La féminisation de l'homme entraîne "l'homosexualisation" de la femme.
Un des plus grands mensonges du fondamentalisme féministe des années 70, est d’avoir prétendu que pour être aimé des femmes l’homme devait accepter dorénavant de renoncer à son côté viril et devait accepter de se féminiser. Débarrassé ainsi de son machisme, il serait, dans un monde enfin apaisé, en mesure de plaire « encore plus » aux femmes.
Le sexe masculin, culpabilisé par plus de deux-cents ans de fausse historiographie ayant fait de lui dans l’imaginaire collectif un monstre qui aurait persécuté les femmes au cours des millénaires, s’est employé à satisfaire cette exigence des femmes. Quelques décennies après, nous connaissons le résultat : augmentation exponentielle de l’homosexualité féminine. C’est qu’on avait oublié un petit détail : ce que la femme aime chez l’homme c’est justement « sa différence » ; c’est ce mystère qui fait de lui un être plus viril qu’elle-même. Pour aimer un homme, une femme a besoin de l’admirer. L’homme s’étant transformé en « presque femme », du coup les femmes se sentent davantage attirées par les vraies femmes « tout court ». L’original, en effet, étant toujours plus attrayant que la « copie » (Voir mon essai) : https://t.co/9R8nFMHZFe
La femme n’est non seulement pas en mesure d’aimer un homme féminisé mais (après peut-être un bref moment de sympathie envers ce « toutou post moderne docile » qui flatte son ego) elle voudra même s’en débarrasser ; elle le haïra et au fond voudra le faire sortir de l’aventure humaine en ayant pour lui un désir de mort ; oui le désir de le voir disparaître : « Si tu n’es pas capable de tenir ta place dans l’évolution, alors dégage ». C’est que le désir profond des femmes est en réalité exactement à l’opposé de ce que le féminisme (construction haineuse basée sur la négation du réel et sur la jalousie de « l’autre », c'est-à-dire de l’homme) voudrait faire croire. Quand "la femme" ne respecte pas l'homme, alors comme dans un processus infernal, et après l'avoir méprisé, elle finira par le détester. Consciemment ou pas, elle ne lui pardonnera pas d'avoir déçu les attentes « anthropologiques » qu'elle avait de lui. Oui, c’est vrai, tout cela serait une simple histoire de fou presque amusante; presque amusante, s’il n’y avait la main de Satan derrière. Car ne l’oublions pas, in fine, le mélange « des genres » et l’abolition de la frontière entre les sexes, représentent une attaque frontale contre les plans de Dieu concernant la reproduction de l’espèce.
Au-delà du vomi médiatico-maçonnique-LGBT qui baigne nos sociétés, une chose est sûre: la féminisation de l’homme entraîne « l’homosexualisation » exponentielle de la gente féminine. Cela est une des raisons qui explique l’importance que donne la dictature au développement de la théorie du genre.
Le sexe masculin, culpabilisé par plus de deux-cents ans de fausse historiographie ayant fait de lui dans l’imaginaire collectif un monstre qui aurait persécuté les femmes au cours des millénaires, s’est employé à satisfaire cette exigence des femmes. Quelques décennies après, nous connaissons le résultat : augmentation exponentielle de l’homosexualité féminine. C’est qu’on avait oublié un petit détail : ce que la femme aime chez l’homme c’est justement « sa différence » ; c’est ce mystère qui fait de lui un être plus viril qu’elle-même. Pour aimer un homme, une femme a besoin de l’admirer. L’homme s’étant transformé en « presque femme », du coup les femmes se sentent davantage attirées par les vraies femmes « tout court ». L’original, en effet, étant toujours plus attrayant que la « copie » (Voir mon essai) : https://t.co/9R8nFMHZFe
La femme n’est non seulement pas en mesure d’aimer un homme féminisé mais (après peut-être un bref moment de sympathie envers ce « toutou post moderne docile » qui flatte son ego) elle voudra même s’en débarrasser ; elle le haïra et au fond voudra le faire sortir de l’aventure humaine en ayant pour lui un désir de mort ; oui le désir de le voir disparaître : « Si tu n’es pas capable de tenir ta place dans l’évolution, alors dégage ». C’est que le désir profond des femmes est en réalité exactement à l’opposé de ce que le féminisme (construction haineuse basée sur la négation du réel et sur la jalousie de « l’autre », c'est-à-dire de l’homme) voudrait faire croire. Quand "la femme" ne respecte pas l'homme, alors comme dans un processus infernal, et après l'avoir méprisé, elle finira par le détester. Consciemment ou pas, elle ne lui pardonnera pas d'avoir déçu les attentes « anthropologiques » qu'elle avait de lui. Oui, c’est vrai, tout cela serait une simple histoire de fou presque amusante; presque amusante, s’il n’y avait la main de Satan derrière. Car ne l’oublions pas, in fine, le mélange « des genres » et l’abolition de la frontière entre les sexes, représentent une attaque frontale contre les plans de Dieu concernant la reproduction de l’espèce.
Au-delà du vomi médiatico-maçonnique-LGBT qui baigne nos sociétés, une chose est sûre: la féminisation de l’homme entraîne « l’homosexualisation » exponentielle de la gente féminine. Cela est une des raisons qui explique l’importance que donne la dictature au développement de la théorie du genre.