Le nouveau cardinal de François rongle l'Église comme un termite - par le père Reto Nay
Les armoiries du néocardinal Michael Czerny, travailleur social et jésuite, sont révélatrices.
Elles montrent un bateau avec quatre personnes noires. Ce n'est pas la barque de Pierre comme symbole de l'Église, mais une barque de trafiquants d'êtres humains qui s'enrichissent en faisant entrer clandestinement des personnes en Europe au péril de leur vie. Le parti pro-immigration de masse du Vatican soutient ces criminels.
La devise épiscopale de Czerny est Suscipe (en latin : "recevoir", "prendre"). Dans le contexte du bateau des trafiquants d'êtres humains, il s'agit d'un appel à faire entrer en Europe des clandestins en tant que consommateurs et travailleurs bon marché et à priver leur pays d'origine de leur jeunesse et de leur avenir.
Suscipe est aussi le premier mot d'une prière célèbre contenue dans les Exercices Spirituels de Saint Ignace de Loyola.
Ainsi, les symboles et les mots sont toujours là, mais ils ont été transformés en une façade vide pour servir une politique vide.
Entre les mains du parti de François, l'Église se transforme en une maison dévorée par les termites.
#newsZbiirvehgu
Elles montrent un bateau avec quatre personnes noires. Ce n'est pas la barque de Pierre comme symbole de l'Église, mais une barque de trafiquants d'êtres humains qui s'enrichissent en faisant entrer clandestinement des personnes en Europe au péril de leur vie. Le parti pro-immigration de masse du Vatican soutient ces criminels.
La devise épiscopale de Czerny est Suscipe (en latin : "recevoir", "prendre"). Dans le contexte du bateau des trafiquants d'êtres humains, il s'agit d'un appel à faire entrer en Europe des clandestins en tant que consommateurs et travailleurs bon marché et à priver leur pays d'origine de leur jeunesse et de leur avenir.
Suscipe est aussi le premier mot d'une prière célèbre contenue dans les Exercices Spirituels de Saint Ignace de Loyola.
Ainsi, les symboles et les mots sont toujours là, mais ils ont été transformés en une façade vide pour servir une politique vide.
Entre les mains du parti de François, l'Église se transforme en une maison dévorée par les termites.
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