Commentaires sur les commentaires de Sandra Miesel concernant Maria Valtorta - par Alberto Maravia
Maria Valtorta : réponse à Sandra Miesel
Contexte
En septembre 2021, l’auteure Sandra Miesel a publié un article en ligne dans The Catholic World Report au sujet du principal ouvrage de Maria Valtorta, Le Poème de l’Homme-Dieu. Le ton de cet article était fortement émotionnel et très critique à l’égard du livre.
L’analyse des commentaires de Mme Miesel présentée ici montre que ses déclarations passionnées ne reposent sur aucun élément solide. Au contraire, elles s’accompagnent d’un grand nombre d’erreurs. Cela prouve clairement le manque de recherches sérieuses de la part de Mme Miesel. Certaines de ces erreurs ont d’ailleurs été signalées par des lecteurs de son article, et apparaissent en ligne à la fin de celui-ci. Pourtant, certaines personnes continuent de donner du crédit à ses propos.
L’objectif ici est de mettre un terme à cette perception. (...)
(...) En fin de compte, l’ironie est manifeste :
il y a plus d’erreurs dans l’article de quatre pages de Mme Miesel que dans le livre de 4 000 pages de Valtorta.
Il n’y a rien d’autre à ajouter.
Premieres souffrances de la très pure Marie.
"(...) Il apparut en songe à Siméon et à Anne, leur faisant connaître que Marie était très agréable à ses yeux, et qu'elle était très innocente de tout ce dont on l'accusait. Après cet avis du Seigneur, ils appelèrent la très sainte enfant, et lui demandèrent pardon d'avoir trop facilement ajouté foi aux fausses accusations de ses compagnes (...) "
N'est-ce pas un peu "cul cul la praline", ce passage ? Comment de si grands saints que furent Simeon et Anne auraient-ils pu se laisser si facilement tromper par des accusations venant d'âmes sous l'emprise du démon, alors même que l'extrême sainteté, humilité et douceur resplendissaient de manière si visible en la jeune Marie, ne laissant place à aucun doute à son sujet ?
Quelle fadeur que tout cela, comparé aux écrits de Maria Valtorta... C'est comme essayer de comparer une Marie en carton pâte avec la vraie Marie, vivante, belle, rayonnante de toutes ses vertues, telle que Dieu la pensa de toute éternité.