Bergoglio détruit une fois de plus une congrégation qui se “traditionnalisait” !

La gentille Rome conciliaire du gentil pape François qui “nous veut du bien” a relevé de leurs vœux les Petites Soeurs de Marie du Rédempteur du diocèse de Laval. Leur crime ? Un goût trop prononcé pour l’habit religieux et une retraditionalisation de leur congrégation. Bref, rien de nouveau sous le soleil sauf pour ceux qui courent après une reconnaissance canonique ou après des lambeaux de délégations conciliaires…
Pour notre part nous ne pouvons qu’encourager ces petites soeurs à résister coûte que coûte à ces autorités corrompues qui détruisent l’Eglise depuis le concile Vatican II. Le temps qui passe nous montre un peu plus chaque jour combien aucune collaboration ne peut plus exister avec ces autorités tant qu’elles s’acharneront à détruire l’Eglise.

Communiqué des Petites Sœurs de Marie
Lundi 3 juin 2019
Chers amis,
Chères familles,
Vous le savez, depuis deux ans, nous traversons des difficultés avec les autorités ecclésiastiques : des difficultés qui trouvent leur origine dans un différend avec l’évêque de Laval, celui-ci voulant imposer la scission des associations de gestion des EHPAD qui avaient pourtant fusionné en 2014, avec ses encouragements, pour mieux répondre aux défis actuels.
Puis, nous avons compris que les autorités ecclésiastiques voulaient aussi nous faire changer notre manière de vivre notre vie religieuse, à l’instar des orientations actuelles…
Au terme de ces deux années,
Après avoir cherché à rester fidèles, tant à l’Eglise qu’au charisme légué par Notre Seigneur à Mère Marie de la Croix,
Après avoir tenté de trouver maintes et maintes fois une voie de dialogue avec Rome
Après avoir offert des solutions d’apaisement,
Aucun accord n’ayant pu être trouvé, les autorités romaines chargées de la Vie Consacrée viennent de faire le choix de nous relever de nos vœux religieux ; s’il est vrai que le contexte de pression morale et l’impasse dans lesquels nous nous trouvions, nous ont acculées au mois d’octobre dernier, contre notre volonté profonde, à demander à être relevées de nos vœux, puisque aucune autre solution ne nous a jamais été offerte pour protéger notre communion à l’Eglise : nous en sommes profondément meurtries et demeurons douloureusement surprises que Rome ait préféré faire droit à cette demande plutôt que d’accéder aux solutions d’apaisement que nous avions proposées et qui étaient à notre portée.
Aujourd’hui donc, à l’exception de cinq sœurs (en Mayenne) qui ont accepté les décisions de Rome et la mise sous tutelle, nous ne sommes plus désormais une congrégation religieuse.
Bien sûr, nous n’avons pas vécu ces deux douloureuses années pour perdre aussi le trésor que constitue pour nous le charisme reçu de Mère Marie de la Croix. Nous voulons continuer à le vivre ensemble, dans une vie de prière et de service. Ecce !
Il nous est demandé de quitter notre habit et nos maisons religieuses.
La hiérarchie de l’Eglise a sans doute cru bon de devoir changer à notre égard : nous en prenons acte…Fiat !
Paradoxalement et mystérieusement, nous vivons plus que jamais peut-être ce qui fait le cœur de notre vocation : à l’exemple de Sainte Marie, prendre notre part de souffrance pour l’accomplissement du dessein Rédempteur, dans la réparation, pour le salut des âmes, pour la sanctification des prêtres, pour l’Eglise si abîmée par toutes sortes de scandales, pour le monde. Si le Christ, époux de nos âmes, nous juge dignes de porter une telle Croix, alors il nous faut lui rendre grâce, envers et contre tout !
Nous remercions tous ceux qui nous ont soutenues et encouragées et continueront à le faire, désireuses de poursuivre la route dans l’esprit et les valeurs qui ont toujours été les nôtres. Magnificat !
Les Petites Soeurs de Marie
Communauté de Saint-Aignan (53)
Communauté de Lagardelle (31)
Communauté de Castelnau ( 31)
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Ludovic Denim
C'est dommage parce qu'elles s'occupaient des personnes âgées et je suis certain qu'elles faisaient de l'excellent boulot. Mais c'est une des prophéties de La Salette là encore qui se réalise où la Très Sainte Vierge a dit qu'il ne resterait plus un couvent en France et qu'ils seraient tous renversés. Ceux donc qui n'ont pas été pourri par l'infiltration de mauvais éléments venu avec des …Plus
C'est dommage parce qu'elles s'occupaient des personnes âgées et je suis certain qu'elles faisaient de l'excellent boulot. Mais c'est une des prophéties de La Salette là encore qui se réalise où la Très Sainte Vierge a dit qu'il ne resterait plus un couvent en France et qu'ils seraient tous renversés. Ceux donc qui n'ont pas été pourri par l'infiltration de mauvais éléments venu avec des mauvais livres ou certaines de leurs idées auront été donc été mis par terre quand même...
magofio
relever de leurs voeux religieux sans leur demande c'est comme les divorcer ...quel drame,c'est impensable pour elles et c'est pas possible normalement ,est ce un sacrilège ?
Claudius Cartapus
« Il nous est demandé de quitter notre habit et nos maisons religieuses. » J'ai lu exactement la même chose ailleurs dans un vieux volume. En 1792, dans la communauté des religieuses de Fougères en France, en lien avec Sœur de la Nativité, suite à la révolution française, elles ont été forcées de quitter leurs habits et leur couvent. L'histoire se répète. La révolution française vient de la …Plus
« Il nous est demandé de quitter notre habit et nos maisons religieuses. » J'ai lu exactement la même chose ailleurs dans un vieux volume. En 1792, dans la communauté des religieuses de Fougères en France, en lien avec Sœur de la Nativité, suite à la révolution française, elles ont été forcées de quitter leurs habits et leur couvent. L'histoire se répète. La révolution française vient de la franc-maçonnerie, naturellement anti-chrétienne. Lire dans le Tome-3, p. 406 le récit de Sœur de la Nativité. Je vais donner les liens dans mes sous-commentaires:
Claudius Cartapus
Extrait des pages 406-409, Tome-3:
« Ce fut donc le 27 septembre 1792 que cet arrêté destructif eut son exécution pour les religieuses urbanistes de Fougères. À la première annonce
qu'on leur en avait faite, elles avaient toutes, animées surtout par l'avis de la Soeur de la Nativité, qui parlait de la part de Dieu, protesté de leur répugnance invincible à obtempérer jamais à une loi aussi …Plus
Extrait des pages 406-409, Tome-3:
« Ce fut donc le 27 septembre 1792 que cet arrêté destructif eut son exécution pour les religieuses urbanistes de Fougères. À la première annonce
qu'on leur en avait faite, elles avaient toutes, animées surtout par l'avis de la Soeur de la Nativité, qui parlait de la part de Dieu, protesté de leur répugnance invincible à obtempérer jamais à une loi aussi contraire à leurs voeux et à leurs dispositions; et, au moment de l'exécution, elles allèrent toutes, jeunes et vieilles, se ranger au choeur, chacune à sa place accoutumée, priant qu'on les tuât plutôt au lieu où elles désiraient de mourir. Les enragés eux-mêmes en furent touchés jusqu'aux larmes; les gens envoyés leur répondirent qu'on ne leur ferait aucun mal; mais qu'on allait, de gré ou de force, les conduire toutes aux voitures qui les attendaient dans la cour pour les conduire à leur destination. Alors ce ne fut plus dans le choeur que soupirs, larmes, sanglots, cris et gémissements. Chacune, devenue timide, comme on peut bien se l'imaginer, une religieuse surtout peut l'être pour moins, ne craignit rien tant que de se voir saisie, et peut-être brutalisée par des hommes qu'aucune considération ne peut arrêter; il fallut donc se décider et prendre le parti d'obéir à la force.
Elles se lèvent plus mortes que vives, et à l'appel, comme à l'exemple de leur supérieure, elles allaient en sanglotant joindre les voitures. Tout ceci s'était passé dans l'intérieur de la maison, de sorte que la foule des personnes qui remplissaient la cour n'en avait rien vu ni entendu. Il convenait à la gloire de J.-C. que les témoins de l'enlèvement de ses épouses le fussent aussi de la violence qu'on faisait à leurs vrais sentiments. Arrivées à la porte cochère par où on les fit sortir, la Soeur de la Nativité qui suivait en silence, se retourna vers les gardes et les municipaux en leur demandant, de la part de Dieu, permission de parler : il se fit un grand silence autour d'elle; alors, la Soeur les regardant, leur dit à haute et intelligible voix, parlant au nom de toutes les religieuses : « Messieurs, Dieu me charge de vous notifier que nous choisirions de mourir plutôt que d'enfreindre notre clôture, ni aucun de nos saints engagements; mais puisqu'il nous faut enfin vous obéir extérieurement, nous protestons contre la violence qu'on nous fait, et nous vous déclarons que nous en prenons le Ciel à témoin. » Tous l'entendirent, plusieurs pleurèrent, et personne ne répliqua.
Après ces courtes, mais énergiques paroles, prononcées de ce ton ferme et décidé que, malgré son âge, la Soeur savait prendre au besoin, elle repousse le bras qu'on lui offre, et entre dans la voiture qui devait la conduire chez M. Binel de la Jannière, qui, sur sa réputation, avait demandé et obtenu de la loger chez lui avec ses deux soeurs, religieuses de la même communauté. Madame la supérieure fut conduite chez M. Bochin, son beau-frère, et les autres, ou chez leurs parents, ou chez quelques citoyens qui voulurent bien s'en charger en attendant qu'un nouvel ordre eût décidé de leur sort; car,
avant tout arrangement, on avait jugé à propos de les tirer provisoirement de chez elles, pour les mettre sur le pavé. Avant que la générosité de la nation eût avisé aux moyens de pourvoir à leur subsistance, on pensa qu'il convenait de leur ôter le toit, le pain, et bientôt après jusqu'à leurs habits. Excellent moyen pour couper pied à toutes les difficultés. »
Claudius Cartapus
Liens du site pour accéder aux 4 Tomes (publiés en 1819). Lecture directement sur la page ou téléchargement des documents en PDF. Transcrits au clavier, et numérisés : 1- Sœur de la Nativité, Vie & Révélation, Tome-1
2- Sœur de la Nativité, Vie & Révélation, Tome-2
3- Sœur de la Nativité, Vie & Révélation, Tome-3
4- Sœur de la Nativité, Vie & Révélation, Tome-4
Francesco Federico
Et Bergoglio pleure ses inutiles larmes de crocodile
CoeurdeFrance
Francesco Federico
Claudius Cartapus
J'ai envie de vous faire écouter la chanson de Michel Polnareff - On ira tous au Paradis. Dans cette pensée-là, ça veut dire les bons comme les pourris… sans distinction, même Hitler… Les gens oublient l'existence de la justice divine. Cette chanson est probablement une caricature de ce que beaucoup de gens croient sincèrement… Si en plus le pape va dans le même sens… on n'est pas sorti de …Plus
J'ai envie de vous faire écouter la chanson de Michel Polnareff - On ira tous au Paradis. Dans cette pensée-là, ça veut dire les bons comme les pourris… sans distinction, même Hitler… Les gens oublient l'existence de la justice divine. Cette chanson est probablement une caricature de ce que beaucoup de gens croient sincèrement… Si en plus le pape va dans le même sens… on n'est pas sorti de l'auberge !