francefidele

Faut il interdire l'accès à la communion aux vaccinés non repentants ?

Chers amis,
Ce titre vous surprendra sûrement mais l'heure est si grave, le silence et les compromis des autorités ecclésiastiques avec la tyrannie sanitaire sont si universels que nous pensons nécessaires de rappeler les conditions nécessaires pour recevoir dignement le Corps du Christ à travers la Sainte Communion.

Tout le monde a suivi de près l'horrible communion sacrilège du président Biden au prétexte que ce dernier est catholique et aurait le droit de recevoir le Corps du Christ. Or l'église a toujours considéré que les hommes politiques qui ont voté ou soutenu les lois sur l'avortement sont excommuniés ipso facto et ne peuvent prétendre recevoir la Sainte Communion fussent-ils présidents de la nation la plus puissante du monde (Can. 2350 § 1 "Ceux qui produisent un avortement, sans excepter la mère, encourent, si l’effet a été obtenu, une excommunication ‘latae sententiae’ réservée à l’Ordinaire; de plus s’ils sont clercs, on doit les déposer".)

Or nous savons désormais de façon certaine que le "vaccin" a été élaboré avec des fœtus avortés et disséqués vivants ! Et ceci de façon très récente. On ne peut sans doute pas appliquer la sentence d excommunication sur ceux qui reçoivent en toute conscience ces vaccins mais le péché est grave. Et comme le "vaccin" est public, le péché est public, notable. Il va de soi que beaucoup de personnes n'ont pas une nette conscience de la gravité de l'acte qu'ils posent en se faisant injecter mais la matière est grave en soi. Par contre toute personne consciente des origines sanglantes de ce vaccin et qui l'aurait donc reçu dans ces dispositions peut être à juste titre considérée comme un pécheur public (au même titre que le concubinage).

Il ne serait question de réduire l'injection à une affaire d'avortement. Comme l'enseigne justement Mgr Vigano dans ses diverses allocutions, l'injection est d'abord et avant tout le signe de reconnaissance ou de soumission au Nouvel Ordre Mondial qui exclut positivement le Christ. Les élites internationales ne cachent pas leurs intentions de réinitialiser l'humanité à l'aide de cette fausse pandémie et de finaliser la destruction de l'ordre social chrétien. Certes on ne va pas demander à l'injecté de renier le Christ mais on lui demande de suivre, de vivre en conformité avec cet ordre satanique sous peine de devenir un paria de cette nouvelle société. Oeuvrer positivement à l'injection ou la recevoir en connaissance de cause est évidemment une chose grave tout comme l'adhésion explicite à la secte maçonnique est coupable d'excommunication ( "canon 2335 : Nomen dantes sectae massonicae aliisve eiusdem generis associationibus quae contra Ecclesiam vel legitimas civiles potestates machinantur, contrahunt ipso facto excommunicationem Sedi Apostolicae simpliciter reservatam. "Ceux qui donnent leur nom à une secte maçonnique ou à d'autres associations du même genre qui complotent contre l'Eglise ou les pouvoirs civils légitimes, contractent par le fait même une excommunication simplement réservée au Siège apostolique".)

Tous les fidèles ne sont sans doute pas conscients de cette réalité anti catholique de l'injection car le mensonge, la propagande et le silence sont omniprésents mais cette excuse ne vaut pas pour tous. C'est au prêtre de juger selon les circonstances de la gravité de l'acte, en particulier du degré d'ignorance :

L'ignorance de la plupart des fidèles injectés est soit invincible (impossible de savoir la gravité) : ces cas concernent les enfants et les personnes très simples. Il n'y a pas faute dans ces cas là.

Elle peut être vincible (un peu d'effort pour savoir en se renseignant) . C'est le cas des personnes qui ont fait des études et qui ont un minimum de bon sens. En ce cas il peut y avoir faute grave.

Elle peut être crasse ou affectée . C'est le cas des personnes constitués en dignité (évêques, prêtres, médecins, pharmaciens, hommes politiques etc...) qui s'arrangent pour ne pas savoir la vérité sur l'injection et prétextent l'obéissance pour ne pas avoir d ennui. Dans ces cas la faute est certainement grave.

Il est donc impossible au prêtre de donner la communion à ce genre de d'injectés tant que ces derniers n'ont pas regretté et réparé son geste. Un prêtre qui donnerait la communion à une personne vaccinée notoirement et qui l'aurait fait en connaissance de cause sera aussi coupable, tout comme fut coupable le prêtre qui a donné la communion à Biden.

Que mes confrères méditent sur cette réalité. Non seulement leur silence les rend coupable de négligence dans les conseils mais leur laxisme dans la communion les rend responsable de nombreuses communions sacrilèges dont ils auront un jour à rendre compte devant leur Souverain Maître.
Prions pour eux.

Abbé Matthieu Salenave
Prêtre de la Fidélité Catholique
4945
francefidele

L'ignorance de la plupart des fidèles injectés est soit invincible (impossible de savoir la gravité) : ces cas concernent les enfants et les personnes très simples. Il n'y a pas faute dans ces cas là..
Elle peut être vincible (un peu d'effort pour savoir en se renseignant) . C'est le cas des personnes qui ont fait des études et qui ont un minimum de bon sens. En ce cas il peut y avoir faute grave.
Elle peut être crasse ou affectée . C'est le cas des personnes constitués en dignité (prêtres médecins etc...) qui s'arrangent pour ne pas savoir la vérité sur l'injection et prétextent l'obéissance pour ne pas avoir d ennui. Dans ces cas la faute est certainement grave.

francefidele

Comme le dit justement Monseigneur Viganò, la plupart des fidèles vaccinés sont trompés par leurs Pasteurs et sont dans une certaine ignorance excusable quant à la gravité.

AveMaria44

Ils sont déjà coupables de ne pas dénoncer la nouvelle religion et d'être en communion avec l'idolâtre profanateur qui incite au vaccin.

France Vappereau

Cher abbé, comme c'est juste! Et tous ces prêtres, ces moines et moniales "vaccinés" qui exhortent les fidèles naïfs à se faire inoculer ce poison? C'est une grande peine.....