GChevalier
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L'Antéchrist est bien l'auteur du Document Magistériel du Synode 2018

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De Martini à Bergoglio. Vers un Concile Vatican III

Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso (12/11/2018)

Le synode d’octobre dernier était censé porter sur les jeunes. Et pourtant, au moment de sa clôture, le Pape François a déclaré que « son premier fruit » avait été la « synodalité ».

Et effectivement, les passages les plus surprenants du document final – qui sont également les plus contestés, avec des dizaines de voix contraires – sont justement ceux qui évoquent la « forme synodale de l’Église ».

C’est d’autant plus étonnant que le sujet de la synodalité n’avait pratiquement jamais été évoqué auparavant, ni au cours de la phase préparatoire du synode, ni pendant les débats, ni au sein des groupes de travail. Et pourtant, ce concept a fait son apparition dans le document final que le Pape lui-même a contribué à rédiger, selon « L’Osservatore Romano ».

Mgr Anthony Fisher, l’évêque de Sydney, a qualifié cela de « manipulation évidente », disant tout haut ce que plusieurs pères synodaux pensaient tout bas de cette manière contradictoire d’imposer une idée de gouvernement collégial par un ukase venu d’en haut.

Mais plus tard, c’est « La Civiltà Cattolica », le porte-parole officiel de la Maison Sainte-Marthe, qui est venu confirmer qu’il en était bien ainsi, en intitulant son éditorial sur le synode : « Les jeunes ont réveillé la synodalité de l’Église ».

Cela nous ramène inévitablement à ce synode de 1999 où le cardinal Carlo Maria Martini, jésuite lui aussi comme Jorge Mario Bergoglio, esquissait le « rêve » d’une Église en état synodal permanent, énumérant une série de « nœuds disciplinaires et doctrinaux » qu’il fallait traiter collégialement tout en concluant que pour de telles questions « même un synode ne suffirait pas » et qu’il faudrait sans doute « un instrument collégial plus universel et plus compétent », autrement dit un nouveau concile œcuménique, qui serait à même de « renouveler cette expérience de communion et de collégialité » qu’a été Vatican II.

Parmi les thèmes énumérés par le cardinal Martini, on retrouve justement ceux qui sont aujourd’hui au centre du pontificat de François :

- « la position des femmes dans l’Église »
- « la participation des laïcs à certaines responsabilités ministérielles »
- « la sexualité »
- « la discipline du mariage »
- « la pratique pénitentielle »
- « les rapports œcuméniques avec les autres Églises »
- « le rapport entre loi civile et loi morale »

Et à l’instar du cardinal Martini, François revient sans cesse sur le « style » avec lequel l’Église devrait aborder ces questions. Un « style synodal » permanent, c’est-à-dire une « façon d’être et de travailler ensemble, jeunes et vieux, dans l’écoute et le discernement, pour parvenir à des choix pastoraux qui correspondent à la réalité ».

Et ce, pour tout ce qui fait la vie quotidienne de l’Église, à tous les niveaux.
En outre, cette synodalité est également mise en avant comme une forme de gouvernement hiérarchique de l’Église universelle, dont les synodes sont l’expression à proprement parler – ce n’est pas pour rien qu’on les appelle « synodes des évêques » – tout comme les conciles œcuméniques.

Aujourd’hui, ils sont peu nombreux à promouvoir l’idée d’un nouveau concile œcuménique. Sous l’impulsion de François, les discussions portent davantage sur la façon de faire évoluer non seulement les synodes locaux et universels d’un rôle consultatif vers un rôle décisionnel mais aussi les conférences épiscopales, en décentralisant et en multipliant les niveaux de pouvoir et en les dotant également « d’une certaine autorité doctrinale authentique » (Evangelii gaudium, n.°32).

Source : www.diakonos.be/…/de-martini-a-be…

Dans l'article 18, nn. 1 et 2 de la constitution apostolique nouvellement publiée, Episcopalis Communio, il est dit qu'après l'approbation expresse d'un document synodal par le Souverain Pontife, le document participe du Magistère ordinaire du Successeur de Saint Pierre.

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Album ACTU

>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
Montfort.
L'Antéchrist aime mentir
Et jusqu'à se démentir !
Il adore aussi calomnier,
Et ceci est son métier !
Il passe toutes ses journées
À médire de son prochain :
Cela aussi est son métier
Car il aime le baratin.
Montfort AJPM
L'Antéchrist est un parfait rouleur
Qui roule le monde entier
Qui lui-même aime être roulé
Puisque lui-même est un rouleur.
Mais il est le roi des rouleurs
Et il ne se fait pas rouler,
Cet Antéchrist menteur
Qui n'aime qu'une chose : rouler !
GChevalier
Les âmes du Purgatoire connaissent bien mieux le bon Dieu que nous ;
Tout le monde me connaît, renchérit l'Antéchrist, jusqu'au dernier indigène de la forêt amazonienne.