Catherine Emmerich il y a 200 ans a tout vu ce qui s'en venait.
Voir le texte dans
Benoît et moi (2015). Quelques extraits ici:
«Je vis aussi la relation entre les deux papes ... Je vis combien seraient néfastes les conséquences de cette fausse Église. Je l'ai vu augmenter en taille; des hérétiques de toutes sortes venaient dans la ville [de Rome]. Le clergé local devenait tiède, et je vis une grande obscurité». (13 mai 1820).
«Je vois le Saint-Père dans une grande angoisse. Il habite dans un bâtiment autre que celui d'avant et il n'y admet qu'un nombre limité d'amis proches de lui. Je crains que le Saint-Père ne souffrira beaucoup d'autres épreuves avant de mourir. Je vois que la fausse église des ténèbres fait des progrès, et je vois l'énorme influence qu'elle a sur les gens». (10 Août 1820)
«Puis je vis que tout ce qui regardait le protestantisme prenait peu à peu le dessus et que la religion catholique était précipitée dans une complète décadence. La plupart des prêtres étaient attirés par les doctrines séduisantes mais fausses de jeunes enseignants, et tous contribuaient à l'œuvre de destruction. En ces jours, la foi tombera très bas, et ne sera conservée que dans quelques endroits, de rares maisons et de rares familles que Dieu a protégées contre les catastrophes et les guerres». (1820)
«Je vis que beaucoup de pasteurs s'étaient laissé impliquer dans des idées qui étaient dangereuses pour l'église. Ils construisaient une église grande, étrange, et extravagante ... Tous devaient y être admis, pour être réunis et avoir des droits égaux: les évangéliques, les catholiques et les sectes de toutes dénominations, une vraie communion des profanes, il y aurait un seul berger et un seul troupeau . Il devait aussi y avoir un pape, mais qui ne possède rien ... Donc, telle devait être la nouvelle église ...
Mais Dieu avait d'autres projets» (22 Avril 1823)
«J'eus à nouveau une vision dans laquelle l'église de Saint Pierre était arrachée de ses fondations, suivant un plan mis au point par la secte secrète, juste au moment où elle était endommagée par les tempêtes. Mais je vis aussi le secours qui arrivait dans le temps de plus grande affliction. Je vis à nouveau la Sainte Vierge se poser sur l'église et étendre sur elle son manteau».