Le projet de contrôle et de mort du mondialisme
Invité de l'émission Le Grand Débat, organisé par Géopolitique Profonde.
GPTV
La République française est un Moloch !
Réaction d'Alain Escada, Président de Civitas International, suite à l'inscription de l'avortement dans la constitution de la Vè République.
" La République française est un Moloch. Née dans le sang des Vendéens, en 1793 elle en embrochait les enfants. Fondée sur un régicide, elle a choisi symboliquement le château de Versailles pour inscrire en 2024, dans le marbre de sa Constitution, sa soif du sang des enfants innocents. Quel spectacle ignoble de voir cette foule de parlementaires, dans sa grande majorité, applaudir avec joie cette fierté d'autoriser de mettre fin à la vie de ses enfants dans le ventre de leur mère et d'en faire une "valeur" fondamentale, un socle de son fonctionnement. Cette politique mortifère conduite par la secte maçonnique est le suicide d'une nation. Le grave déclin démographique qui en résulte sonne le glas du peuple français que ceux qui nous gouvernent prétendront encore compenser par toujours plus d'immigration …Plus
Ah, on attendait avec impatience la réaction du belge sauveur de la France philo-collabos. Il n"y a pas de problème en Belgique ? Ça serait bien d'y repartir est de laisser les Français s'occuper de leur pays! Merci d'avance !
La République française est un Moloch !
Ces ajouts dans la constitution française devrait plutôt passer de la république maçonnique à la république satanique des derniers temps, soit une 6' république... M. Macron se plairait davantage avec le nombre 6 qu'avec le nombre 5 de la 5' république. L'hexagone, c'est une référence au nombre 6, etc...
Le droit à l'Enfer, un grand progrès.......et bientôt l'euthanasie pour votre dignité....
Ils veulent tuer les paysans !
Conférence donnée le 24 février 2024, lors d’une journée consacrée à « L’agriculture assassinée », en Vendée.
Alain Escada Officiel
Alain Escada
Et pas que....
Le 10 mars, je prendrai la parole à Toulouse sur un sujet d’actualité : Mondialisme totalitaire et crédit social.
Messe à 10h30
Repas à 13h
Conférence à 14h30
30 euros pour le repas et la conférence ou 10 euros pour la conférence uniquement.
Inscription obligatoire (n’attendez pas le dernier moment) : contact.resa05nov@gmail.com
Alain Escada et Xavier moreau en conférence à Metz le 16 mars 2024 Réservation sur
Conférence Escada-Moreau – Racines d'après
Comme déjà + de 1300 personnes, le Colonel Jacques Hogard a signé le manifeste Non à la dissolution de la liberté d'opinion ! Non à la dissolution de Civitas ! Et vous ? Accueil - Non à la dissolution de la liberté d’opinion
La liberté d'opinion est un principe de liberté fondamentale ( condamné par la pape Gregoire XVI" Mirari vos")permettant la communication d'opinion personnelles sans entrave de l'État. La liberté d'opinion fait l'objet de l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme ( déclaration fondée sur les principes maçonniques)
Prétendre defendre la doctrine de l'Église avec les armes et sur le terrain de l'ennemi, quelle drôle d'idée.
Certainement que les Français vont y être sensibles et sauver un parti anti-maconnique ( qui soutient de nombreux dictateurs fascistes de l'epoque moderne et qui souhaite dezinguer toute les "valeurs" auxquelles tiennent la majorité des Français qui rappelons le, sont impies et apostats) au nom des valeurs maçonniques .
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Alain Escada Officiel
Alain Escada Officiel
« [la lettre épiscopale] vise formellement Rex et elle condamne ses méthodes et ses principes fondamentaux ; au sujet de Rex, nous sommes convaincus qu'il constitue un danger pour le pays et pour l'Église. Par conséquent, le devoir de tout catholique loyal dans l'élection du 11 avril est clair et toute abstention doit être réprouvée »
— Malines, le 9 avril 1937, Joseph-Ernest Van Roey, cardinal archevêque[51].
Degrelle, fondateur du Rex qui est formellement condamné par l'Église , a laquelle Alain Escada a consacré une conférence élogieuse.
28⁰ Division SS ,des traitres a la Belgique , à laquelle appartenait Degrelle:
Non merci !