espoir,
mais sans relâche nous te donnions notre fidèle amour
pour te soutenir et te préparer au difficile passage.

Nous aimions ton visage devant nous,
ton visage d'homme (de femme)
pour toujours à l'image et à la ressemblance de Dieu !

Maintenant il disparaît, ton visage !
Il échappe à nos yeux et à nos mains pour s'inscrire,
invisible mais présent, dans notre coeur.

Entre nous il n'y aura plus de face à face
jusqu'au jour où, nous retrouvant tous sur l'autre rive,
nos visages seront transfigurés devant la face de Dieu.

A Dieu, ton visage !
C'est vers Dieu que désormais il sera tourné.
En sa présence il trouve sa définitive beauté !

Sainte Marie, Mère de Dieu,
Prie pour nous tous, maintenant qu'ils sont morts
Les miens et ceux des autres,

Ceux qui furent aimés
Et ceux qu'on a tués

Ceux qui avaient du bien
Et ceux qui n'avaient rien

Ceux qui n'ont pas souffert
Et ceux qui ont crié

Ceux qui étaient trop jeunes
Et ceux qui étaient las

Ceux qui ont vécu droit
Et ceux qui ont fauté

Ceux qui laissent un nom
Et ceux que l'on oubliera

Ceux qui ont fait du bien
Ceux qui ont fait du tort

Ceux pour lesquels on prie
Et ceux que l'on oublie

Ceux que je peux nommer
Et ceux que tu connais

Vierge Marie, vois tes fils;
A partir de cette heure-là
Qu'ils soient auprès de Dieu
Avec toi, Amen.

Il y a 1 seul combat sur 2 front mes collègues et voisinage tous s'accordent pour dire que c'est abominable mais personne ne veut reconnaître que c'est une guerre de religion. Nous avons 2 ennemis à combattre les musulmans et surtout tout ce peuple laïcisé qui rejette Dieu. Il faudrait qu'ils comprennent que sans Dieu nous sommes perdus ils peuvent prendre toutes les mesures de d'urgence, sécurité nécessité c'est fichu. Comment leur faire comprendre que pour sauver la France ils doivent eux se convertir que c'est l'unique espoir.

Cher Monsieur , enfant j'ais subit les affres de la dernière guerre et si je suis encore debout sais grâce a Dieu ,sur les routes de FRANCE sous les bombardements des morts j'en est vu plus-que vous n'en verrez et je les voient encore ,alors merci si je dit cela ,c'est parce que si vous vous donnez la peine de pensée pourquoi les guerres,les appelles de Marie CONVERTISSEZ VOUS sa ne vous dit rien?chaque foi les hommes se sont détourner de leur DIEU CRÉATEUR et se sont liez aux puissances du mal,Quand les hommes apprendrons qu'ils ne sont que des fétus de pailles peut- être auront'ils la sagesse avec eux .Et si j'ais une pensé et une douleur en mois c'est pour les enfants car je sais que cela vas les suivre tout au long de leur vie ,les grande personne comme hier elles son responsable de ce qui arrive car elles on lâchée la main du Seigneur en choisissent des guides aux esprits libertaires ,mensongers et démoniaque.comme en 1914 et en 1939.

Allez dire cela aux victimes et à leur famille, aux milliers de personnes qui vont développer dans les jours et les semaines qui viennent, un trauma par ce qu’ils ont vécu et vu… Votre appel à la raison, à la tonalité : « ça ne sert à rien de… » est l’expression du confort de la distance de celui qui n’est pas touché, tel ce ministre à la télé : « il faut raison garder et ne pas rester dans l’émotion (etc.) ». Il faudra bien que des personnes les écoutes plutôt que de leur dire des c… ! Et ne leur disent surtout pas un « ça ne sert à rien de », car « il faut que ça sorte », je pense que vous comprenez.